29 décembre 2013

La batterie de secours du père Noël

Le père Noël m'a amené un bien joli cadeau : un machin qui permet de recharger l'iPhone, une espèce de batterie de secours, en somme. Il faut dire que je le lui avais commandé. 

C'est des principes dans la famille : on commande des trucs au père Noël qui sont indispensable mais qu'on oserait pas acheter soi-même. 

Le modèle qu'il avait laissé au pied du sapin ne fonctionnait pas. C'était un truc bas de gamme (correspondant à ma demande). On a fait plusieurs essais avec 2 iPhone, 1 iPad, 1 tablette Samsung et un téléphone Android. On arrivait à gagner un peu mais complètement aléatoirement. Sur l'iPhone, l'éclair en haut à droite ne s'affichait pas. 

Le père Noël l'a ramené chez Leclerc qui l'a repris sans protester ça qui est fort sympathique de leur part. 

Du coup, je suis moi-même allé dans un autre magasin où j'ai pu acheter un machin plus haut de gamme (un PNY Fancy Power Bank), 5200 mAh (le précédent faisait la moitié). 

Je profite de mon trajet en train pour le tester. Ça marche. J'ai gagné 25% en 40 minutes tout en continuant à utiliser mon iPhone (qui consomme beaucoup dans le train pour tenter de capter internet). 

Voilà. 

27 décembre 2013

2014 ou la fin de Twitter ?

J'en ai encore bloqué un ce matin ! Je papotais avec Bembelly quand un type est venu nous chier dessus. Et deux hier soir ! Je ne sais plus avec qui je discutais, deux types se pointent. Ils en étaient à 20 messages avec @jegoun dedans. Je bloque.Terminé ! Fini de jouer. Ca va faire sept ans que je suis dans Twitter, je n'ai jamais autant bloqué que ces six derniers mois. Des imbéciles qui se permettent de t’interpeller ou de se mêler de conversations...

Ils deviennent fou. Comme si faire les cakes dans les réseaux sociaux les interdisait de respecter certaines règles du savoir vivre. Je me suis souvent plaint de ces andouilles dans le blog politique ou dans l'annexe mais il est temps de rétablir quelques chiffres. C'est le blog du Modérateur qui s'y colle en citant une étude.

50% des comptes Twitter sont suivis par moins de deux lascars. Ce n'est pas un mal. Un type crée un compte Twitter, il ne sait pas ce que c'est, se fait suivre par un pote puis abandonne au bout de trois jours. Il va suivre l'Equipe pour avoir les nouvelles sportives et Jégoun pour avoir des informations sur les bistros, puis basta ! Deux ou trois célébrités. En huit jours, il abandonne.

50% des gens ont moins de 61 followers. 99% des gens ont moins de 2991 followers. Mon dieu ! Je fais partie des 1% qui ont la plus grosse.

Le modérateur nous dit : « Selon O’Reilly, l’impact réel de Twitter serait ainsi largement surévalué, car la plupart des influenceurs identifiés font partie du monde des médias ou de la communication. On surestimerait ainsi largement la portée du réseau social, car les utilisateurs les plus influents sur le réseau l’étaient déjà hors-ligne. »

Je confirme. A mon modeste niveau (blogueur z'influent du dimanche ex number one du truc), j'avais déjà 3500 abonnés Google Reader avant d'atteindre mes 1000 premiers followers. Pour vous dire ! Je ne fais même pas partie du monde des médias ou de la communication, juste du monde des blogueurs qui faisaient beaucoup de liens vers les copains.

En d'autres termes : les twittos dits influents ou actifs tournent entre eux. Pire ! Quand ils sont militants politiques, ils tournent avec des gens qui sont d'accord avec eux et s'imaginent les maitres du monde car ils ont plein de RT ! Tant pis si le gens qui font les RT ont 32 followers, c'est la gloire quand même !

Heureusement pour eux, les journalistes sont complètement à la ramasse. Des spécialistes en communication leur ont dit « ah mais Twitter c'est vachement important ! ».

Du coup, je me retrouve avec des journalistes qui suivent mon compte et qui s'imaginent que quand je clique « ah bordel, le fut de 1664 est vide » c'est un drame national sans même se rendre compte que je peux passer à la Kronenbourg ordinaire sans bouger les oreilles.

Pourvu que Twitter se casse la gueule, en tant que média influent, et que l'on retrouve le machin où l'on rigolait entre copains, sans être importunés par des crétins qui espèrent connaître leur heure de gloire.

Vivement 2014, tiens !

Que Twitter gagne de l'argent en faisant de la publicité pour des plombiers pour permettre aux copains de rigoler entre eux en s'affranchissant des zouaves sans savoir vivre.

26 décembre 2013

2013, l'année geek (où j'ai découvert Tame.it)

Grâce au Modérateur, j'ai découvert un nouveau truc : Tame.it. Ca permet de savoir ce dont vos abonnés parlent, ce qu'ils retweetent,... Cela étant, c'est à peu près tout ce que j'ai découvert (et présenté), dans ce blog, dans ce second semestre 2013, puisque l'heure est au bilan...

Je dois reconnaitre que depuis six mois, je n'ai pas glandé grand chose, ici. C'est à cause du travail, le vrai, qui m'occupe à un point où je ne trouve pas une seconde pour tester des nouveaux trucs et c'est aussi bien : mon job est passionnant. Ce trou d'activité ne se ressentira pas dans l'audience puisque quelques billets ont bien buzzé.

Il n'empêche que je suis une grosse fainéasse.

21 décembre 2013

Plus de son avec Youtube ? Help !

Avec le PC de ma mère, en Bretagne, je n'ai plus de son avec les vidéos Youtube avec Internet Explorer et Firefox. Ca marche très bien avec Dailymotion.

J'ai bien le son Youtube dans Chrome.

Une façon pour Google de pousser vers Chrome ou un problème de configuration chez moi ?

20 décembre 2013

Ces andouilles de la RATP

Tout le monde a étendu parler de la grosse panne de la RATP. Quatre lignes ont été arrêtés pendant 3 ou 4 heures parce qu'un centre de surveillance a été évacué suite à une alerte à l'amiante. 

Vous imaginez ce qui se passerait si un centre de contrôle aérien était évacué ? Ou un centre de traitement ce cartes bancaires un 24 décembre ?

Nous, au boulot, les centres de surveillance sont hébergés sur deux endroits. On peut en évacuer un, l'autre prendra le relai. Ça nous coûte cher mais on assure le service aux clients. 

C'est un peu la base de l'informatique. 

Twitter : l'autre façon d'envoyer un DM

Dans Twitter vous tapez dans un nouveau Tweet : "d @jegoun : tu veux une bière ?" et je recevrais ce message comme un DM !

C'est Bembelly qui nous donne le truc, ce matin ! Le camarade y voit plusieurs avantages. Parmi eux, un me semble important : vous n'avez plus à faire de copier coller d'un lien pour faire un DM quand vous voulez signaler un lien à quelqu'un.

Ainsi, quand vous signaliez un lien, vous le faisiez si votre profil public, polluant ainsi les TL de tous vos abonnés.

N.B. : je rappelle à mes aimables abonnés que les DM ne sont pas pratiques pour moi, préférez les mails.

Mon compte Pinterest a été piraté : je le ferme

Ces cons qui ne servent à rien et qui n'assurent même pas la protection de leurs utilisateurs me font chier. Ils méritent de crever la gueule ouverte ou fermée ou bleue.

Ces startups de merde qui se permettent de diffuser des conneries sur mon dos parce qu'elles sont totalement incompétentes sauf pour lever des fonds auprès d'investisseurs perdus et complètement cons mériteraient de disparaître corps et âme.

Ces putains d'enfoirés de connards de merde (je reconnais une légère ébriété qui force mon énervement) qui se permettent de tenter de gagner de l'oseille avec des photos de pauvres gens devraient se prendre des pieds au cul, voire carrément dans le cul. 

Et vous m'expliquer avec amabilité comment ils peuvent cibler mon profil avec le mot clé "bistro" s'il n'y a pas une grave faille dans leurs dispositifs de sécurité.

Je vous invite à fermer vos comptes. Comme moi.

(merci à Zgur)


19 décembre 2013

Qu'importe le nombre de visiteurs !

En cherchant une bricole dans Google Analytics, je suis tombé sur ce tableau. La sentence est terrible : le mois dernier, 80% des visiteurs de mon blog politique sont restés moins de 10 secondes.

Elle est belle, l'influence des blogs !

18 décembre 2013

Bug de l'application Blogger pour l'iPhone

Mon dernier billet a été mis ici par erreur. D'ailleurs, ne le trouvant pas, je l'ai refait sur le blog où il devait aller. Comme ça fait trois billets en deux jours qui se retrouvent sur le mauvais blog et un billet qui a été publié en double, je suppose qu'il y a un gros bug dans l'application.

J'aurais pu faire une erreur, pas quatre.

Les lecteurs auront rectifié d'eux-mêmes


Dans mon billet de ce matin, je parle du cimetière pour chier au lieu du cimetière pour chiens. 

17 décembre 2013

D'où viennent les lecteurs des blogs politiques ?

Ce midi, j’ai fait un billet pour me demander ce qui faisait le succès ou l’échec d’un billet d’un blog politique tel que le mien, le blog d’un simple citoyen (expression idiote qui veut dire que je ne suis pas une personnalité politique ou médiatique) avec un nombre fort honorable de visites, de l’ordre de 23000 par mois selon Google Analytics au cours des trois dernières années.

Ce soir, je me suis plongé dans les chiffres de cet honorable outil.

Savez-vous, par exemple, que Twitter n’envoie que 16 lecteurs en moyenne à chaque billet, si on enlève le buzz exceptionnel que j’ai eu avec une vidéo ?

Je prends les chiffres entre le 1er janvier et le 30 novembre.

GA nous dit que mon blog a eu 275000 visites (dont 10000 pour la vidéo) dont 15000 via Twitter soit 5,4%.

Ce qui m’intéresse est bien d’où viennent les visiteurs.

Réseau sociaux : on l’a vu pour Twitter, le nombre est dérisoire. C’est encore pire pour les autres. Au total, les réseaux sociaux doivent représenter environ 12% des sources de visites.

Sites de curation et autres saloperies qui piquent des visiteurs mais n’en envoient pas : 0,77% C’est vraiment très mauvais.

Sites d’information : ces braves gens se croient intelligents et me citent souvent pour faire joli et montrer qu’ils s’intéressent aux blogueurs. 3100 visites… 1,91%. C’est ridicule. Ca l’est encore plus : plus de la moitié est envoyée par Marianne, donc par les billets des copains Elie Arié et Sarkofrance.

Mes autres blogs : 6500 visites. 4%. Ce n’est pas mal, somme toute. Mes trois autres blogs sont des petits blogs, c’est le gros qui leur amène du monde. 4%, dans ce sens là, est assez surprenant.

Google : 23%. 37000 visites. C’est relativement peu en pourcentage par rapport à une époque.

D’autres blogs : 82000 visites. 50% des visites.

Parmi ces autres blogs, les trois premiers ne seront pas surpris de se retrouver dans ce top 10. Certains autres probablement.

  1. Didier Goux : 29000 visites. 18%
  2. Sarkofrance : 11000 visites (tous blogs confondus mais le principal fait presque tout).
  3. Seb Musset : 8900.
  4. Libre Affichage : 3400.
  5. Vue des collines : 2400.
  6. Amiral Woland : 2100 (intéressant à noter : c’est le premier de liste qui ne soit pas chez Blogger et ne dispose pas de la blogroll dynamique).
  7. Tambour Major : 1900
  8. Olympe : 1500 (son blog n’est pas chez Blogger).
  9. Suzanne : 1400
  10. Julien Dray : pareil que Suzanne (son blog a été Blogger pendant longtemps).

La durée des visites.

Le nombre de visites ne veut rien dire. Aussi bien, les gens cliquent puis ressortent immédiatement. En outre, il est probable que mon compteur de visites ne fonctionne pas pour celles qui viennent de smartphone et ne voit pas, non plus, les lecteurs qui ne passent pas par le blog (mais lisent dans un agrégateur).

Néanmoins, il y a de grosses différences. Les lecteurs qui viennent de chez Suzanne ou de Blogger (ceux qui lisent les blogs à partir de leur tableau de bord) restent 5 minutes. Soit ils lisent très lentement, soit ils oublient de fermer les onglets du navigateur… D’une manière générale, ceux qui viennent de blogs réactionnaires restent assez longtemps, contrairement à ceux qui viennent de blogs de gauche.

Le visiteur en provenance de Google reste quarante secondes. Ceux en provenance de Twitter, une minute vingt. Ca doit être environ la moyenne.

Par contre, je n’arrive pas à tirer une conclusion…

Quand Facebook fait n'importe quoi !

Depuis quelques jours, la nouvelle application Facebook pour iPhone (je n'utilise pas d'autres moyens pour aller sur  Facebook) n'arrête pas proposer de nouveaux amis. Comme je ne suis pas farouche, j'accepte systématiquement ceux avec qui j'ai plein d'amis en commun. 

Ça doit être pareil pour les autres utilisateurs, je reçois plein de demandes pour des andouilles que je ne connais pas. 

Toujours est-il que j'ai 2 ou 300 potes de plus depuis ce week-end. Ce qu'il y a de bien, c'est que leurs publications ne viennent pas sur mon mur. Je je suis donc pas pollué.

Hier soir, Facebook m'a engueulé. Je aurais pas un comportement normal. Hé ho ! C'est toi qui me propose du monde, andouille. 

13 décembre 2013

Les mauvaises conditions de travail dans les bureaux

J'ai la chance de bosser dans des conditions vraiment agréable. Des bureaux refaits à neuf avec de l'espace, des postes de travail adaptés,... Mais ce n'est pas le cas de tout le monde. 

Certes, c'est loin de chez moi et je n'ai pas accès à beaucoup de sites web, comme DailyMotion, YouTube, Facebook, Twitter et certains blogs politiques, dont le mien, mais je peux comprendre les volontés des employeurs. Je les comprends mais suis en désaccord. Je suis payé pour faire un boulot. Qu'est-ce qu'ils peuvent en avoir à foutre que j'aille voir des vidéos ? Pire ! J'ai réellement parfois besoin de voire des vidéos pour le boulot... Surtout, la plupart des cadres en entreprise ne connaissent pas les réseaux sociaux parce qu'ils n'ont pas le temps d'y aller pendant les heures à la maison. Ça me rappelle une collègue qui interdisait à sa fille de 14 ans d'aller sur Facebook parce qu'elle-même ne connaissait pas ce machin. Les employeurs ont aussi la responsabilité sociale de permettre à leurs employés d'assurer l'éducation de leurs mômes. 

Toujours est-il qu'en discutant avec un client, je me suis rappelé les mauvaises conditions de travail de certains types que j'ai rencontrés pendant ma carrière. 

Moi y compris, d'ailleurs, puisque j'ai bossé quelques mois sur un immense plateau où nous étions une bonne centaine. Je ne sais pas qui sont les crétins qui s'imaginent que leurs employés peuvent leur faire gagner plus d'argent en bossant dans ces fameux plateaux, incapables de passer des coups de fil professionnels sans déranger les voisins, devant supporter les manies des autres,...

J'ai vécu le pire il y a huit ou dix ans. Je bossais alors chez un client qui avait des bureaux ultramodernes mais très mal agencés. Je bossais dos à la porte et ne pouvais pas avoir un truc pas sérieux à mon écran. C'était à une autre époque où consulter son gmail au bureau était très mal vu...

J'ai des clients dans une tour neuve de la Défense qui ont des bureaux ridiculement petits. Genre une table de deux mètres cinquante de long pour deux deux personnes, leurs PC, leurs téléphones,... Le tout dans des bureaux non fermés, proches de lieux de passage. Regardez ces tours récentes à la Défenses, celles qui ne sont ni carrées ni rectangulaires. Pensez que toute la surface centrale est occupée par des parties techniques avec les ascenseurs, les toilettes, éventuellement des salles de réunion (sans fenêtre) et imaginez la place qui reste pour les mecs qui bossent en rêvant aux moyens pour aménager en lieu de travail des machins triangulaires ou arrondis !

Dans les conditions de travail insupportables, il y a les bureaux vitrés non climatisés. La chaleur est supportable pendant les heures de loisir mais dans un bureau, c'est l'enfer. Dans certains boulot, la chaleur est de rigueur. Dans un fournil, par exemple, on peut difficilement maintenir une température de 20 degrés... Mais quand vous êtes assis sur une chaise, sans bouger, sans avoir la possibilité d'avoir un souffle d'air, c'est horrible. Ne serait-ce que par le fait que votre patron vous oblige à ça...

J'ai des fournisseurs qui ont choisi de s'installer en lointaine banlieue parce que les mètres carrés sont moins chers. Pensez aux salariés qui doivent s'y rendre quand il n'y a pas de bons transports en commun bien réguliers. Dans les années 90, j'ai vécu l'enfer chez deux clients (maintenant fournisseurs) installés très loin. J'avais la chance de pouvoir y aller en voiture parce qu'ils étaient au sud de Paris mais la plupart des employés vivaient une vraie galère. J'ai fournisseur qui a mis en place son propre réseau de transports (un car...) car ses gars ne pouvaient pas venir travailler. C'est délirant. 

J'ai connu pire. Un copain à moi mettait une heure et demie pour aller travailler (Bicêtre est à 15 minutes de Châtelet). Il ne fait pas partie de ces gens qui ont choisi de vivre en lointaine banlieue pour avoir un cadre de vie agréable mais d'un type dont l'employeur avait choisi de faire des économies en allant dans un coin pas cher... Il a changé de boîte rapidement. 

Mais il y a encore pire. Je n'ai pas de bistro à moins de cent mètres du bureau. 

11 décembre 2013

Comment j'ai failli perdre le nom de domaine jegoun.net

Mes noms de domaine (jegoun.net, aubistro.com, aubistrogeek.com, macomete.com et le furoscope.com) ont été acquis auprès de Google l'hébergeur de mes blogs. Ma carte bancaire est arrivée à expiration en mai dernier.

Je raconte ça parce que je n'ai rien glandé sur ce blog depuis plusieurs jours et parce que ça ne tient pas en 140 caractères pour une réponse que je dois faire à DPP dans Twitter. 

Google m'a donc contacté pour me dire que mon moyen de paiement expirait bêtement. J'ai donc suivi leurs instructions avec patience pour tout renouveler, sachant que je n'étais pas pressé, les renouvellements étant prévus, selon les blogs, vers septembre ou novembre. 

Tout c'est bien passé et je suis passé à autre chose. Quelques jours avant la date de renouvellement, Google m'a contacté pour dire que tout était parfait. Sauf pour jegoun.net. 

Et je n'arrivais plus à modifier le moyen de paiement pour ce nom de domaine de ce blog. Je dois avouer que ça me faisait rigoler de perdre le "blog phare" et de tout recommencer à zéro. J'ai néanmoins alerté tous les contacts que je pouvais avoir (et encore merci à ceux qui m'ont aidé, notamment Tomate Joyeuse). Rien à faire. Aucune nouvelle de Google. J'ai essayé de jouer aux VIP. Putain de bordel ! L'éternel number one (déchu depuis deux ans).  Rien. 

C'est grace à Mzlclalex que j'ai pu rétablir la situation. Il m'a envoyé un lien où j'ai pu saisir mon numéro de carte, mais je n'ai jamais compris pourquoi. 

Merci à lui. 

J'ai jusqu'à 2016 pour rétablir la situation, ces andouilles de banquiers faisant des cartes durant trois ans. 

06 décembre 2013

La réunion - 4

Au boulot, on est en plein dans le lancement d’un nouveau gros projet, peut-être le plus gros de ma carrière mais je ne peux pas en dire plus dans les blogs. Toujours est-il qu’on passe beaucoup de temps soit en réunion soit en préparation. Il y a les comités de pilotage et les comités de projet, les groupes de travail orientés métiers, les ateliers avec les fournisseurs, les workshops techniques et sécuritaires, les comités d’architecture technique et ceux d’architecture applicative…

Il n’y a rien de bien particulier mais les réunions s’enchaînent à une vitesse incroyable. J’en suis à quatre aujourd’hui, ou presque, puisque deux avaient lieu en même temps. Disons trois, ce qui fait six cette semaine, trois la semaine dernière, quatre la précédente,… uniquement pour ce projet. J’en ai déjà cinq de planifiées pour la semaine prochaine, uniquement pour ce projet.

L’intérêt est que ça me fait des anecdotes à raconter dans le blog.

Par exemple, ce matin, j’étais un peu en retard et je n’ai pas eu le temps de passer à mon bureau. Je suis donc entré dans la salle pour une réunion mais je n’en connaissais même pas le thème !

J’en ai fait un billet ce matin. Le type que je ne connaissais pas à la réunion de ce matin et qui n’a rien dit à la seconde était encore à la première de cette après-midi. Comme d’autres étaient en retard, cette fois, nous avons un peu papoté et on a découvert qu’on a déjà bossé ensemble quelques jours il y a une dizaine d’années…

Toujours est-il que…

A ces réunions qui s’enchaînement depuis la rentrée de septembre, on rencontre un tas de gens qu’on revoit à d’autres réunions mais on ne sait plus de qui il s’agit, ce qu’ils font. Il s’en suit un joyeux bordel. Du coup, tout le monde se tutoie, on est tous potes y compris de personnes qu’on n’a jamais vues… C’est très rigolo.

Il en ressort une certaine complicité entre des gens qui ont des intérêts contradictoires au sein du projet mais un intérêt commun : présenter un dossier complet à un conseil de direction afin qu’il le valide.

A la semaine prochaine pour un tas de comptes rendus de réunion…

La réunion - 3

Grosse réunion, hier matin. Début 9h30. À 13h45, je suis pris d'une fringale. Je vais déjeuner. 

Je reviens à 14h20. Ils terminaient. Presque cinq heures...

La réunion - 2

Grosse réunion ce matin. La chef et moi, les organisateurs, sommes en retard de dix minutes à cause du métro. Les participants commencent sans nous. 

Au bout de deux heures, la chef me demande : qui sont ces deux personnes ?

Je ne sais pas. 

Une d'entre elle n'a rien dit. On ne sait pas de qui il s'agit. 

05 décembre 2013

Tuto : aller sur mon blog

Dans un précédent tutoriel nous avons vu comment tu pourrais accéder à internet. C'est simple. Il faut cliquer sur le navigateur. Dans cette deuxième étape, nous allons voir comment accéder à mon blog. C'est très simple.

Après avoir ouvert le navigateur, tu verras en haut une longue ligne blanche. Tu cliques dessus et, ensuite, tu tapes "partageons" et tu appuie sur la touche "entrée" qui se trouve quelque part sur la droite de ton clavier alphabétique. 

Là, le géant Google va se mettre en branle et cherchez dans le www (l'internet mondial) le mot "partageons". Il va te proposer les meilleurs résultats et dans les trois premières positions, tu auras mes blogs. Partageons mon avis sera probablement le premier. Celui-ci devrait être troisième. 

Il te suffira alors de cliquer dessus.

Si cela ne fonctionne pas, ce n'est pas grave mais il faudra que tu songes à changer de navigateur. Pour avoir mon blog, il y a d'autres solutions. La plus sûre est d'aller dans cette barre blanche et de taper son adresse puis la touche "entrée". 

Son adresse est très précisément : http://www.aubistrogeek.com.