22 août 2013

L'informatique de la SNCF

Je prends souvent le train. Je réserve par internet. Quand je vais en Bretagne, je vais à la gare, je mets ma carte dans l'automate qui imprime "immédiatement" mes billets. Là, j'allais à Lyon. Je mets ma carte. Cette imbécile de machine me dit qu'elle ne connait pas mon dossier. Je vais donc voir le mail de confirmation. Il aurait fallu que je l'imprime, il m'aurait servi de billet. 

J'avais un peu d'avance. Je suis allé au guichet, j'ai pu récupérer des billets. Néanmoins...

Question 1 : comment aurais-je pu savoir qu'il me fallait imprimer le mail, contrairement à d'habitude ?

Question 2 : comment aurais-je pu imprimer mon billet alors que je n'ai pas d'imprimante ?

Question 3 : pourquoi l'automate de la SNCF ne m'a-t-il pas dit quelle erreur j'avais faite et proposé de la réparer en tapant mon numéro de dossier ?

Question 4 : si je n'avais pas eu un smartphone pour lire mes mails, j'aurais du annuler mon voyage ?

Question 5 : à l'heure de la téléphonie mobile, comment les informaticiens de la SNCF ont-ils pu inventer un système qui nécessite l'impression d'un document ou le passage au guichet alors que les contrôleurs disposent de terminaux ?

Question 6 : pourquoi n'y a-t-il pas d'application pour smartphone qui donne le numéro de place et remplace le ticket (quitte à faire un machin avec QR code pour le contrôle) ?

18 août 2013

Apple dans les choux ?


Depuis 18h, cette andouille d'iPhone me sert le même message d'erreur. Et vous ?

Google+ : un pas vers le RSE

Vous savez ce que sont les Google Apps ? C’est une « suite » d’application Google (messagerie, bureautique,…) destinée aux entreprises, aux institutions, aux écoles,… Elles sont associées à un nom de domaine. Comme mes blogs sont chez Google et que c’est par eux que j’ai déposé le nom de domaine (aubistrogeek.com, par exemple), je suis donc un « client » de Google Apps, six fois (j’ai six blogs).

Dorénavant, dans Google+, dans les destinataires des publications, on peut mettre un nom de domaine (voir dans l’illustration, il s’agit d’une publication sur mon compte Google+ associée à une de mes adresses mails sur un de mes domaines, jegoun.net).

La publication sera disponible uniquement pour les gens ayant un compte Google déclaré avec une adresse mail sur le nom de domaine.


Google nous préparait-il une évolution de son réseau social vers un réseau social d'entreprise ?

09 août 2013

Encore l'anonymat dans les blogs et les réseaux sociaux !

Dans un récent billet, Tizel revient sur l'éternel sujet de l'anonymat des blogueurs. Je suis globalement en phase avec lui. Ce sujet revient périodiquement à mode ! Je vais donc apporter quelques précisions histoire de faire mon intéressant.

Le sujet contient plusieurs aspects :

1. Les obligations légales, réglementaires et contractuelles

La loi vous oblige à déclarer votre vraie identité à l'hébergeur de blog et les conditions générales d'utilisation de Facebook et de Google+ vous obligent à déclarer votre vraie identité.

Ceci n'empêche pas d'avoir une activité sur le web sous pseudonyme. Votre plateforme de blog vous permet d'avoir un pseudo et Google+ et Facebook ont inventé les pages pour ça.

2. La protection des activités privées

Le pseudonymat est tout à fait naturel. On peut ne pas avoir envie que des proches (amis, familles, collègues,...) suivent votre activité sur le web ou que des moins proches (employeur, recruteur, ...) la découvre.

Mais cela n'a rien à voir avec l'anonymat. Par exemple, je me cachais pour les collègues et les futurs employeurs. Je m'appelle Nicolas Jégou : je ne suis pas anonyme. Par contre, une recherche Google de ce blase sur Google risque d'arriver ici et de faire découvrir que le taulier se fait appeler Jegoun sur la toile. Il aura par contre beaucoup d'énergie à dépenser pour démontrer qu'il s'agit bien de moi parmi les dizaines de Nicolas Jégou qui sont présents sur le net (faites une recherche dans Facebook, c'est impressionnant).

N.B. : en fait, je parle beaucoup du Kremlin-Bicètre dans mon blog et diffuse parfois ma photo. Donc, la preuve est facile à faire. Mais c'est uniquement parce que je m'en fous totalement. Il suffirait que j'arrête, les traces sombreraient dans les profondeurs de Google et je serai vite oublié.

Le seul problème que je pourrais avoir est que quelqu'un de proche tombe par hasard sur un de mes billets avec mon nom ou ma photo. J'évite donc de signer chaque billet... (mais mon nom complet est dans le flux RSS).

3. La multiplication des identités

Il y avait une rencontre de blogueurs, hier, un Kremlin des Blogs. Deux nouveaux (ou presque) participants étaient présents. J'étais incapable de me retrouver entre le vrai nom, le nom du blog, le pseudo Twitter...

C'est un vrai problème. Comment voulez vous que le type qui me connait peu puisse tout mémoriser : l'url du blog (aubistrogeek), qui n'a aucun rapport avec son titre (partageons l'addiction), lui même sans rapport avec mon pseudo Twitter (jegoun), sans relation avec mon appellation de la vraie vie (Nicolas)... ? Le tout pour aboutir à un gugusse qui s'appelle Nicolas Jégou. Sans compter le fait qu'il n'y a pas qu'un blog mais 6.

4. Les trous du cul du web - les fumiers

Il y a un tas de connard qui disent n'importe quoi dans les réseaux sociaux, surtout Twitter. Ils tiennent des propos racistes, antisémites, homophobes,... En se cachant derrière un pseudonyme voire un anonymat complet.

Ils méritent qu'on leur arrache les couilles.

5. Les trous du cul du web - les connards

Ce sont des imbéciles qui se réfugient derrière des pseudos pour insulter ou juger les autres, notamment dans Twitter. Rien qu'à l'idée qu'on puisse connaître leur nom et aller leur casser la gueule, ils pissent dans leur culotte.

Vous voulez des noms ?

6. Les trous du cul du web - les prétentieux

Ceux là sont les plus rigolos : ils pensent tenir des propos si importants qu'il ne faut pas qu'on sache que c'est eux qui les ont dit. Au départ, ils partent d'une bonne intention. Ils utilisent un pseudo pour ne pas qu'on les retrouve mais ils arrivent à en créer un personnage et se prennent pour quelqu'un d'important.

Pour ma part quand je tweete avec @Jegoun pour dire que je suis saoul au comptoir, j'aurais pu le faire avec @nicolasjegou ! Aucun des propos que je peux tenir sur le web n'a la moindre importance...

J'ai des noms, aussi... J’ai même des noms de ceux qui ont changé de pseudo pour en créer un pour impressionner.

7. Les trous du cul du web - les délateurs

A la décharge des usagers des points 5 et 6, il existe aussi des connards qui sont toujours sont prêts à les dénoncer et à dévoiler les véritables identités.

Sans compter les cons comme moi qui ont tendance à oublier que les gens sont anonymes, notamment après 23 bières.

N.B. : Billet fait ce midi, en déjeunant sur l’iPhone mais je le publie sans relecture, je suis en congés dès ce soir et j’ai eu une longue après-midi de travail pour rattraper le retard… Donc je suis à la bourre.

08 août 2013

Le SaaS (vu du bistro)

Ma copine Fiso est formatrice sur des logiciels destinés au monde professionnel. Son dernier employeur est un éditeur d’offres SaaS. Elle découvre ce domaine et en fait un billet qui m’a passionné puisque c’est typiquement un truc qui est au fond de ce blog : les grandes évolutions de l’informatique. En fait, c’est elle qui est passionnée. J’ai lu son billet une première fois ce matin puis une deuxième fois cette après-midi. J’ai googlelisé SaaS pour vérifier. Ca correspond exactement à ce qu’elle explique ce qui prouve soit que je suis très intelligent soit qu’elle explique très bien et que c’est une excellente formatrice !

Mais toi, cher lecteur, tu te demandes ce qu’est ce bordel, le SaaS. Ca veut dire « Software as a Service », c'est-à-dire « logiciel comme un service ». « L’éditeur » (appelons-le comme ça) ne vend plus de logiciels à un client mais un service complet avec l’hébergement des applications et des données sur ses propres serveurs. L’utilisateur, le salarié du client, se connecte alors via internet.

Dans le grand public, c’est un truc bien connu. Les utilisateurs de Google Docs (qui s’appelle maintenant Google Drive) le savent bien. Ils n’achètent plus de traitement de texte, de tableurs, … Ils se connectent à Google qui offre tout en ligne, y compris la gestion des documents.

Je cite Google mais Microsoft a exactement les mêmes services sous le délicieux nom de Office365. Microsoft préfère néanmoins continuer à vendre des licences… En outre, les entreprises n’ont pas nécessairement confiance dans ces boites et au fait de laisser les employer y mettre leurs fichiers (je ne vais pas parler des avantages et inconvénients du SaaS, vous pouvez lire le billet de Fiso et les longs commentaires que j’ai laissés et vous pouvez lire la fiche Wikipedia).

Google dispose également de services pour les professionnels : Google Apps, avec une messagerie, un agenda et des logiciels bureautiques. Ils sont passés dans un mode payant cette année, sans doute ont-ils jugé que le marché était suffisamment mur et allait se développer.

Quoi de neuf avec Fiso ?

Elle bosse dans une boite qui fait des logiciels qui ne sont pas grands publics ou de type bureautique mais spécifiques à des métiers.

Prenons un exemple au hasard : les bistros, des entreprises entre un travailleur et une dizaine (à plus, ce n’est plus vraiment un bistro…). Dans son logement, le patron a un bureau avec un ordinateur d’où il va voir des films de culs sur internet pendant que sa femme tient le comptoir mais ça n’a rien à voir avec le sujet du billet.

Une fois par jour, il va classer ses factures, les payés, noter la recette. Tout cela n’est pas simple, il faut trier les tickets restaurants et faire plein de trucs comme ça. Il finit par enregistrer le tout dans son logiciel de comptabilité. Périodiquement, il va faire des sauvegardes et transmettre ça à son comptable, par mail, par internet,…

On imagine que tout reviendrait au même s’il se connectait par internet sur un serveur et saisissait les données. Ca serait même plus simple car son comptable pourrait récupérer les informations dont il a besoin, voire faire directement tous les traitements nécessaires avec ce serveur.

Jusque là, pas grand-chose de neuf. Je suppose d’ailleurs que les solutions informatiques existent de longue date. La comptabilité d’un bistro n’a en outre rien de spécifique à un bistro.

Dans le bistro, tous les matins, le gars qui fait l’ouverture ouvre la caisse, y verse un fond (la monnaie pour commencer la journée et note ce qu’il fait. Le soir, un autre employé fait la caisse et note ce qu’il fait. Ca serait quand même plus simple s’ils saisissaient directement les informations dans un logiciel à partir du PC du bistro (celui qui sert à diffuser de la musique avec iTunes) voire sur son propre smartphone (ou la tablette du bistro, celle qui sert aussi à diffuser de la musique).

Un « éditeur SaaS » pourrait donc proposer un tel service. En plus de son application de comptabilité, il développe cette application dont ont besoin les bistros, l’héberge et vend ses services.

Voilà ce qu’est le SaaS pour les entreprises : un logiciel spécifique a une activité ou un métier mais que la société (le client) n’a pas à gérer et qui est accessible par internet. Pas de serveur à gérer, de sauvegarde à faire, de matériel spécifique à acquérir. Le bonheur.

J’ai pris un exemple au hasard mais on peut multiplier les activités. Tiens ! Le type qui fait la cave, l’après midi, pourrait saisir le stock ou les commandes à passer plutôt que de les noter sur un bout de papier et de téléphoner au fournisseur.

Prenons un autre exemple

Tiens ! Les bistros. Les bistros modernes ont maintenant une informatique qui leur est propre pour gérer les commandes des clients. Les clients les saisissent sur un ordinateur, un ticket s’imprime en cuisine pour les plats à préparer et un autre au comptoir pour les boissons à préparer. Le tout gère les commandes par table pour pouvoir taper la commande finale, voire répartir le montant entre les convives s’ils ont des notes de frais.

Le bistro doit dont avoir un serveur informatique qui servira notamment à gérer les tarifs et la comptabilité par loufiat, des périphériques portables pour les loufiats ou une machine spécifique centralisée avec écran tactile, un périphérique tactile au comptoir et des imprimantes.

Imaginez que le serveur tombe en panne au milieu du service (ou les périphériques).

Tout cela pourrait très bien être remplacé par des smartphones et des tablettes connectées en wifi et GSM à un serveur quelque part. Le patron n’aurait pas à se faire chier avec du matériel spécifique et ne serait plus emmerdé par les pannes. Le wifi est cassé ! Paf ! Il passe par le GSM. Les deux sont cassés : pas de bol. Ils prennent les commandes à la main…

Mon premier exemple n’était pas spécifique aux bistros : tout le monde fait de la comptabilité. Ici, c’est à peu près spécifique. J’ai pris un exemple que tout le monde peut voir mais imaginez ça étendu à chaque corps de métier.

Et alors ?

Rien ! Je disais en passant. Dans notre univers de geeks, tout cela est évident mais parlez en à un patron de bistro.

Mon exemple montre une limite du SaaS : les applications ne sont pas toutes hébergées sur des serveurs, certaines sont sur les périphériques mobiles (imaginez le loufiat en train de  prendre une commande sur un site internet ouvert dans Safari…). Le SaaS doit être étendu à ces applications installées sur mobile (ce qui ne change pas grand-chose).

Fiso aborde un sujet important : la taille des entreprises. Autant qu’il est évident que la grande entreprise peut développer ses propres applications ou en acheter puis les héberger, autant pour une petite, ce n’est pas évident, d’autant qu’elle n’aura pas d’informaticien chargé de voir ce que propose le marché. Par contre, elle pense que les grosses entreprises peuvent être intéressées également. Bizarrement, je pense que le marché est mur pour les petites entreprises (c’est d’ailleurs la cible de Google Apps que je citais plus haut) mais pas pour les grandes, d’autant qu’elle a aussi, probablement, l’hébergement des serveurs dans son corps de métier (je faisais remarquer à Fiso que mon entreprise, très grande, héberge beaucoup plus de serveurs que des entreprises spécialisées dans l’hébergement et qu’on est donc probablement moins chers…).

Comment l’informatique va-t-elle se développer pour les petites entreprises ? Les grandes entreprises laisseront-elles, un jour, se laisseront-elles envahir par les applications en SaaS pour son corps de métier ?

La réponse est oui. Ma boite est passée par une solution on line pour la messagerie, pour éviter les « clients lourds » comme Outlook et Lotus Notes. Ca fait longtemps qu’on n’utilise des applications externes pour gérer les demandes de congés et les notes de frais.

Le reste viendra…



06 août 2013

Dans les tunnels de la Défense avec Google Maps

C'est rigolo, je cherchais le bistro où je mange tous les midis dans Google Maps pour faire un test. J'ai cliqué par hasard sur Google Streets View et je me retrouve dans les tunnels de la Défense...

Des +1 comme s'il en pleuvait

Hier soir, dans le blog politique, j'ai fait un billet nul parce que je n'avais rien à dire mais les doigts qui me démangeaient. Mon hébergeur, Blogger, m'indique qu'il a reçu 16 "+1" dans Google+. Du jamais vu.

Généralement, mes billets n'en reçoivent qu'un ou deux (dont le mien, lié au partage initial), parfois 5 ou 6. 16, jamais. C'est fou, non ?

05 août 2013

Feedly en version payante

Je ne sais pas quelle mouche a piqué Feedly (enfin si, ils ont des frais) mais iles viennent de sortir une version payante intégrant la fonction de recherche.

Je me demande qui va sortir 5 euros par mois pour faire du HTTPS et des recherche dans des flux RSS.

02 août 2013

Google Local et Google Maps

Résumé du billet précédent : Google a annoncé la fermeture très prochaines de Google Latitude, son espèce de concurrent de Foursquare, et son remplacement par un tas d'outil autour de Google+ et Google Maps dont une évolution de l'application G+ smartphone (à venir pour iOS).

Les établissements (commerces, ...) référencés par Google sont présentés dans Google Maps (voir l'espèce d'épingle "A La Comète" sur la première illustration. Si on clique dessus on a des informations, la possibilité de voir ça dans Google Streets View et les photos partagées par l'internaute (voir les miennes au bout de la flèche rouge). On peut cliquer sur "voir les avis" et on aura accès à une espèce de page Google+ (voir l'illustration à droite) que le taulier de l'établissement peut récupérer à son compte.
 
Cette page est aussi accessible quand on fait une recherche dans Google+, dans le menu Google Local. Voir les flèches rouges de la troisième illustration, en bas : je cherche "restaurant" au "Kremlin-Bicêtre", "A La Comète arrive en deuxième position.




L'arsenal de Google pour le commerce de proximité (Google+ et Google Maps en remplacement de Google Latitude)

Vous avez vu la première illustration ? C'est le plan de mon quartier. On y voit, au centre, mon bistro, "A la Comète".

Un peu à gauche, il y a une espèce de punaise, sur un autre bistro que je fréquente, l'Amandine.

Si on clique dessus, une petite fenêtre s'affiche avec des renseignements.

En bas de cette fenêtre vous pouvez cliquer sur un machin pour donner son avis. Cliquons et passons directement à l'illustration suivante que je vais glisser à droite.

On se retrouve sur une page genre "Google+" au nom de l'Etablissement, où, effectivement, on peut donner son avis.

Je me suis empressé de le faire, tout comme, maintenant, je fais du remplissage pour passer à l'illustration suivante.

Une page Google+ ? 

Ca en est bien une. On peut se déclarer comme étant propriétaire de l'Etablissement, ce que j'ai tenté de faire, avec la page de la Comète, vu que c'est moi qui l'avait créée. Et là, le machin me propose de "m'authentifier" : le machin peut téléphoner à la Comète pour vérifier que "Nicolas Jégou" (c'est mon compte Google) est bien le propriétaire du lieu (ce qui n'est pas le cas, j'ai laissé tomber, même si les patrons de la Comète aurait probablement répondu par l'affirmative : je ne vais pas les faire chier pendant le service du midi).

Voilà, à gauche, l'illustration correspondante, même si elle a peu d'intérêt.

Moi, créer une page ?

Pas du tout ! Il y a trois ou quatre ans, j'avais donné mon avis dans un produit Google, Google Locator, je crois, qui est devenu ensuite Google Latitude, je crois toujours (je dis bien "je crois" : ne prenez pas ces informations au pied de la lettre...). Toujours est-il qu'hier, j'ai reçu un courrier de Google qui annonce la fermeture de Google Latitude à partir du 9 août.

Google remplace cette application (que je connais très mal mais qui permet de "partager" sa position avec ses amis, un peu comme Foursquare) par une fonction correspondante dans les applications pour smartphone (déjà disponible pour Androïd, à venir pour iOS). 

Résumons

Nous avons donc, maintenant, une parfaite intégration entre Google+ et Google Maps avec un machin qui remplace un autre service. Les "machins" référencés sur Google Maps sont automatiquement affectés à une page Google+ que peuvent récupérer les propriétaires.

Questions subsidiaires 

1. Pourquoi tous les commerces ne sont pas référencés dans Google Maps ? Par exemple, sur la carte, il n'y a pas l'Aéro (ni le Petit Relais que je fréquente à l'occasion). A partir des pages jaunes ? Des créations d'internautes ?

2. Avec l'ancien Google Maps, on pouvait avoir la météo et le trafic routier. Comment fait-on avec le nouveau ? Ceci est une question sérieuse...