29 septembre 2011

Fr@amboize est dans Google+ et n'y comprend rien

Fr@mboize vient de débarquer dans Google+ et elle ne comprend rien, elle le dit dans un billet. Je vais apporter quelques précisions à ses remarques.

Remarque 1 : je résume : le mur est « pareil que Facebook ».

Oui et non. C’est aussi pareil que Twitter. Mais ça n’a pas vocation direct à concurrencer Facebook, en tant que « réseau social ». Les gens qui papotent sur Facebook n’ont pas que ça à faire d’aller dans Google+.

Google+ est aussi bien que Twitter pour diffuser des publications et donc pour en repérer et la lecture est beaucoup plus conviviale qu’avec Twitter et Facebook.

La où Google+ concurrence Facebook, c’est dans le fait que le compte Google+ est le compte Google, la sortie de Google+ pousse donc les gens à créer des comptes Google et, de fil en aiguille, le machin se retrouve avec des comptes dans tous les machins de Google (Google, Youtube, Gmail, Google News, Google Reader,…). Facebook et Google sont les deux géants de l’informatique d’aujourd’hui et donc au cœur de l’informatique de demain. Ils se concurrencent sur l’hégémonie du web.

Google+ n’est qu’un gadget, de même d’ailleurs que le volet « réseau social ».

Quand un type ira dans le site de commerce du futur, il s’identifiera avec le compte Google ou Facebook. Il paiera avec son compte Google et Facebook et ceux-ci traiteront des flux financiers monstrueux. Enfin, ils connaitront vos habitudes de consommation et pourront vendre à des annonceurs des publicités ciblées (donc beaucoup plus chère) quand vous regarderez la télé, parce que la télé sera « réellement » diffusée par Internet.

Ainsi, Google et Facebook vont avoir à capter le marché mondial de la diffusion de la publicité sur la télé et la radio ce qui est autre chose que la publicité sur Internet. Et ils vont piquer des flux financiers aux banques et aux réseaux tels que American Express, Mastercard, JCB, Visa, …

Remarque 2 : je ne résume pas. Sauf une partie : des « amis » peuvent être dans plusieurs cercles.

C’est très pratique ! J’ai des copains blogueurs : ils sont dans mes cercles « copains » et « blogueurs », ce qui me permet de diffuser à ceux qui sont susceptibles d’être intéressés et de voir ce que les gens ont à dire dans chaque catégorie, selon le temps que j’ai à consacrer à la lecture.

J’ai aussi un gigantesque cercle « autres » avec 800 types (je crois), ce qui me permet de récupérer des informations bien diversifiées. Je m’abonne au hasard (ils s’abonnent en retour à moi et lisent donc mes publications : de la publicité pour mes billets ou ceux des copains), je lis la leur quand j’ai le temps (c’est surtout le matin, au réveil, ou au bistro, à partir de l’iPhone quand je suis tout seul) et je vire les casse-burnes (une dizaine depuis le début, peut-être, mais ils n’en sont pas informés). Par contre, contrairement à Twitter, je ne cherche pas à entretenir une relation personnelle. Je ne commente que quand j’ai quelque chose à dire et pas uniquement pour déconner, parce qu’à force de déconner dans Twitter, on finit par s’attacher aux gens.

Remarques 3 et 4 : je n’utilise pas ces machins.

Remarque 5 : à quoi servent les « +1 ».

Je crois que personne ne sait réellement. Y compris chez Google.

Mais ça habitue les gens à partager et donc à utiliser leur compte Google.

Conclusion : mais où va Google ?

Ils ne le savent pas à moyen terme ! Personne ne sait de quoi sera faite l’informatique de demain. Il faut innover, lancer des applications, des nouveaux services.

Google est un pro. « Tout le monde » rigole des échecs de Google Wave et de Google Buzz mais il y a des milliers de startup qui échouent chaque année… et d’autres qui réussissent !

Les lascars qui ont lancé Facebook et Twitter ont du de la chance que ça marche mais ils ont du galérer pendant des années, à développer mais aussi à cherche des investisseurs parce que ça ne rapporte du pognon qu’au bout de longtemps… Facebook et Twitter auraient pu échouer. FriendFeed, par exemple, avait failli prendre le dessus sur Twitter, il y a environ deux ans. Mais Facebook et Twitter avaient échoué, personne ne se serait foutu de la gueule, ne les connaissant pas…

Beaucoup de gens critiquent Facebook ou Twitter. Par exemple, il y en avait qui critiquaient Twitter parce que c’est limité à 140 caractères. Ils ont mis des mois à comprendre que c’était la force de Twitter !

L'avenir nous dira. Je ne sais pas quoi. Et beaucoup d'autres choses...

28 septembre 2011

Mais où va Google ?

Depuis quelques jours, je n’arrête de ronchonner au sujet des produits de filiales de Google et de Facebook alors qu’elles évoluent sans cesse. Pourtant, différents signes laissent à penser qu’une révolution tranquille est en marche. Avec Xapur et d’autres « blogueurs Blogger », on s’interroge beaucoup.

Je peste mais je salue les performances technologiques et ergonomiques. Je parlais des évolutions des modes de visualisation des blogs Blogger, propriété de Google, dans un billet, ce matin. Elles sont fabuleuses.

Même si elles ne concernent que les lecteurs et tauliers de blogs Blogger, elles méritent qu’on s’y attarde un peu.

Elles ont comme conséquence de tuer certains pendants du blogage, notamment l’aspect réseau social. La ou les colonnes « utilitaires » disparaissent : il sera impossible d’y mettre une blogroll visible (on peut toujours la mettre dans une page, mais elle perd son intérêt) et le gadget « Google Friend Connect » qui permet de s’abonner facilement à blogueur. Aucun des autres gadgets, comme les boutons d’abonnement ou les compteurs de visites, y compris Google Analytics, ne pourront être utilisés. Je ne pourrais plus fanfaronner avec mes boutons de number one Wikio des blogs politiques et « généraux » sur le blog politique (ce dont on se fout royalement, Wikio disparaissant dans une quinzaine de jours).

Ainsi, Google semble se concentrer sur lui-même. Il n’y a plus de passerelle entre les applications tiers et les blogs Blogger, même si les boutons de partage avec Facebook et avec Twitter (et Google+, bien sûr) sont toujours présents. Il ne s’agit pas, non plus, de se fâcher avec ses clients.

L’utilisateur sera ainsi obligé de concentrer son réseau social de blogueur sur… les trois gros réseaux sociaux, sachant que Facebook est souvent plus réservé à un usage familial. Le « blogueur blogger » va se retrouver à partager dans Google+, à utiliser ce machin pour visiter ses blogs favoris.

Pour ma part, je dis souvent ici que j’attends avec impatience la transition entre Google Reader et Google+ mais il ne faut pas oublier que certains blogueurs utilisent essentiellement leur propre blogroll, notamment les blogrolls dynamique (les blogs triés dans l’ordre inverse de la date de sortie des billets) pour visiter leurs blogs préférés.

D’ailleurs, je peste depuis ce matin : Google Reader n’est plus accessible à partir de la « barre de menu noire » en haut de gmail. Ca faisait des années que je cliquais sur ce machin pour consulter les blogs des copains. Il va falloir que je change de stratégie... Et j'ai un doute sur l'avenir de Google Reader (c'est la dernière application dont l'ergonomie n'a pas évolué conformément aux autres).

Dans un récent billet, je signalais un bug d’une application que j’utilise. Lolobobo m’a conseillé une autre application. Je pestais à l’idée de devoir m’inscrire dans un nouveau machin avec un nouveau mot de passe et tout ça. Finalement, je me suis inscrit avec mon compte Google, donc Google+, ce qui est bien pratique.

J’en parlais récemment mais beaucoup de gens s’imaginent que la guerre entre Google+ et Facebook tourne autour de la publicité mais les revenus directs de Facebook (Google est autre chose : il vent de la publicité partout, pas uniquement dans G+) sont dérisoires. Un des enjeux de cette guerre est l’identification partout à partir du compte Google ou Facebook (ou Twitter, d’ailleurs, mais c’est beaucoup moins grand public). Je ne vais pas refaire le billet que j’ai déjà fait, mais, un jour, votre télé sera directement un navigateur web. Quand une publicité passera vous pourrez cliquer et acheter directement le produit (pour résumé) : l’identifiant utilisé pour vous connecter sera alors aux centres des enjeux commerciaux.

Souvent, il y a des polémiques à propos des cookies que vous forcent à embarquer Google et Facebook, ou des boutons « J’aime » et « +1 » qui les permettent de vous suivre à la trace, même quand vous n’êtes pas connectés. C’est l’autre enjeu, avant la pub, de cette guerre : Google « ou » Facebook connaitront parfaitement vos habitudes de navigation et, à terme, par conséquent, de consommation. Là, ils vaudront très chers car ils permettront de vous proposer directement, sur votre télévision, les publicités susceptibles de vous intéresser.

Google et Facebook vont capter le commerce par Internet et surtout le fabuleux marché de la publicité à la télévision.

Le réseau social n’est qu’une farce, un motif supplémentaire de vous forcer à utiliser en permanence ces machins, et c’est l’objet de la nouvelle TL de Facebook (qui n’a pas, comme Google, toutes les applications satellites).

Je le disais dans un billet ce matin, le trafic de Google+ a explosé mercredi dernier (en gros, hein !). Globalement, Google+ a été ouvert (les inscriptions n’étaient plus uniquement sur invitation) et par une habile flèche bleue, tous les utilisateurs de Google se sont trouvés invités à aller sur Google+ ouvrir un compte, ce qui a été probablement favorisé par le fait que la plupart des internautes ont déjà un compte dans un produit Google.

Je parlais à l’instant d’une application à laquelle je m’étais inscrit avec mon compte Google. C’est bien mon compte Google et pas mon compte Google+ (c’est la même chose, je sais…). Je le sais parce que j’ai fait ça du bureau et le proxy de mon entreprise interdit l’accès à Google+, Facebook et Twitter (comme à la plupart des réseaux sociaux qui n’ont pas une vocation professionnelle).

En testant les nouveaux modes de visualisation, ce matin, j’ai constaté que les boutons de partage Facebook, Twitter et Google+ sont bien présents, ce que je disais plus haut. Mais ça ne me servait rien : je n’ai pas accès à ces machins.

Sauf que j’ai réussi à faire un partage Google+, parce que les applications spécifiques à Google+ ne sont pas utilisées, ce sont directement des services Google.

Ainsi, les utilisateurs qui vont prendre l’habitude de clique sur +1 pour montrer leur approbation à n’importe quoi, vont être invités à partager dans Google+ même s’ils ne savent pas qu’ils disposent de comptes Google+, compte qu’ils ont créé un jour par hasard. Alors qu’il est impossible d’avoir un compte Facebook ou Twitter sans le savoir.

Tout le génie de Google ?

Blogs Blogger sur mobile : big fail du partage ?

Pour préparer un billet, je viens de tenter le partage des billets de mon blog dans sa version mobile : mon aimable hébergeur, filiale de Google, multiplie les prouesses techniques mais a "oublié" la fonction partage vers Google+. C'est ballot.

Peut-être préparent-ils une évolution du bouton +1 bien présent en dessous du billet ?

En outre, pour le partage vers Twitter (je n'ai pas essayer vers Facebook), ils ont oublié d'automatisé le raccourcisseur d'URL, ce qui empêche de faire un joli tweet avec un joli commentaire. En outre, mais je doute que les difficultés sont nombreuses, il serait préférable d'aller automatiquement dans l'application sur le mobile plutôt que dans l'interface web de Twitter, pas franchement au top. Peut-être attendent-ils que des API Twitter soient directement intégrées à l'OS de l'iPhone, ce qui ne saurait tarder, d'après la rumeur.

Vers la fin des pages fan de Facebook ?

Je tenais à signaler ce billet, en une de Wikio (tant que ça existe encore...), donc qui a déjà bien tourné sur le web et dans Twitter, qui évoque une modification du comportement de Facebook par rapport aux pages. De fait, je constate depuis peu une baisse du nombre de suivi des pages que je gère, dont celle du groupe Leftblogs. 

Facebook se concentrerait vers les applications... Est-ce une manière pour Facebook de se préparer à lutter contre des évolutions de Google+, notamment celles réservées pour les entreprises dont on attend beaucoup la sortie ?

Dans l'attente, je me demande ce qu'ils réservent comme possibilités pour les blogueurs pour permettre aux gens de "s'abonner" autrement que par Twitter et les flux RSS...

Blogs blogger : méfiez vous des nouveaux affichages dynamiques !

Je viens de présenter les nouveaux modes d'affichages des blogs blogger. C'est génial, très beau et tout ça, mais ne l'appliquez pas à vos blogs ! Vous perdriez la colonne utilitaire, celle qui contient les blogrolls (primordiales : les blogs ne sont que des éléments de réseaux sociaux), l'accès à vos vieux billets, les widgets divers mais aussi les compteurs de visites et toutes les saloperies que vous rajoutez en mode HTML...

Votre blog serait plus beau, mais vous perdriez des visiteurs et en ferez perdre à vos potes.

Blogs Blogger : nouvelles présentations des blogs

Le blog de Google France annonce des nouvelles possibilités pour l'affichage des blogs Blogger. Dans l'illustration, à gauche, par exemple, on a la liste des derniers billets.

Ainsi, la présentation de votre blog est totalement foutue en l'air et vous perdez un temps dingue  pour revenir en arrière, ce que je viens de faire.

N'utilisez pas la fonction sans être sûr de vous...

Pour revenir en arrière, il faut aller sur l'option pour personnaliser le blog et cliquer sur le machin pour revenir aux modèles statiques.

Blogger : "blog suivant" en Français

J'ai découvert par hasard (en préparant mon prochain billet) que la fonction "blog suivant" qui permet de trouver un blog blogspot au hasard parmi ceux ayant publié récemment ne propose dorénavant plus que des blogs en français.

Le trafic de Google+ explose : multiplié par 13 en une semaine

J'ai l'habitude se suivre actu.voila.fr pour rebondir des informations grand public pour faire mes billets du blog politique et je suis tombé sur cette dépêche AFP surprenante : le trafic de Google+ a explosé la semaine dernière suite à l'ouverture sans invitation !

A mon avis (uniquement...), le site n'a pas un engouement particulier subit mais des tas de gens se sont retrouvés avec un compte "par hasard" (soit ils ont cliqué, soit leurs comptes chez d'autres produits de Google ont été automatiquement convertis en compte Google+). Du coup, à chaque fois qu'ils se connectent à http://www.google.fr, ils sont automatiquement considérés comme connectés à Google+ !

Vous en pensez quoi ?

27 septembre 2011

Facebook : laissez-nous vivre !

« Suite à la nouvelle version de Facebook, qui arrive doucement, mais surement chez tout le monde, vous seriez gentils de faire ceci :
- Passez la souris sur mon nom
- Attendez de voir la petite fenêtre s'afficher
- Passez la souris sur abonné(e) et décochez « Commentaires et mentions j'aime »
J'aimerais ainsi que les commentaires de mes amis et ma famille ne soient pas rendus publics ! Merci ! Copiez ceci dans votre statut, si vous ne voulez pas que le moindre de vos mouvements soit visible pour tous sur le menu déroulant à droite ! Merci ! »

J’ai trouvé ça sur le profil Facebook d’une de mes petites-cousines. Arrêtez de partager des chaînes. Ces propos ne veulent pas dire grand-chose...

Sans compter que ça fait des mois que vous vous en foutez totalement de ce que vous mettez dans « votre Facebook » et des commentaires mis par vos proches. Les gens sont incroyables. L’autre jour, je me suis fait engueuler parce que je mettais dans mon Facebook (via Foursquare), la géolocalisation de mon appartement. Il parait que c’est dangereux.

Heu, ça ne donne pas l’adresse, juste le pâté de maison, le bip pour rentrer, l’étage…

Et surtout, il faut revenir dans la vraie vie : je suis dans l’annuaire.

A part ça, Facebook nous a encore sorti une nouvelle version pour l’iPhone (je n’ai pas encore vu le nouveau Facebook), bouleversant l’ordre d’affichage des informations. Voir l’illustration. Les deux derniers statuts sont des billets à moi et le précédent, une publication d’un gugusse probablement fort sympathique mais que je ne connais pas. Je m'en fous. Avant, je ne voyais que les machins des zigotos avec qui je papote souvent. L’option n’existe pas, il y a un nouveau machin pour afficher par groupe de relation. Mais je ne vais pas reprendre mon carnet d’adresse pour classer toutes mes fréquentations.

Prenons une andouille au hasard. Je le range dans les ivrognes, les blogueurs ou les copains ?

Qu’ils arrêtent de changer tout uniquement pour courir derrière Google+. Ils sont les premiers, s’ils veulent imiter les seconds, ils vont tout perdre.

Kikalaplusgrosse dans Twitter

Grâce à Enfluenceur découvert chez Le Modérateur, je vois que je suis 180ème au rang des influenceurs de Twitter. Mon compte @jegounblogs est 182ème. Je me rattrape. Avec @kremlindesblogs aussi, d’ailleurs, qui est 211ème. Leftblogs est 213ème.

Tiens ! @dadavidov qui le gère est 214ème. @detoutderien, autre Tourangeau tout rougeau notoire est 224 ce qui est mauvais mais moins pire que @yannsavidan, à 226.

@guybirenbaum, le seul copain avec 35000 abonnés, est à 230, ce qui montre le sérieux de la chose… @sebmusset est à 241.

Gularu 253

Et si j’avais lu un peu plus le billet du Modérateur, j’aurais su que tout cela n’est qu’une farce (j’ai testé les comptes dans cet ordre, le nombre est croissant…).

Google et historique des recherches

Je savais que Google mémorisait depuis peu les recherches effectuées. Je suis allé faire un tour par hasard, ce matin, et je n'ai pas reconnu des recherches que j'avais faites. Je me suis alors souvenu que je ne les ai pas faites avec Google mais avec Google News et Google Image...

Pire, j'ai trouvé des recherches sur des mots farfelus (voir l'illustration). Je me suis demandé ce que j'avais bien bu faire et j'ai soupçonné un bug pendant quelques secondes. Puis je me suis rappelé que c'était des mots que j'avais recherché en faisant les mots fléchés de France Soir, hier, à partir de l'iPhone.

Je n'avais pas fait attention que j'étais aussi connecté à mon compte Google sur ce machin (je m'étais connecté à Google+ quand l'application n'était pas encore sortie et je commente les blogs Blogger).

Le monde est petit : c'est effrayant.

Imaginez que je cherche un truc saugrenu, comme "gros nichons", ce qui m'arrive assez fréquemment, mais pas par obsession (je connais de très bon sites de cul), juste pour illustrer des billets de blogs. N'importe qui va sur un PC où je suis connecté (au bureau, chez ma mère, à la maison, ...) peut savoir les recherches que j'ai faites.

Plein de bugs

Google a mal choisi son jour pour fêter son anniversaire. C’est celui que j’ai choisi pour protester pour les nombreux bugs que je rencontre avec les produits de cette honorable maison.

J’en profite pour présenter mes excuses à mes non moins honorables lecteurs. Bien le bonjour.

Il y a tout d’abord cette difficulté pour mettre des images dans les billets. Il faut s’y prendre à plusieurs fois, c’est rageant.

Il y a surtout les tweets émis lors de la parution des billets qui sont émis sans lien et avec des titres sur lesquels on ne peut pas cliquer dans Google Reader. Je croyais avoir trouvé l’origine du problème, avec Disp, mais niet : ça continue. Je ne sais pas si le bug est dans Feedburner ou dans Blogger, mais c’est pareil : c’est Google qui édite ça.

Hors Google, il y a une grosse merde chez http://backtweets.com/ (illustration ci-dessous) qui ne voit que les tweets avant vendredi et ceux de la dernière heure.

Bon anniversaire quand même, va !

26 septembre 2011

Enfin Google Reader dans Google Plus !

Depuis la sortie de Google+, j’attends que Google fasse la jonction entre ses différents produits, notamment entre Google+ et Google Reader. D’après Dadavidov, c’est maintenant chose faite : les éléments à lire apparaissent dans la colonne de gauche.

Il semble qu’il reste quelques améliorations à apporter…

Edit : l'information est fausse. Dada vient de l'avouer : il avait installé une extension...

Profitez-en pour lire le billet de FalconHill sur la copie d’écran de Dada, que je lui pique sans vergogne.

23 septembre 2011

Savoir qui parle de votre blog dans Google +

Il suffit de taper l'URL de son blog dans la zone de recherche. C'est Thierry qui nous l'apprend.

J'en profite pour remercier le vieux et Nicolas qui m'ont googleplussé.

22 septembre 2011

7 conseils pour solliciter des blogueurs geeks

En tant que blogueur geek, je reçois énormément de mails de sollicitation directe ou non pour que je présente des produits, des services, des applications, … J’en présente d’ailleurs quelques uns ici même ou ailleurs pour différentes raisons, souvent parce que ça correspond à ce que je crois que mes lecteurs attendent, d’autres fois parce que j’ai envie d’encourager une start up ou que les gugusses semblent sympa.

J’ai beaucoup de respect pour les boites qui bossent comme des fous pour développer des produits et pour les patrons qui passent leurs nuits à contacter des blogueurs. Je ne sais pas comment ils repèrent mon blog, je suppose que c’est via le classement Wikio. Je vais donc les avertir : d’après mon compteur de visites, chaque billet est lu par 250 ou 300 personnes. Avec moi, ils perdent de l’énergie pour rien. Mon blog est bien classé chez Wikio pour une foule de raisons mais en aucun cas pour son nombre de lecteur et donc de la réputation qu’il a…

Quand je reçois un mail qui ressemble à une sollicitation, je l’ouvre. Si je le reçois avec l’iPhone, il y a neuf chances sur dix pour que je le foute à la poubelle avant même d’avoir lu la première phrase. Si je le reçois pendant les heures de travail sur mon PC de bureau, je le lis un peu plus pour savoir de quoi il retourne.

Premier conseil aux « solliciteurs » : envoyez-moi vos propositions à 11h45 ou à 18h. Comme je me barre dans la demi-heure qui suit, il est possible que j’ai envie de faire un billet sur mon blog.

Autres conseils : lire le billet qu’Achille dédie à ce sujet. Je suis à peu près 100% d’accord avec lui, y compris sur les détails, comme les PDF joints (en plus, on n’a pas que ça à foutre).

Je vais en donner d’autres :

Petit 1 : ne faites pas croire que vous connaissez le blog si vous ne le connaissez pas, il y a rien de pire. J’ai déjà reçu un mail commençant par « J’aime beaucoup votre blog Partageons le reste » or le blog se s’appelle plus ainsi depuis l’été 2009.

Préférez une introduction  générique : « Bonjour, Puisque vous tenez un blog à propos des nouvelles technologies, je me permets de m’adresser à vous pour nous présenter. Nous sommes une petite startup française crée en mai 2010 et nous développons une application pour l’iPhone qui utilise sa géolocalisation pour trouver un bistro près de vous où le demi-pression est à moins de 2€20, ou tout autre montant. Le contenu est élaboré à partir des établissements référencés dans Foursquare et des prix communiqués par les utilisateurs. D’ailleurs l’application est couplée à Foursquare et vous pourrez l’utiliser comme tel une fois que vous serez dans le bistro choisi. Vous remercions pour l’attention que vous apporterez aux informations ci-après, Cordialement, Suzanne Merle, co-fondatrice. »

Petit 2 : ne spammez pas. Regardez le blog rapidement. Je reçois périodiquement des invitations pour des conférences pour la sortie de nouveaux produits, comme des téléphones portables. Une rapide lecture de mon blog permettrait de voir que je n’ai pas de publicité et donc que j’ai probablement une activité rémunérée donc pas le temps d’assister à une conférence. Elle permettrait également de constater que je ne parle jamais de téléphones portables, à part de l’iPhone puisque j’en ai un.

En spammant, vous discréditez vos collègues (qui spamment aussi, rassurez-vous).

Petit 3 : dès le début du mail, permettez au destinataire de comprendre en moins de cinq secondes de quoi il retourne. Prenez mon exemple, dès le début, on sait :
-         qu’on est sollicité en tant que blogueur techno (ça parait con mais quand je reçois un mail de publicité, je ne sais pas si je suis sollicité comme simple citoyen ou, si je le suis comme blogueur, pour quel blog),
-         que c’est une startup française récente (ça rend sympathique, l’envie de donner un coup de main),
-         que c’est une application iPhone pour trouver des bistros.

Petit 4 : en complément, le mail doit être court (mais complété par une présentation technique, fonctionnelle, …). Avec mon exemple, on a tout les détails :
-         c’est basé sur Foursquare,
-         ce sont les utilisateurs qui fournissent les données (le blogueur n’est pas fou, il sait que vous avez besoin que ça buzze pour avoir une base importante d’utilisateurs),
-         c’est couplé à Foursquare,
-         des informations complémentaires sont fournies plus bas,
-         la personne est polie,
-         c’est une des fondatrices de la boite qui vous cause, pas une société de communication.

Petit 5 : voir le petit 3 et le petit 4. Ca permet au blogueur de faire un simple copié-collé pour avoir la trame d’un billet s’il veut vous rendre service.

Petit 6 : donnez tous les liens nécessaires (Apple Store, par exemple).

Petit 7 : donnez un lien vers une page quelconque où le blogueur pourra prendre des illustrations, logo, directement. Ca me fatigue de faire des copies d’écran de page Web, d’en copier une portion, ou, pire, de télécharger l’application iPhone, d’y faire la copie d’écran et de m’envoyer l’image par mail… (je n’ai pas le choix).

Enfin, n'attendez pas de réponse. Vous faites un boulot ingrat et vous vous donnez du mal.

Les blogueurs aussi, peut-être. Vous les avez incommodés... Pardonnez-leur...

21 septembre 2011

Un agrégateur de flux pour iPhone


Ce n’est pas tous les jours que je prends mes informations geeks chez Dominique, mais il nous présente aujourd’hui Byline, un agrégateur de flux pour iPhone. Je dois reconnaître que je ne m’étais jamais poser la question d’utiliser une telle application, consultant par habitude les blogs directement à partir de Google Reader. Mais quand j’ai vu que ce machin offrait la synchronisation avec Google Reader, j’ai craqué et téléchargé.

Mes premières impressions :
-         la synchronisation en question est très rapide (c’est un gros avantage pour moi, je n’ai pas la 3G au bureau et je n’ai que trois ou quatre minutes de marche avant de plonger dans le métro – loin de la 3G, donc – en sortant du bureau),
-         il est très facile de connecter son compte Twitter (mais c’est dommage que lors d’un partage le libellé du Tweet ne soit pas formaté),
-         l’utilisation est simplissime.

Je vais donc adopter, a priori.

Dans les commentaires, chez Dominique, j’ai vu que Melclalex utilise MobileRSS. Il n’a pas dit « pourquoi », quels sont les avantages de chaque solution ? Par exemple, la synchronisation avec Google Reader est un gros avantage.

Et toi ?

Du plaisir à partager

D’après la rumeur, Facebook va nous faire une poussée d’acné : entre autres modifications importantes, cette honorable maison va créer des boutons, en plus du « j’aime », pour inciter les autres à écouter, voir ou lire, les publications de ses potes.

Ils réinventent le partage qu’ils avaient supprimé, je crois. Ceci me plait d’ailleurs assez bien, j’en ai un peu part de voir les publications plusieurs fois dans Google+, Google Buzz ou Google Reader quand quelqu’un partage un truc déjà partagé ou publié par quelqu’un à qui je suis abonné.

C’est d’ailleurs peut-être bien la grande difficulté de Google : ayant trois produits au départ, liés entre eux (un partage Google Reader revient aussi, selon le paramétrage, à partager dans Google Buzz), il faut garantir une homogénéité entre tous ces machins, tout en tenant compte des habitudes d’utilisation de chacun.

Je m’explique : je suis un utilisateur de Google Reader où je suis abonné aux listes de partage de certains dont MHPA (et d’autres) pour des raisons bien précises (il ne spamme pas, contrairement à certains qui partagent beaucoup trop).

Mais, MHPA et moi étant potes, on a souvent les mêmes sources. Donc ce qu’il partage dans Google Reader, je l’ai souvent déjà vu. En outre, je retrouve ses partages dans Google Buzz (qui est presque vide), ce qui me gonfle. Je peux paramétrer Google Buzz pour ne pas avoir les partages Google Reader de MHPA et lui peut paramétrer son Google Reader pour ne pas partager dans Google Buzz ce qu’il partage dans Google Reader. Mais, dans ce cas, ses abonnés à Google Buzz qui ne sont pas abonnés à ses partages Google Reader ne bénéficieraient plus des partages.

Reprenez votre respiration et relisez ce texte.

Pour ma part, je partage assez peu avec les outils Google (je n’ai pas l’habitude, chacun ses trucs). Par contre, mes billets de blogs ne sont pas repris dans Google Buzz (je n’arrive pas à paramétrer le machin, j’en avais fait un billet : ils y étaient, je les ai supprimés et je ne peux pas les remettre, comme s’ils n’étaient plus liés à mon compte Google…). S’ils y étaient, ils seraient lus deux fois par les gugusses abonnés à mon compte Google Buzz et à mon compte Google Reader.

Et je n’évoque pas les partages que MHPA fait dans Google+ mais de fil en aiguille, j’en suis rendu à utiliser Google+ pour découvrir ce que des gens que je ne connais pas veulent partager, ce qui me permet de tomber sur une « information différente ».

Tomber plusieurs fois sur les mêmes trucs est gênant parce que ça prend du temps (très peu, mais ça fait râler…). Par contre, c’est toujours intéressant de voir ce que les autres ont souhaité partager. Le serpent qui se mange la queue.

Google doit donc trouver la solution pour « fusionner » les « abonnements » Google Buzz et Google Reader tout en laissant les fonctionnalités propres à chaque machin et ne pas perturber les réflexes de chaque utilisateur.

Je leur souhaite bien du plaisir.

Surtout quand ils devront prendre en compte Google+…

Facebook, avec cette nouvelle annonce, aurait-il repris de l’avance ?

(illustration)

La flèche bleue de Google

La flèche rouge est de moi. Je suis un spécialiste des flèches rouges. Mon blog est mondialement connu pour ça. Ca fait plaisir à Xapur. Minijupe, FalconHill, Vlad et Corto, de droite, préfèrent les flèches bleues. Il y a une flèche bleue, dans cet écran, ils vont être contents. Ma flèche rouge pointe sur la flèche bleue qui a été ajoutée par Google à sa page d’accueil.

Ainsi, Google incite ses utilisateurs (soit environ 80% des Internautes…) à aller sur son compte Google+ que beaucoup de gens ont probablement sans le savoir (s’ils ont un compte Youtube, Picasa ou Gmail).

C’est très fort.

Du coup, je ne recule devant rien.

Je me suis déconnecté de mon compte Google (j’espère que je me rappelle bien de mon mot de passe, sinon je ne pourrai pas publier ce billet…).

Et j’ai chargé la page Google. La voilà pour vous faire plaisir. La flèche est toujours bleue.

20 septembre 2011

Où pisser à Paris ?

C’est présenté par un Breton perdu à Paris, Romain. http://www.peeinparis.com/ permet d’indiquer les toilettes publiques les plus proches. Il y a évidemment une version pour smartphone : voir l’illustration.

On peut même avoir une image satellite dont l’intérêt m’échappe présentement : les toilettes publiques ont généralement un toit et regarder mes congénères même féminines pisser vus de haut de n’intéresse pas.

A part, peut-être, le côté ludique.

Publication des statuts avec l'application Facebook pour iPhone

Une mise à jour de l'application Facebook pour l'iPhone a été diffusée récemment. Elle permet dorénavant de choisir qui pourra le lire parmi ses relations et éventuellement parmi les groupes dont on fait partie (je n'ai pas étudié, mais j'ai découvert mon ancienne boite dans la liste des contacts).

On peut aussi citer des utilisateurs ce qui est une "révolution" car ça manquait réellement à l'ancienne version.

A part ça, pas grand chose à se mettre sous la dent depuis début septembre (ou début août), alors que les mois précédents avaient été très chargés...

18 septembre 2011

Batavosphère

La batavosphère s’enrichit d’un blog ! David rejoint la fine équipe, salué par le chef des blogueurs bataves, Romain, qui nous parle des twittos comme icones du nouveau militantisme.

Ca s’arrose ! Comment ? Je ne suis pas sur mon blog bistro ? Ah ! Merde. Mais c’est un billet politique. Les blogueurs bataves étant les soutiens de François Hollande. Hein ? Ce n’est pas mon politique ? Ah non, tiens.

C’est mon blog geek. Celui là même où je n’ai rien glandé, ce mois, trop occupé par la campagne des primaires et fatigués par trop de billets à propos de Google Plus, en juillet. Figurez-vous qu’à force de tester Google+ et donc Facebook pour comparer, j’ai découvert un jeu : Diamond Dash et j’y passe mon temps. Vous vous en foutez ?

J’espère que David pensera à s’inscrire à http://toushollande.fr/, espèce de machin qui rassemble tous les supporters de François Hollande, sur le web. Je voulais le signaler ici car c’est une initiative sympathique, qui nous permet de nous fédérer, qui nous donne l’impression d’appartenir à une équipe tout en ne nous imposant aucun carcan et en n’ajoutant pas au phénomène de meute.

C’est compliqué, la politique sur Internet ! Je me suis impliqué dans cette campagne comme jamais je ne l’avais fait auparavant et me trouve coincé à mon propre jeu : j’ai aussi l’impression de faire partie du meute de twittos batavophiles, tombant à bras raccourci sur les twittos Ségolistes, sympathisant avec les Montebourgeois, ignorant les autres, sauf LE Vallsiste Louis.

J’ignore où en sont les équipes des autres candidats, à propos de la campagne sur le web. J’ignore même si « TousHollande.fr » est un instrument « officiel » de la campagne de François Hollande.

Je parlais du jeu dans lequel je perds du temps. C’était pour faire un parallèle. Outre Zette, grande joueuse imbattable, je me suis fait des copains, comme Christelle, par exemple. C’est la cousine de Jim, l’ancien serveur de la Comète. On s’est connus de proche en proche et on est devenus potes. On s’envoie des vies et tout ça pour nous permettre de résister plus longtemps devant le monstre Facebook qui veut nous tuer si on ne donne pas des sous pour jouer (Christelle ne connaît pas Google+ qui permet d’avoir des vies en plus).

Il y a une espèce de solidarité avec ce machin, une solidarité qui durera le temps de notre passion commune pour ce jeu et qui disparaîtra quand on aura trouver une autre source d’occupation des dimanches matins.

Avec la meute des twittos et blogueurs bataves, on retrouve un peu cette solidarité éphémère, le temps d’une campagne et c’est ce que j’aime bien avec « TousHollande.fr » : c’est un outil hyper simple (avec des widgets moches mais on ne va pas négocier, il ne reste plue que 4 semaines…), loin d’instruments compliqués comme on a pu voir par le passé. Chacun dit ce qu’il veut dans Twitter et dans son blog, assène des idées, des arguments, des reproches aux adversaires et j’en passe.

Il ne sert à rien, sauf à nous relier, à nous rappeler que les autres sont là.

Je crois des gens, des inconnus qui deviennent potes. Le 17 octobre, on prendra un peu de repos et tous les socialos se mettront en ordre de marche derrière le gugusse qui sortira des urnes.

Le piège de la politique sur Internet est qu’on finit par se couper des gens en dépensant une énergie redoutable. Il parait qu’Obama avait gagné son élection grâce au web. Je n’en sais rien. Je doute que le modèle Américain puisse être importé chez nous. Les blogueurs et twittos politiques tournent entre eux.

Quel est l’instrument de campagne idéal, sur Internet, en 2012, en France ?

15 septembre 2011

Evolutions de Google et de Facebook

Le Modérateur nous livre un tas d’informations captivantes sur les évolutions de Facebook, notamment la possibilité de s’abonner à un gugusse, un peu à la manière de Google+ et surtout de Facebook.

Encore un truc à faire attention pour soi et pour ses mômes (néanmoins, l’utilisateur doit activer la fonction s’il veut bien être suivi).

Pierre Chappaz, quant à lui, nous livre des réflexions à propos de Panda : en envoyant moins de liens vers des concurrents, Google éviter de partager le marché publicitaire…

14 septembre 2011

La consommation électrique de Google

Périodiquement, il y a des polémiques sur la consommation électrique de Google. Le géant vient de publier sa consommation, soit 260 millions de watts en permanence, soit 2,7 milliards de kWh par an, ce qui ferait la bagatelle de 275 millions d'euros pour un particulier (si je compte bien).

Une centrale nucléaire ayant une consommation de 1500 millions de watts, je vous laisse en déduire tout ce que vous aurez envie d'en déduire sachant que je m'en fous comme de la première canette de bière que j'ai du ouvrir avec le manche d'une fourchette, en l'absence de décapsuleur.

Google a un site dédié à l'environnement, insistant sur les économies d'énergie qu'ils réalisent. Ici, vous trouverez un tas d'infographies amusantes. J'y ai piqué l'illustration de ce billet qui nous montre que 100 recherches google consomment en CO2 l'équivalent d'une cuiller et demie de jus d'orange.

Je ne savais pas que le jus d'orange consommait du CO2. Ils auraient du choisir la bière. Je suppose que les orangers (et l'orge et le houblon) absorbent du CO2, pourtant.

Google ne serait pas objectif ?

13 septembre 2011

Suivez l'indexation de votre blog chez Google

C'est Thierry qui nous présente Pigresults qui nous permet de recevoir périodiquement par mail des informations sur nos blogs.

Je viens de m'inscrire et n'ai donc pas reçu les premiers mails. Faites donc pareil.

Allez voir le billet de Thierry qui présente rapidement différentes fonctionnalités.

Bug blogger

Depuis quelques temps, on avait un bug, avec les blogs Blogger. J'en ai déjà parlé ici. Les flux ou les billets étaient mal formatés. En fait, il n'y avait pas d'adresse associée au billet :
  • il était impossible de lire le billet "uniquement" (il était bien lisible dans le blog),
  • il était impossible de cliquer sur le titre du billet dans Google Reader pour ouvrir le billet et le commenter,
  • les tweets émis automatiquement lors de la publication des billets ne contenaient pas de lien.
Disparitus avait cru constater que c'était à cause des accents et des caractères spéciaux dans les "libellés". Le bougre à probablement raison. Je viens de tenter de publier un billet avec le libellé "j'ai découvert" (que j'utilise depuis longtemps pour montrer les nouveaux machins). Un message d'erreur s'est affiché quand j'ai cliqué sur "publier" montrant que c'est impossible.

N.B. : Google a une façon bien singulière de corriger les incidents... Ils n'ont pas résolu leur bug mais ont empêché les utilisateurs de mettre des caractères spéciaux...

12 septembre 2011

Application Blogger pour iPhone : big fail ?

Vendredi dernier, j'ai eu à modifier en urgence un billet de mon blog politique (juste virer l'illustration, je ne m'étais pas rendu compte à quel point elle était insultante). J'ai donc utilisé l'application Blogger pour iPhone. Bilan des courses : il a fallu que je bidouille le HTML pour virer la photo. Premier mauvais point.

Surtout, le machin a enlevé quelques espaces entre les mots. Voir l'illustration (entre "disait" et "Ségolène", entre "faut" et "garder", entre "déclaré" et hier, entre "de" et "François", entre "une" et "seule", ...).

Le "plus drôle", c'est que je voulais faire une copie d'écran pour faire un billet avant de corriger... et que ça m'est totalement sorti de la tête...

09 septembre 2011

Sortie de l'Application Blogger pour iPhone

Thierry m’informe par Twitter de la sortie de l’application blogger pour iPhone. Je l’ai donc testée pour vous.

Je vais donc continuer à utiliser Blogpress qui n’a pas ce genre de bug (l’apostrophe dans le titre, voir l'illustration) et semble beaucoup plus souple pour la présentation des billets.

Il y a néanmoins quelques trucs intéressants, notamment pour un gugusse comme moi qui gère 17 blogs (les 4 miens, celui de test, les blogs des copains, les blogs collectifs morts) mais on peut regrette de ne pas disposer de l’accès à l’interface d’administration, pour toutes les actions que l’on fait dans l’urgence (comme la récupération d’un commentaire dans les spams) sans avoir accès à un PC.

Sans parler de la morosité de l'ergonomie.

07 septembre 2011

Google+ : partage de post avec l'iPhone

La fonction est dorénavant disponible ! Et c'est encore par Fred que je l'apprends (il faut dire que ce gugusse fait encore plus de billets que moi...).

06 septembre 2011

Réseaux sociaux : ne diffusez pas trop d'information

J'en parlais dans un de mes billets d'hier : si vous diffusez trop d'information, vous allez lasser vos "auditeurs". Cet article le dit autrement mieux en évoquant les différences entre les réseaux.

Il parait qu'il ne faut pas faire plus de 36 backtweets par jour, avec Twitter. Et j'ai encore des followers...

Linguee.fr : Le plus grand dictionnaire en ligne du monde fait peau neuve

Il y a quelques temps, j'avais fait des billets à propos de Linguee. Je viens juste de recevoir un communiqué de presse, et je me permets de vous le diffuser ici.

Communiqué de presse
Linguee.fr : Le plus grand dictionnaire en ligne du monde fait peau neuve.
Un peu plus d'un an après son lancement officiel, le moteur de recherche de traductions gratuit Linguee est le dictionnaire en ligne le plus complet et l'un des plus utilisés au monde. C'est avec un nouveau design et des fonctions innovantes qu'une des start-ups allemandes les plus brillantes de ces dernières années nous prouve que le mieux n'est pas toujours l'ennemi du bien.
Cologne, Allemagne, le 6 septembre 2011. Le service en ligne Linguee offre depuis août 2010 le plus grand dictionnaire en ligne au monde, dans les paires de langues français-anglais, allemand-anglais, portugais-anglais et espagnol-anglais. Linguee combine un dictionnaire rédactionnel à un moteur de recherche qui explore une base de données de traductions environ mille fois plus importante que celle d'un dictionnaire en ligne traditionnel. La nouvelle s'est si bien répandue que le service répond aujourd'hui à plus d'un million et demi de requêtes journalières. Ce chiffre fait de Linguee un des dictionnaires en ligne les plus utilisés au monde.

Dès aujourd'hui, Linguee s'améliore en proposant de nouvelles fonctions auxquelles il adapte aussi son design. L'équipe de Linguee a travaillé activement pour optimiser son service en ligne gratuit. La nouvelle version offre par exemple un affichage en temps réel de phrases d'exemples pour chaque mot recherché et met à la disposition des utilisateurs un très grand nombre de nouvelles sources bilingues.
« Si Linguee était un dictionnaire sous forme papier, c'est l'équivalent de 75 000 dictionnaires que devrait feuilleter une personne à la recherche d'une traduction », explique Gereon Frahling, fondateur et PDG de Linguee.
« Linguee devient un outil encore plus précieux pour ceux qui souhaitent non seulement traduire des mots simples mais également des mots plus complexes que l'on peut trouver dans différents contextes, ce qui est très souvent le cas dans la pratique. » Linguee fait face à une demande qui croît de jour en jour : à l'heure de la mondialisation, le fait d'être confronté à plusieurs langues fait partie du quotidien, principalement dans le cadre du travail, où les travaux de traduction sont souvent à l'ordre du jour. Aux traducteurs professionnels comme aux autres, Linguee à beaucoup à offrir.

Un design intelligent, de nouvelles fonctions.
Le nouveau design est plus léger et plus aéré, aussi bien sur la page de recherche que sur celle des résultats. « Nous sommes tout à fait satisfaits des changements apportés lors de la refonte de notre site », se réjouit Leonard Fink, co-fondateur de Linguee et associé. « Le nouvel affichage des résultats les rend plus faciles à lire, les phrases d'exemples sont également plus visibles. Les avantages des nouvelles fonctions sautent immédiatement aux yeux. »
Ces caractéristiques sont uniques à l'heure actuelle. L'affichage en temps réel des phrases d'exemples lorsque l'utilisateur passe la souris sur un mot est un véritable atout.

Encore plus de matériel traduit à disposition des utilisateurs.
Linguee n'est pas un traducteur automatique. Notre équipe est responsable du dictionnaire, en vérifie les entrées et l'améliore régulièrement, assurant ainsi sa qualité. En outre, le moteur de recherche de Linguee explore le web et en extrait des textes multilingues. L'index de Linguee répertorie ensuite les phrases et leur traduction - traductions réalisées par des personnes et non par une machine. Linguee avait jusqu'alors accès à plus de 100 millions de phrases d'exemple par langue. La nouvelle version s'est enrichie d'encore plus de textes bilingues et de PDFs de grande qualité. « Notre nouvelle présentation ne fait plus seulement de nous le plus grand dictionnaire actuellement disponible mais aussi le plus clair et le mieux organisé au monde », confient les fondateurs de Linguee.

À propos de Linguee
Linguee.fr combine un dictionnaire en ligne à un moteur de recherche de traductions. La base de données bilingues que Linguee met à la disposition de ses utilisateurs est environ 1000 fois plus importante que celle d'un dictionnaire en ligne traditionnel. Gereon Frahling, Docteur ès Informatique et Leonard Fink développent un an durant leur concept avant de fonder en décembre 2008 la société Linguee GmbH. Le service reste une année supplémentaire sous la forme d'une version beta puis est officiellement lancé en mai 2010. Depuis août 2010, Linguee est disponible en ligne dans les paires de langues français-anglais, allemand-anglais, portugais-anglais et espagnol-anglais. Linguee est aujourd'hui l'un des dictionnaires en ligne les plus utilisés au monde. Des investisseurs de renom, Jörg Rheinbold et la société Brains2Ventures, participent financièrement au développement de l'entreprise.

Google+ Manager, pour Firefox

C'est Fred qui nous présente ça. Indispensable ?

Google arrête son moteur de recherche


Heu, non, rien… Google annonce encore l’arrêt de services divers. Quand El Camino m’a annoncé cette information, j’étais dans le métro et je n’ai pas pu charger la page web. Alors je suis resté dubitatif, ne savant que les services arrêtés m’étaient quasiment inconnus.

05 septembre 2011

Google + et la promotion des blogs

Dans mon précédent billet, l’impact de Google+pour les blogs. Deux commentateurs me signalent que l’impact est nul. Je vaisdonc rappeler deux ou trois évidences.

Google+ est un réseau social : si vous y avez les mêmespotes que dans Facebook et Twitter, qui, de toute manière, sont abonnés à votreblog par l’intermédiaire de leur agrégateur de flux préféré, ça ne sert à rien…

Si vous voulez promouvoir votre blog et votre capacité àêtre un « curator » efficace, il faut multiplier les abonnés à voscercles. Pour ce faire, la meilleure manière est d’augmenter le nombre de vospropres abonnements pour inciter les gugusses à vous suivre en retour.

Ce qui, aidé par une gestion rigoureuse des cercles, ne vousempêche pas d’être "pote avec vos vrais potes" et leur donner du contenu, mais pascelui de vos blogs, celui que vous aurez trouvé en dehors.

Google+ dispose d’une fonction « proposant » d’intégrerdes gens à vos cercles : abusez-en (vous pourrez de toute manièreunfollower en masse sans que ça se voit…).

Si vous êtes un gros blogueurs, un peu comme moi qui ne suispas uniquement un blogueur grassouillet comme El Camino, Gularu, Disparitus, JJU et j’en passe…, ne diffusez pas tous vos billets, vous allez lasser vos auditeurs qui vont vite apprendre àvous reconnaître comme un pollueur. Etudiez le nombre de clics sur chaquebacktweet que vous faites : pour moi, il est dérisoire. Les lecteurs ontvite compris que je backtweetais en priorité les billets de mes potes.

Diffusez de l’information intéressante, jamais par rafale(pour ma part, je vire des cercles, les « sérial diffuseur », surFacebook, Google+ et Twitter), toujours avec un libellé sympathique, montrantpourquoi vous faites suivre cette information.

Au boulot, bordel !



L'impact de Google+ sur mon blog

Jeudi dernier, j’ai publié les statistiques de visites de mes blogs. J’ai eu une petite surprise : Google + apporte exactement autant de visiteurs au présent blog que Facebook. Même si le nombre est relativement faible (83, mais je n’ai pas glandé grand-chose, en août), c’est très surprenant vu que je ne reprends qu’une petite partie de mes billets dans Google + alors qu’ils sont tous repris trois fois dans Facebook (avec mon compte, avec la page associée au blog et avec la page associée aux leftblogs).

Même s’il est bien classé au Wikio, ce blog n’a pas grand-chose à voir avec ceux de mes éminents confrères, il est plus destiné à mes copains blogueurs qu’à un grand public. Aussi, il est relativement logique que mes copains de Facebook ne soient pas très intéressés. D’ailleurs, c’est bien mon blog bistro « personnel » qui a relativement le plus grand succès avec Facebook (alors que sa page n’est pas très « aimée » : c’est mon compte qui envoie des visiteurs).

Pour le reste, on peut en tirer quelques enseignements.

Le premier est que Google a rapidement mis en place ce qui fallait dans Google Analytics pour que les utilisateurs puissent mesurer l’impact de Google Plus.

Le suivant est que les « influenceurs » (comment les appeler ? Les gros curators ?) sont, finalement, beaucoup plus suivis dans Google + (de fait, ma propre activité est très liée à la recherche d’information alors qu’avec Facebook, je papote surtout avec les copains).

Le dernier est que les « liens automatiques » sont beaucoup moins suivis que les liens explicites. De fait, quand je diffuse quelque chose dans Google+, mais « abonnés » savent que je l’ai fait volontairement (plus exactement, à force de voir mes trucs manuels, ils ont perdus l’habitude de me considérer comme un apporteur de visites fiables). En fait, chacun des billets que j’ai diffusés dans plus concernait Google+ et je savais d’avance qu’ils allaient intéresser les lecteurs. Par contre, vu mon nombre « d’abonnés », le résultat global (83) est relativement faible.

Qu’en pensez-vous ?

N.B. :
-         c’est Ptitmiam qui m’a inspiré ce billet. Il saura pourquoi…,
-         je ne diffuse plus aucun billet de moi dans Plus. Faites le pour moi, merci. En fait, j’ai donné une invitation à un jeune collègue et il n’a que moi dans ses cercles. Je ne tiens pas à ce qu’il tombe sur mes autres blogs en utilisant la blogroll…

Bouton +1 sur les navigateurs mobiles ?

J'ai vu dans Presse Citron, ce matin, que Google permettait dorénavant l'affichage du bouton "+1" sur les "navigateurs mobiles".

Sauf pour les blogs Blogger, semble-t-il ? Jamais plus mal servi que par soi-même...

Twitter en tueur de Facebook ?

Twitter évolue : une option permet de relier son compte Twitter à son compte Facebook et d’y recopier les statuts. A lire la bonne présentation et surtout l’analyse par Fred. Je vais lui piquer son illustration, pour la peine.

Dans son analyse, Fred souligne que différents acteurs du web pourraient souffrir de la situation, notamment ceux qui font des applications qui permettent de mettre à jour son statut Facebook automatiquement.

Ca m’amuse.

J’ajouterai un détail : si des gugusses comme moi, avec une centaine de tweets par jour, commencent à utiliser cette fonction, ça va rendre le mur Facebook totalement illisible. Pour un peu que Twitter évolue et permette de diffuser automatiquement les photos sur Facebook...

Twitter en tueur de Facebook ? Voila qui m’amuse aussi.

01 septembre 2011

Off-line

Plusieurs de mes collègues geeks (Fred, par exemple, avec beaucoup d’humour alors que les blogs geeks devraient être sérieux, bordel) sont émoustillés par la sortie de machin Google permettant d’utiliser Gmail, Google Agenda et Google Doc off-line. N’étant pas plus con que la moyenne, je comprends bien l’intérêt de la chose mais elle m’amuse beaucoup.

Elle m’amuse parce qu’elle est représentative du caractère cyclique de l’évolution de l’informatique sur le long terme (il y a trente an, avant l’invention du PC, on était tout on line, puis on est passé au off line, avec Internet on est repassé au on line et, alors qu’avant l’été on vantait encore le « cloud », on repasse à des « applications » off line pour gérer les machins par nature on-line, notamment les réseaux sociaux et les appli pour smartphone qui vont avec).

Elle m’amuse parce que l’intérêt de ces machins est justement d’être on line. On pourrait même rigoler sur l’intérêt d’avoir un système de messagerie off line (on pourrait aussi rigoler avec Agenda et Doc, ce dernier, par exemple, étant fait pour partager des documents et s’affranchir de lourdes applications comme Word et OpenOffice).

Elle m’amuse parce qu’elle est presque réactionnaire : elle va à contre courant du progrès qui nous permet d’être connecté en quasi-permanence.

Elle m’amuse parce que les motifs invoqués sont révélateurs de mauvaises habitudes de travail des internautes, toutes ces petites joies quotidiennes, au bureau, quand je constate que mes collègues perdent du temps à faire des bêtises parce qu’ils sont mal organisés (je ne vais pas délayer mais à titre d’exemple, traitant mes mails au fil de l’eau, je n’ai que très rarement besoin de fouiller dans les archives de ma messagerie et surtout jamais quand je ne suis pas à mon bureau).

Mais un rien ne m’amuse…

Le coup du géant de l’Internet qui favorise le travail off line a un côté truculent.