31 décembre 2011

iCloud est magique !

J’ai récemment fait un billet ici pour dire que l’année 2011 avait été l’année Google+. En fait, à la réflexion, ça a plutôt été l’année Apple, pour moi, redécouvrant, jour après jour, les possibilités des différents gadgets…. Jusqu’à la fin de l’année, visiblement !

Je vous raconte donc ma dernière trouvaille… J’ai fait un billet dans un autre blog, récemment, pour dire que j’avais commencé à lire des bouquins avec l’iPad. Jeudi soir, vautré devant la télé à regarder une connerie (avec ma mère, quand nous « devons » regarder la télé ensemble, nous procédons par élimination : jeudi, nous avons échoué). Je jouais négligemment avec l’iPhone et j’ai découvert que l’application iBook y était installée. Grâce à la magie de l’iCloud, j’ai retrouvé les bouquins que j’avais téléchargés avec l’iPad.

Au fait ! Les livres sont tout à fait lisibles avec l’iPhone. Ce n’est pas ce qu’on fait de mieux, mais c’est très supportable.

Ce matin, je lisais peinardement au pieu avant d’avoir une idée de billet. Je me suis donc levé pour taper mes conneries puis, prêt à me recoucher pour poursuivre mes lectures (non sans avoir fait unautre billet, je suis au top, ce matin !), j’ai eu une idée. J’ai ouvert iBook sur l’iPhone et le bouquin que j’étais en train de lire sur l’iPad s’est ouvert, à la page où je m’étais arrêté.

C’est magique.

28 décembre 2011

2011, l'année Google+ !

L'année 2011 a été celle de Google+, au moins parce que c'est celle de sa sortie ! Google+ dépasse 62 millions d'abonnés ce qui est phénoménal mais reste quinze fois inférieur à Facebook. Des confrères blogueurs montrent l'évolution de ce nombre d'abonnés et Google+ a vraiment la plus forte progression.

Cela dit, rien ne sert de courir, il faut partir à point.

Facebook et Twitter affichent, dans leurs domaines spécifiques, de bien plus fortes progressions.

La vision qu'on a pu avoir de Google+ depuis sa sortie a bien changé. Au départ, je l'ai vu comme un concurrent de Facebook puis comme un concurrent de Twitter mais dès le début, j'ai pensé que l'aspect « réseau social » n'était qu'annexe.

Ce qui compte, pour Google, c'est d'avoir un maximum de compte ouvert, pour que tous les utilisateurs de Google puissent être tracés facilement et que le compte Google devienne celui utilisés par tous les internautes pour se connecter aux applications qui fleurissent sur la toile, pas tout de suite mais au fur et à mesure de développement de l'informatique, notamment lors que Internet (et les PC ou tablettes ou navigateurs, …) remplaceront la télé.

Au début, les geeks ont bien défendu Google+ qui permettait d'entrevoir la fin de l'hégémonie de Facebook puis ont commencé par déchanter suite à certains épisodes douteux, comme l'interdiction de l'anonymat puis l'absence de page, l'absence de diffusion automatique des flux. Facebook a évolué, mettant en place la Timeline (dont personne ne sait à quoi ça peut servir...) mais aussi en supprimant des fonctions comme la publication automatique de contenu (ce qui nécessite maintenant de passer par des applications)...

Pour ma part, j'ai une utilisation bien différente des trois réseaux sociaux :
  • Twitter : je l'utilise pour papoter avec des gens dans l'instant mais aussi pour assurer la « promotion » de mes blogs (de fait, Twitter est devenu un important apporteur de visites),
  • Facebook : je l'ai redécouvert à force de le comparer avec Google+ et je l'utilise maintenant pour papoter avec la famille et avec quelques potes gros utilisateurs « dans la vie privée » comme JJU, FalconHill et Gularu (je ne mets moi-même à jour que rarement mon statut, à part avec la reprise de mes billets de blogs),
  • Google+ : je ne l'utilise que ponctuellement, un peu pour assurer la promotion de quelques uns de mes billets de blogs et surtout pour avoir une autre source d'information.

En 2011, je me suis mis à utiliser comme un malade d'autres machins de réseaux sociaux comme Foursquare et Shazam (que j'utilise surtout pour diffuser des conneries dans Twitter et Facebook).

Chacun aura sa propre manière d'utiliser ces applications et c'est peut-être ce qui a le plus dérouté les blogueurs geeks, au départ, chacun pensant que les Internautes allaient claquer leurs manies sur leurs propres habitudes.

Google+ continue sa progression. A priori, tous les possesseurs de téléphone Androïd devront avoir un compte et Google devrait multiplier les actions pour faire fusionner les comptes Gmail, Picasa et surtout Youtube avec les comptes Google+ et Google. Ainsi, le nombre d'utilisateurs est sensiblement le même au sein des galaxie Google et Facebook alors que beaucoup pariaient sur la chute de Google+ (les internautes n'aiment pas les grosses boites... mais continuent à utiliser massivement Chrome qui est passé en tête des navigateurs récemment ; d'ailleurs Google s'est remis à financer Firefox pour casser une probable future hégémonie...).

Que donnera 2012 ?

Je pense que Google+ développera le volet professionnel (certaines annonces sont déjà faites, mais le retard à combler avec Facebook est important, même si Google a un avantage, vu qu'il référence les sites professionnels et leur assure des visites via l'achat de mots clés, la publicité)...

Pour le reste, je n'en sais rien. Je suppose que le volet « familial » (ou dialogue avec les copains), donc « réseau social très grand public » restera chez Facebook.

Pour le reste, les surprises nous permettront de continuer à faire des billets de blog !

27 décembre 2011

Geek ou politique, cette semaine ?

Voilà bientôt une semaine que je délaisse ce blog. Honte sur moi, mais j'ai de bonnes raisons : n'étant pas à la maison, je ne voulais pas casser l'ordinateur et la wifi de ma frangine pour tester des trucs.

Je vais donc me livrer à un exercice sans précédent : analyser les nouvelles geeks à partir d'un site d'information grand public, je suis sûr que ça fera la joie de monlecteur.


Je sais. Je fais fort. Mais je viens de faire lamême pour le blog politique.

Titre 1 : le blogueur Navalny prêt à défier Poutine devant les électeurs

« Le blogueur anticorruption devenu l'une des figures de l'opposition en Russie, Alexeï Navalny, s'est dit prêt à se présenter à la présidentielle contre Vladimir Poutine, mais uniquement si le régime adoptait des réformes politiques garantissant un scrutin démocratique. »

Poutain ! Ils ont des couilles, là-bas, les blogueurs. Pour ma part, je refuse de défier Sarkozy devant les électeurs. Ou alors, à un comptoir. Je propose d'envoyer Grébert.

Titre 2 : Anonymous dit avoir piraté un cabinet privé de renseignement

Ah ben au moins, ils seront bien renseignés.

Enfin, tant qu'ils ne mettent pas des caméras dans les cabinets de Mme Morano.

Titre 3 : Egypte: le blogueur et militant Alaa Abdelfattah libéré

Ah ! Je crois bien que j'avais fait circuler une pétition pour sa libération.

« Alaa Abdelfattah est accusé de vandalisme et d'avoir incité à la violence le 9 octobre. »

Bon Dieu ! Je précise que mon propos précédent n'est qu'une plaisanterie au premier degré et pas une attaque contre Madame Morano, je ne tiens pas à finir en prison.

Titre 4 : Depardieu et Sarkozy : les internautes s'en donnent à cœur joie

Hé ho, les gars ! Faudrait voir à ne pas manquer de respect. Surtout quand je suis en vacances chez ma sœur et que je ne peux pas déconner avec vous.

« "Politique : les people devraient la boucler", titrait Guy Birenbaum dans un billet publié sur Le Lab d'Europe 1, largement commenté et retweeté sur Twitter. »

Ah merde ! Le Lab n'est pas en vacances, va falloir que je leur ponde un billet pas trop tard. Heureusement que Guy est .

Titre 5 : Génocide arménien : le site de la député UMP Valérie Boyer piratée

Faites gaffe ! Si vous niez que le site de Madame Boyer a été piraté, vous pourrez aller en prison.

Conclusion

Aucun de ces titres n'est geek, j'ai bien fait de prendre des congés.

21 décembre 2011

2011 et 11 trucs qui ont changé ma vie de blogueur et de geek en petite culotte

Alors que Unhuman Geek dresse la liste des flops technos de l’année 2011, l’idée idiote de récapituler mon année de geek m’est bêtement venue en tête avec un melting pot d’acquisitions diverses et de découvertes foireuses, d’implications diverses, dans un ordre ridicule et sans aucune structuration.

On va commencer par un paragraphe sérieux et on déconnera ensuite.

Petit 1 : les morts

Deux des copains que j’ai connu par les blogs et qui sont devenus des amis dans la vraie vie et l’épouse d’un des deux sont mort cette année.

Sans que personne ne s’en rende probablement compte, ceci a considérablement changé ma manière de bloguer et de gérer mon réseau de potes blogueurs qui permettent à mes blogs d’être bien classés au Wikio. Je fais dorénavant les liens vers les copains sans aucune préparation alors qu’avant je faisais attention à bien lier tout le monde. Je lis maintenant toujours autant de blogs mais je ne fais que des liens vers ceux auxquels je pense réellement.

Ce billet est dédié à Marcelle, Jean-Louis et Olivier.

Petit 2 : l’iPhone 4

J’avais déjà un iPhone 3G quand mon opérateur m’a appelé pour me proposer un iPhone 4 pour 14 euros. J’ai accepté.

J’ai donné l’iPhone 3 à un copain parce que je n’envisage pas de vendre ce genre de trucs que j’utilise au quotidien. Tiens ! Un lien

Le 4G a bien changé ma vie grâce à la batterie et à la rapidité.

Petit 3 : la Wifi sur l’iPhone

Je déconne à moitié, là, mais, avant la fin de l’été, je n’avais jamais connecté l’iPhone en Wifi ailleurs que dans un lieu public avec un abonnement professionnel. Ce n’est qu’avec la sortie de iCloud et la version associée de iOS que j’ai pensé à le connecter chez moi (n’utilisant jamais l’iPhone à la maison, je n’avais pas eu besoin de le faire avant). Du coup, j’ai découvert que c’était très facile de connecter une livebox et me connecte donc aussi chez ma mère et au 1880 Café.

En outre, je crois bien que c’est cette année que la Comète a pris la Wifi.

Je ne sais pas pourquoi je raconte ça, moi.

Petit 4 : l’iPad

L’achat est trop récent mais c’est bien la première fois de ma vie que j’ai réfléchi avant d’acheter un truc. Je suis assez flambard dans les bistros, les voyages, … mais très rapiat pour les trucs geeks. Je n’achète un PC que quand le mien tombe HS mais je l’achète impulsivement.

Mon première iPhone a été une entorse, peut-être la seule significative, à ma radinerie mais je l’ai bien acheté sur un coup de tête sans jamais y avoir pensé avant.

Pour l’iPad, c’est bien une réflexion nourrie sur plusieurs mois suivie d’une décision prise sur une semaine. J’en suis sur le cul.

Je n’ai aucun avis sur mon utilisation personnelle du machin, trop récente. Je trouve juste que c’est génial.

Et je pense que Facetime (le machin qui permet de lancer des appels téléphoniques en visio par la Wifi) révolutionnera les relations avec les potes…

Petit 5 : la sortie de Google+

Ce machin que je n’utilise que très peu et surtout toutes les évolutions de Google, la concurrence avec Facebook, … m’a passionné (mes lecteurs auront renoncé à compter le nombre de billets que j’ai faits !). Du coup, le présent blog a eu une très grosse activité à certaines époques de l’année.

Le principale conséquence pour moi désolera les tauliers de Google mais à force d’utiliser Facebook pour comparer les fonctionnalités, je me suis mis à utiliser Facebook mais pas dans le cadre du blogage (même si j’y cause un peu avec des potes que j’ai connus dans les blogs : Trub, FalconHill, Gularu, JJU, notamment).

Une autre conséquence probable, pour moi, est que Google+ passe au bureau en https alors que les autres réseaux sociaux me sont coupés. Je l’ai découvert avant-hier (lors du lancement, c’était coupé également). Ca me fera une source de plus pour obtenir de l’information mais aussi en diffuser.

Petit 6 : la création d’un blog plus personne

Empêtré dans la problématique de l’anonymat dans les blogs et le fait que je ne veuille pas que les collègues de bureau retrouvent les blogs, j’ai eu l’idée idiote de créer un blog à mon nom ne laissant aucun doute sur les lieux que je fréquente, les bistros où je picole, … mais sans aucun lien avec mon activité de blogueur.

Je voulais créer une deuxième identité numérique. http://www.nicolasjegou.com était né et le compte twitter associé @nicolasjegou…

C’était complètement con…

Petit 7 : la perte de l’anonymat

C’était complètement con, mon truc, ci-dessus, parce qu’au même moment, j’ai fini par m’en foutre à un point incroyable.

Petit 8 : l’implication politique

De fil en aiguille, je me suis retrouvé « officiellement » dans les blogueurs soutiens de François Hollande. Je fais d’ailleurs partie d’un groupe de veille pour la campagne. Avec ma participation à l’Université d’Eté et tout ça, j’ai la vague impression de suivre la campagne de l’intérieur.

Hop ! Ce soir, on a un pot avec certains, dont Romain, l’organisateur, et Dagrouik. J’espère bien voir d’autres lascars de la bande.

Petit 9 : les jeux

Quand j’étais « petit », je passais des heures et des heures à jouer sur ordinateur puis, pendant plus de 20 ans, j’avais complètement arrêté à part pour tuer le temps, à l’occasion. Lors de la sortie de Google+, j’ai voulu découvrir les jeux proposés et je me suis mis à Diamond Dash et Bubble Island (essentiellement sur Facebook, d’ailleurs).

Et avec l’achat de l’iPad, je me suis mis à Angry Birds.

C’est ainsi que je passe des heures entre Diamond Dash et Angry Birds mais aussi un simple Solitaire, heures que je consacrais avant à « la veille » et à Twitter (avant j’émettais environ 80 tweets, le soir, pendant mes heures de bistro, je n’en suis plus qu’à une vingtaine).

Petit 10 : la diffusion des billets de blogs

C’est un sujet qui me passionne depuis des années (les blogs politiques sont beaucoup moins lus que les blogs geeks ; en outre, le mien, bien que premier au Wikio, n’est pas « sérieux » et n’est pas aimé par beaucoup d’intellos politiciens de pacotille).

Cette année, j’ai « beaucoup » travaillé sur :
-         la page Facebook et le compte Twitter des Leftblogs (c’est surtout Dada qui a bossé, d’ailleurs),
-         Le site http://kremlindesblogs.fr, le blog et le compte twitter associés,
-         Mes propres pages Facebook (qui ne m’apportent rien),
-         La diffusion des flux d’information ailleurs que sur @jegoun mais vers @jegounblogs, les heures de diffusion, l’étude d’impact de chaque tweet, …

Petit 11 : la fermeture de Wikio et de Backtweets

Backtweets permettait de suivre les billets de blog backtweeté et a fermé suite à son rachat par Twitter. J’ai fini par trouver d’autres machins pour le remplacer mais, au final, j’ai été complètement sevré : je finis par m’en foutre. Je regarde uniquement comme indicateur de « qualité » ou de « pertinence » : un billet backtweeté par des inconnus montre qu’il est réussi.

Wikio a été remplacé par Ebuzzing, mon blog politique reste premier du classement général et les autres sont bien classés dans les différentes catégories. Mais http://labs.ebuzzing.fr est coupé par le proxy du boulot (comme les réseaux sociaux mais pour une raison que j’ignore). Donc je n’y vais quasiment plus. J’ai perdu le réflexe.

Dommage collatéral, je ne vais plus non plus, depuis environ un mois sur http://labs.wikio.net/fr/factory qui permet de suivre les liens vers mes blogs. Une deuxième page qui se tourne après celle liée à la mort de mes potes.

Ce qui ne m’empêchera pas de tenter de maintenir mes classements.

Faut pas déconner quand même.

Les 10 vidéos les plus regardées sont au moins dans 10 blogs très regardés

Beaucoup de mes confrères blogueurs geeks ont diffusé des billets avec les 10 vidéos les plus regardées dans Youtube.

Si j'avais osé, j'aurais fait la même chose ayant vu l'information en premier puisqu'elle est diffusée sur l'excellent blog de google.

20 décembre 2011

Doser les publications dans son mur Google+

Google+ a annoncé hier quelques modifications dont une qui permet de doser, dans son mur, la proportion de publications en fonction du cercle des braves gens.

Ca semble très bien, mais je n'avais pas vu que le machin (flèche rouge) est un curseur, qui, en l'occurrence, me permet, en le poussant à fond à gauche, d'avoir toutes les publications de mon cercles "potes" (flèche verte).

Magnifique, non ?

J'en profite pour adresser le bonjour à David qui se trouve embringué dans ce billet.

19 décembre 2011

Unification de la gestion des comptes des applications Google ?

Le taulier de ce blog n'a rien glandé depuis trois jours. Et encore, le présent billet n'a un intérêt que pour les braves gens qui s'intéressent à ma manière de bloguer. Dada va encore gueuler. La semaine dernière, je disais que j'avais deux comptes Google+ et que j'arrivais à me connecter en même temps avec l'un sur Gmail et avec l'autre sur Blogger, dans ma même session Firefox.

Visiblement, ce n'est plus possible depuis cette après-midi.

Qu'on se le dise.

Google aurait totalement unifié la gestion des comptes à ses différents produits.

16 décembre 2011

15 décembre 2011

Comment je m'en sors avec mes deux comptes Google+/Blogger ?

Dans son dernier billet, Myrtille raconte ses difficultés dans la gestion des comptes Google+ et Blogger. Elle met des billets de mon blog en lien, alors je vais me confesser : je ne raconte pas tout ici. La gestion de mon identité numérique relevant de l’anecdote, j’avais raconté ça dans mon annexe.

Lorsque Blogger a proposé de fusionner Google+, après hésitations, j’ai fini par accepter, je ne sais plus pourquoi.

Le résultat a été immédiat : je me suis mis à signer mes commentaires de ma vraie identité. Ca me posait un problème d’anonymat mais j’ai vite décidé de m’en foutre. Par contre, le fait de signer les commentaires de mon nom complet a fini par me déranger, ça avait un caractère trop formel. Je préférais signer de mon prénom.

Du coup, j’ai créé un deuxième compte Blogger, Nicolas J (j’ai laissé le J parce que Google+ exige que les deux champs soient renseignés), rattaché à deuxième compte Google+ (j’en ai même un troisième, mais il est inactif, en plus de la page « Jegoun »).

J’en ai profité pour me créer une deuxième adresse mail, où je reçois les notifications pour les commentaires dans les blogs, mais pour une autre raison : pour éviter d’être perturber en permanence, au boulot. Dorénavant, je ne lis les commentaires que dans mes temps de pause, ce qui me soulage beaucoup. La contrepartie est que je n’ai pas toujours le temps de répondre.

Quand je raconte ça, et surtout la manière dont je gère ça, je passe pour un fou ou un schizophrène alors que c’est tout simple !

A la maison, j’utilise deux navigateurs : un Firefox (en « béta version Aurora ») et un chrome. Dans le Firefox, je suis identifié avec mon vrai compte et ma messagerie principale. Dans Chrome, je suis identifié avec « Nicolas J ».

Sur l’iPhone, je suis identifié dans Safari avec Nicolas J, ce qui me permet de répondre rapidement aux commentaires du bistro ou pendant mes pauses.

Sur l’iPad, je suis identifié avec mon vrai compte (mais sans raison précise).

Enfin, au bureau, dans le même navigateur, je suis identifié avec mon vrai compte pour Gmail, Google Reader, Google Plus, Google Analytics, … et avec Nicolas J pour Blogger. C’est tout à fait possible ! Ils ont fusionné les profils, pas les comptes ! Donc dans le même session d'un navigateur, on peut être connecté aux deux produits indépendamment.

Les blogs et le compte Twitter ne sont référencés que dans le compte Nicolas J, dans lequel je ne publie strictement rien.

Je ne publie pas mes billets dans mon compte Google+, sauf exception, comme celui-ci (il concerne Google+ donc est susceptible d’intéresser les utilisateurs). En effet, contrairement à Facebook et surtout à Twitter, je considère que Google+ n’est pas adapté pour ceux qui diffusent beaucoup (plus exactement, à leurs lecteurs…). J’attends que Google face évoluer ses pages, voire la relation avec Google Reader pour se faire.

Vous savez tout.

Je vais quand même résumer pour ceux qui ne comprennent rien.

Petit 1 : j'ai un compte "Google+, gmail et Blogger" qui est réservé aux blogs ce qui me permet de ne pas signer de mon identité complète pour éviter le côté forme de la chose.

Petit 2 : je peux envoyer des mails à des gens avec mon compte principal sans qu'ils puissent voir par hasard en cliquant sur le profil que j'ai des blogs.

Petit 3 : une fois que c'est mis en place, je n'ai plus rien à faire, tout est automatique.

Evolution des profils Blogger

Il reste des personnes qui n'ont pas fusionné leur profil Google+ et leur profil Blogger. Ce qu'ils ne savent peut-être pas c'est que le look des profils Blogger a évolué pour correspondre aux nouvelles ergonomies Google+ mais Google semble y avoir apporté très peu de soin.

Du coup c'est très moche.

Voir l'illustration. J'ai essayé avec quelqu'un d'autre au cas où : c'est aussi moche.

14 décembre 2011

Et si Google rachetait la division Mobile de Nokia ?

C'est la rumeur argumentée mais démentie qui courre...

Déjà qu'il y a quelques temps, on annonçait que Microsoft lançait un réseau social et que Facebook relançait un téléphone dédié...

Ca bouge...

Google+ et Blogger ou la lente révolution



J’étais en forme, hier ! J’ai fait un plein de billet : un au sujet de la désactivation temporaire de mon compte Blogger et de mon compte Gmail, un à propos de la simili fusion entre les contacts Google+ et Gmail et deux autres où j’abordais la possibilité de faire des publications dans Google+ à partir de Blogger.

J’ai fait un billet, à l’instant, indiquant qu’on pouvait dorénavant animer partiellement son compte Google+ à partir de Gmail, gagnant ainsi en « performances » (et autorisant les salariés dont le proxy interdit l’accès aux réseaux sociaux à utiliser G+).

J’aurais pu en faire deux ou trois autres :
-         un de mes blogs (celui qui me sert pour les tests) a disparu pendant deux ou trois heures,
-         j’ai eu des contacts très cordiaux, par l’intermédiaire d’un forum Blogger, avec des gens de chez Blogger,
-         des publications de copains, dans Google Buzz, sont revenues à la surface (CC a constaté le même phénomène).

J’aurais aussi pu dire qu’on peut diffuser des billets de blog dans Google+ sans y passer (voir l’illustration, je publie ce billet du vieux et ajoute « test » comme commentaire personnalisé).

Tout d’abord, travaillant dans l’informatique, je subodore qu’une grosse mise à jour des applications pourraient être à l’origine de certains phénomènes constatés, notamment ce qui ressemble bien à des bugs…

Ensuite, je vais revenir sur le deuxième alinéa ci-dessus. J’ai en effet contacté Blogger par l’intermédiaire d’un forum pour dire « excusez moi m’sieurs dames mon blog http://martineaubry20.blogspot.com semble avoir disparu, merci de m’aider à le retrouver. »

Quelques heures après, je recevais un mail de réponse, commençant par « Bonjour Jegoun », c'est-à-dire utilisant mon pseudo Twitter ou mon surnom de blogueur politique number one du machin.

La personne qui m’a répondu m’a donc identifié en tant que Jegoun alors que la relation n’est pas évidente. Mon blog de test est rattaché à un identifiant Google+ sans relation avec mon compte Twitter et cet identifiant est gérant de 18 blogs chez Google…

Soit cette personne connaît la blogosphère soit elle a fait une investigation quand elle a vu que je gérais une tonne de blogs. Quoi qu’il en soit, j’en ai tiré une conclusion : Google France s’intéresse à Blogger (et aux blogueurs) ce qui me parait nouveau. A une époque, j’avais l’impression qu’on était un peu laissé à nous-mêmes…

A part le fait que je puisse accéder en partie à Google+ à partir de Gmail, qui n’est peut-être pas nouveau et surtout qui est intéressante surtout pour moi, nous avons donc différentes informations :
-         le rapprochement de la gestion des contacts Google+ et des contacts Gmail,
-         la possibilité de publier simplement des informations dans Google+,
-         la quasi automatisation de la diffusion des billets de nos blogs Blogger,
-         la mise en place d’équipes, chez Google+, chargée de « faire quelque chose » avec la blogosphère Blogger.

Il nous faut maintenant touiller tout ça en tirer des conclusions.

La première est que ces évolutions ne sont probablement pas terminées. Par exemple, on pourrait inventer un machin qui envoie une notification quand quelqu’un « partage » dans Google+ un de nos billets Twitter ou avoir plus facilement la liste des « +1 ». D’ailleurs les +1 seront beaucoup facilement comptabilisés par Google ou Blogger.

Tiens ! Je cite mon camarade Yann qui a un blog chez Typepad, excellente plate-forme mais je la connais beaucoup moins que Twitter. Il n’a aucun moyen de savoir quand je partage un de ses billets sur Google+ ou quand un de mes lecteurs fait un « +1 ».

Par ailleurs, le fait que quand je fasse un billet de blog, il me soit proposé de le publier dans Google+ est une vraie révolution et montre bien que Google voit bien Blogger comme première application de fourniture de contenu pour Google+ (après les publications manuelles des internautes, évidemment). Facebook n'a pas l'équivalent.

Je me trouve bien avantagé par rapport à Yann. Quand il publie un billet sur son blog, il faut qu’il aille chercher l’URL du billet, puis la copie dans Google+. Moi, avec mes blogs Blogger, je n’ai qu’à cliquer sur « oui ».

Enfin, je crois que Blogger est la première application à permettre le partage dans Google+ autrement qu’en passant par le bouton « +1 » ou une publication manuelle, comme si Google avait privilégié ses propres équipes dans la fourniture d’API…

Je ne vais pas m’en plaindre…

J’attends vos propres conclusions dans les commentaires… (pas sur Google+, ici).

Au boulot !

Juste une dernière remarque : c’est bien à ma page Google+ qu’est lié Blogger (c’est logique puisque j’ai fusionné les profils). Que deviennent les pages « entreprise » dans cette histoire ? Je pensais les utiliser pour assurer la « promotion » de mes blogs…

Publiez dans Google+ à partir de Gmail

Mon titre est un peu accrocheur pour une information pas si importante que ça : quand on reçoit des notifications dans Google+, elles apparaissent dans Gmail via un nombre en rouge dans un machin en haut à droite. On peut alors cliquer dessus et, par exemple, répondre aux commentaires ou prendre des gens dans ses cercles sans aller dans Google+. On peut également s'adresser à quelqu'un en utilisant le fameux "@".

C'est anodin me direz-vous ? 

Pas tant que ça... Comme beaucoup de salariés, Google+ comme Facebook et Twitter, me sont interdits par le proxy de ma boite.

Avec cette nouvelle (?) option, je peux maintenant gérer mon compte G+ (sans passer par l'iPhone, ce qui me demandait de sortir des locaux pour capter la 3G, en plus...). Avec la possibilité offerte depuis hier de publier des billets de blog à partir de Blogger, je peux maintenant utiliser G+ pour mon activité de Blogger.

En outre, avec cette possibilité de répondre aux commentaires à partir de Gmail, l'animation autour des blogs et de Google+ va être grandement améliorée...

13 décembre 2011

Blogs Blogger : partagez l'addiction mais surtout vos billets

Dans le précédent billet, je disais que Blogger (pour certains blogs) proposait automatiquement de partager les nouveaux billets dans Google+.

En complément, ce que je n'avais pas vu (contrairement à Soufiane), dans la liste des billets, vous avez un bouton "Partager" sous chaque billet.

Ca mérite bien une flèche rouge, non ?

Blog blogger : exporter ses billets vers Google+ !

C'est tout nouveau, sa vient de sortir ! Quand on publie un billet sur Blogger, le machin nous propose automatiquement de l'envoyer dans Google+ !

Edit : Ah ! Tiens ! Ca n'a pas marché... Ce n'est donc pas déployé sur tous les blogs. Ca marche pour mon annexe... (sur laquelle je n'avais rien diffusé depuis dimanche).

Deuxième édit : ça fonctionne pour mon blog politique.

Google+ dans Gmail

Hé ! T'as vu ? Moi, je découvre (peut-être bien en retard)... Dans Gmail, quand on ouvre un mail, le contact apparait, à droite, avec le compte Google+ du taulier, la possibilité de l'ajouter dans des cercles...

Un pas de plus vers la fin de l'anonymat puisque vos interlocuteurs seront invités à vous ajouter...

En outre, la fenêtre s'affiche également pour les contacts qui n'ont pas de compte G+...

Compte gmail désactivé

Figurez-vous que je profitais de l’absence de mes collègues de bureau pour faire une petite sieste bien méritée (véridique, la soirée a été assez rude à cause de Gaël, voir le compte rendu ici). Au réveil, je consulte ma messagerie. Tout va bien. Mais un café est nécessaire. Je vais le chercher. Je prends l’iPhone avec moi. Machinalement, j’ouvre la messagerie (ce qui était grotesque, je venais de le faire) et le machin m’indique que mon mot de passe est erroné.

Je prends mon café.

Je rentre à mon bureau. Mon compte gmail était déconnecté, il fallait que je rentre mon mot de passe. Voilà que la machine m’indique que mon compte gmail a été désactivé !

Désarroi.

Je cherche sur google (mon avatar restait affiché en haut à droite, je suppose donc que mon compte Google+ existait toujours). Je ne trouve rien.

Je me décide à en faire un billet : compte blogger désactivé.

J’essaie Google Reader : ça marche. A priori, seuls gmail et blogger étaient bloqués.

J’ai fini par remplir le formulaire ad hoc puis, je ne sais pas si c’est lié, la machine a fini par me proposer de m’envoyer par SMS un code pour réactiver mon compte.

Tout est rentré dans l’ordre.

Mais je peux vous dire que c’est flippant ! Mon compte gmail est mon adresse principale (presque la seule, d’ailleurs, j’ai arrêté de multiplier les compte, j’ai juste celle du boulot, en plus, et une autre où je reçois les commentaires des blogs). C’est mon identifiant dans plein de services (tels que Facebook et Twitter). C’est la seule manière qu’ont un tas de gens de me contacter. Sans compter mes archives perdues…

J’ai eu un petit quart d’heure d’angoisse…

N.B. : Voyez l’illustration de ce billet. C’est un message de Google Buzz de septembre 2010 que je viens de recevoir dans mon Gmail… Est-ce lié ?

12 décembre 2011

Parts de marché Internet : la Chine détrône les USA

C'est ce que montre la dernière étude de Translated ainsi qu'un tas de données passionnantes, notamment la baisse progressive de l'utilisation du Français (Internet étant en forte croissance au Brésil, le Portugais devrait nous passer devant).

J'ignore quelle langue ils parlent en Normandie.

10 décembre 2011

La livebox de maman

Je suis un mauvais blogueur geek. Je fais des billets pour demander des renseignements à mes lecteur, pas pour leur en filer. Quand je suis arrivé chez ma mère, hier après-midi, la première chose que j'ai faite est de connecter l'iPad à sa wifi (elle a une « mini livebox ») pour lui montrer l'engin pendant qu'elle préparait la béchamel pour le gratin de choux fleurs avec pommes de terre et des œufs. Même que j'en ai mangé trois part.

Tout fonctionnait à merveille, l'iPhone, l'iPad et le PC étaient connectés en même temps à Internet.

Je suis allé au bistro où j'ai connecté l'iPad et l'iPhone à la wifi locale. Je suis devenu un pro pour saisir les clés à 26 chiffres des livebox.

Quand je suis rentré à la maison (pour manger le gratin), j'ai constaté que l'iPhone ne voulait plus se connecter. Je pensais avoir fait une connerie en me connectant au bistro mais ayant un iPad et un PC à disposition, je n'avais que faire d'une connexion sur l'iPhone.

Quand je suis retourné au bistro (sans l'iPad), l'iPhone s'est connecté immédiatement à la wifi.

Ce matin, au réveil (10h40), l'iPhone n'arrivait toujours pas à se connecter... et le PC ne voulait plus rien savoir. Mon problème d'iPhone ne venait donc pas de lui mais soit de l'iPad soit de la livebox. J'ai éteint l'iPad, je n'arrivais toujours plus à me connecter avec le PC et et l'iPhone. J'ai rallumé l'iPad, il se connectait normalement.

Finalement, j'ai rebooté la livebox et tout est rentré dans l'ordre.

Avez-vous déjà eu des problèmes de ce type ?

09 décembre 2011

Application iPhone : quelle mouche a piqué Twitter ?

Je n'ai pas l'habitude de sodomiser les animaux que je cite dans mon titre ni de gueuler contre les évolutions des applications ; au contraire, j'ai tendance à me foutre de la gueule des gugusses qui ronchonnent et n'hésite pas à les traiter de réactionnaires...

Mais ce matin, avant de prendre la route pour la Bretagne, j'ai téléchargé la nouvelle version de l'application Twitter pour iPhone (alors que des confrères annoncent la prochaine sortie de l'appli web). Elle est très moche et assez peu fonctionnelle par rapport à la précédente (surtout quand on a navigue entre plusieurs comptes Twitter).

Je ne vois pas l'intérêt pour Twitter d'avoir sorti ce machin : l'autre était parfaite...

Enfin, je me doute bien qu'il ne font pas ça au hasard...

Je ne sais pas si je dois remercier Bembelly de m'avoir incité à télécharger ça...

08 décembre 2011

Jeux Facebook sur l'iPhone

Je vous préviens, Mesdames, Messieurs, ce billet à haute teneur pédagogique ne comporte néanmoins pas moins qu’une dimension scatologique et des éléments de ma vie privée qui frisent l’exhibitionnisme à un niveau tout à fait lamentable. Acceptez par avance mes excuses.

Ce billet est dédié à Zette et à David ainsi qu’à d’autres camarades de jeu un peu moins blogueurs. Un petit peu à Gularu aussi mais il est beaucoup accro que d’autres à Diamond Dash. Je vais enfin tous pouvoir les niquer.

Pour l’histoire, je ne jouais plus du tout à des jeux sur ordinateur depuis 1990, époque à laquelle j’étais un véritable champion à Tétris, à part parfois, comme tout le monde, à Démineur ou à Solitaire sur PC pour tuer le temps. Cet été, en découvrant Google+, je me suis mis à tester les jeux et suis devenu fan de Diamond Dash… auquel je joue beaucoup sur Facebook…

Par contre, je n’avais jamais réussi à trouver une application pour jouer à ce machin sur l’iPad ou l’iPhone ce qui me mettait dans un grave état de frustration.

Avant-hier, j’avais un colloc à la maison et j’ai peu dormi. Du coup, hier soir, j’étais crevé et me suis couché de bonne heure. Ce matin, je me suis levé de bonne heure mais j’avais du retard de blogage, j’ai donc glandé devant l’ordi quand je me suis rendu compte que l’heure tournait, il me fallait me préparer pour aller au boulot. Mais je n’avais pas fini ma revue de web. Notamment, j’avais oublié de vérifier mes notifications Facebook, ce que je ne peux pas faire facilement de la journée.

J’ai donc pris la décision du siècle : je suis allé faire caca avec mon iPad pour vérifier mes notifications Facebook.

Nous sommes à un moment grave de la vie de la blogosphère geek : jamais un blogueur zinfluent n’avait été à ce stade de confession.

J’étais donc assis normalement, le caleçon sur les mollets mais sans la tête à ce que je faisais, quand j’ai lancé Facebook dans Safari (et pas l’application iPad, de mémoire). J’avais une notification d’une charmante jeune dame qui « m’offrait une vie » pour Diamond Dash, je l’accepte, et, ô miracle, le machin m’envoie directement dans l’Apple Store où je fus invité à télécharger l’application Diamond Dash !

Joie ! Je l’avais cherchée pendant des heures… Est-ce récent ou ne peut-on y accéder qu’en provenance de Facebook ?

Je télécharge et le temps du chargement, je me consacre à ce que j’avais de mieux à faire : caca.

L’application se charge, je la « connecte » à mon compte Facebook et je continue à jouer, tout en déplorant le fait que je n’arrivais à mettre le son. J’ai donc passé un certain temps à jouer, à manipuler les réglages (j’avais 22 vies d’avance, donc bien le temps…).

Mais j’étais déçu. Outre le fait que jouer à Diamond Dash sans le son est très chiant, le fait de passer la main devant l’écran empêche de le voir complètement et d’anticiper les coups…

Subitement, il devint temps d’aller au boulot. Pour tout vous avouez, j’étais encore sur le trône à l’heure où, d’habitude, je m’engouffre dans le métro. Il me fallait encore prendre une douche, passer à la Comète, foursquariser deux ou trois trucs (pour ne pas me laisser distancer par Louis et El Camino), prendre le métro et faire un billet sur le blog politique avant de commencer ma dure journée de labeur. J’avais une demi-heure de retard.

J’arrive au boulot, je vaque. Et une réunion m’appelle.

Je pose l’iPhone à côté de moi. Je n’arrêtais pas recevoir des push de Twitter à cause de Romain qui était en retard de backtweetage de mes billets et du Pudding qui avait l’humeur badine.

Je jouais donc avec mon iPhone quand j’ai remarqué que j’avais une application Diamond Dash ! Je ne sais pas ce qu’elle foutait là. J’avais bien téléchargé celle de l’iPad en faisant caca le matin mais pas celle de l’iPhone et je n’avais pas fait de synchronisation… Je suppose que c’est à la faveur de l’iCloud que ça s’est fait : je ne comprends rien.

Je l’essaie, ça marche ! Joie. Mais il me fallait tout reprendre à zéro pour avoir plus de bonus. Rage.

Les collègues me rappellent à l’ordre pour me dire que je n’étais pas en réunion pour faire le con avec l’iPhone mais pour travailler.

C’est donc après la réunion que j’ai réussi à synchroniser Diamond Dash avec mon Facebook.

Figurez-vous que l’application Diamond Dash pour iPhone est très bien (même sans le son). La taille de l’écran fait qu’on va beaucoup plus que sur l’iPad et qu’on a une meilleure visibilité du jeu, y compris du chronomètre (indispensable en l’absence de son).

Pour les deux premières parties que j’ai faites, j’ai dépassé les 260 000, sans le moindre entrainement, ce que ne montre pas la copie d’écran à droite (il y a visiblement un bug pour le « record »).

Je pourrais jouer à Diamond Dash en faisant caca au bureau (je n’amène pas l’iPad).

Maintenant, je vais résumer devant vos yeux ébahis. Voila ce qu’il faut faire pour installer l’application Diamond Dash sur un iPhone.

  1. Vous achetez un iPad. Si vous en avez déjà un, il va de soi que les frais seront moins élevés, d’autant que l’application est gratuite,
  2. vous attendez que quelqu’un vous envoie des vies et vous les traitez à partir du site web Facebook dans Safari (et pas avec l’application Facebook),
  3. vous téléchargez l’application sur l’iPad en Wifi,
  4. vous triturez un peu votre iPhone, votre iTunes et tout ce qu’il faut triturer à l’occasion jusqu’à ce que l’application apparaisse sur votre iPhone,
  5. vous connectez votre compte Facebook.

Et hop !

Il est Deezer

Décidément, je ne comprends strictement rien aux offres des opérateurs de téléphonie mobile. Récemment, une petite dame d’un centre d’appel du service client Orange pour que je change de forfait et que je gagne environ 30 euros par mois pour avoir les mêmes services. J’ai évidemment accepté et fait un billet de blog.

Hier, le 7 décembre, date de démarrage de mon nouveau forfait, j’ai reçu un SMS de la part d’Orange qui m’informait que mon « service musique premium Deezer sera activé sous 48 heures » et m’invitait à « configurer dès à présent [mon] compte Deezer ». J’ai zappé et j’ai reçu le même SMS ce matin, j’ai cliqué.

J’avais déjà un compte Deezer ce que j’avais oublié et mon iPhone avait déjà l’application (quand je l’ai acheté, j’ai installé un tas d’applications gratuites…). La « connexion » de mon compte Orange n’a donc pris que quelques secondes.

Je viens de recevoir un mail de Deezer avec, en particulier, ceci : « Nous vous confirmons que votre abonnement musique premium Deezer a bien été pris en compte. Vous bénéficiez de tous les avantages de l'offre musique premium Deezer
- + de 10 millions de titres dans votre mobile et votre ordinateur
- Ecoute illimitée
- Aucune publicité, aucune interruption
- Ecoute en mode hors connexion, c'est-à-dire sans connexion internet, 3G ou Wifi**
- Son Haute Qualité. »

C’est gentil.

Je remercie Orange.

Mais je ne comprends pas pourquoi ils m’ont abonné à ce machin (d’autant que je n’écoute quasiment jamais de musique, vénérant le silence)… Alors qu’ils m’ont vendu un nouveau forfait sur un autre prétexte et ne m’ont jamais parlé de ça.

N.B. : Exceptionnellement ce billet est programmé pour que son titre veuille dire quelque chose.

07 décembre 2011

Un iPhone 4 ne se vole pas...

Je dis souvent tout le bien que je pense de l’iPhone, ici, mais un volet m’avait échappé jusqu’alors… Figurez-vous qu’un type a tenté de voler mon iPhone 4, hier, à l’arraché.

J’étais planté sur le trottoir devant mon bistro fétiche, en sortant du métro, pour lire les mails que j’avais reçus pendant le trajet. Le type passe devant moi, me jette un œil, et, vite fait, agrippe le haut du portable que je tenais dans la main gauche… Le portable n’est pas venu avec.

Faites l’essai avec le vôtre : c’est quasiment impossible d’arracher un iPhone. Les surfaces latérales sont ainsi faites – un peu rugueuse ? – qu’il faut tirer relativement fort, la main (si elle est assez grande, je suppose) se referme automatique.

Le dessus et le dos étant assez lisse, le voleur ne peut avoir aucune prise.

06 décembre 2011

10 conseils pour ne pas passer pour un gros con dans twitter

« Twitter rend méchant » Tel est le titre du billet de monconfrère Sarkofrance en partant de l’exemple d’un twit qu’il a émis et qu’il semble regretter. Il est vrai que, parfois, à force de vouloir exprimer un message en 140 caractères, on fait des formules courtes qui, a posteriori, s’avèrent bien méchantes…

Mais, je crois que cette méchanceté est le résultat d’un autre phénomène : Twitter rend bête.

Il faut l’éviter tout comme il faut éviter de passer pour un gros con.

Premier conseil : ne jamais oublier ce qu’est Twitter

Hier, un sympathique twittos a engueulé un de mes comptes, @kremlindesblogs, parce que je ne m’étais pas abonné à son compte alors qu’il s’était abonné au mien.

Or @kremlindesblogs est un robot qui reprend les billets publiés sur http://kremlindesblogs.fr ! Faire follower quelqu’un par @kremlindesblogs n’a aucun sens puisque personne ne regarde jamais la TL de ce machin sauf moi, quand je me trompe, avec l’application sur l’iPhone.

Le titre de ce conseil est un raccourci mais mon sympathique twittos semble penser que tous les abonnés à Twitter sont comme lui (un « individu »), j’y reviendrai, et avait complètement oublié que des services créaient des comptes twitter pour diffuser de l’information.

Twitter n'est qu'une application informatique utilisée par chacun à sa guise.

Deuxième conseil : ne pas fixer de règle de savoir-vivre

Je reprends mon exemple précédent : où est-il écrit qu’un abonné doive s’abonner à ceux qui s’abonnent à lui ?

Les gens tentent de reproduire dans Twitter des règles de savoir-vivre de la vraie vie.

Par exemple, si un type que je ne me connais pas me dit « Tiens, salut @jegoun », rien ne m’oblige à répondre. Vous allez me dire que c’est grossier de ne pas répondre. Bof. Pourquoi ? Dans la pratique et les règles de savoir-vivre, c’est l’autre qui est grossier : il m’adresse la parole alors que nous n’avons pas été présentés…

Qui de l’œuf ou de la poule ? Je n’en sais rien et on pourrait discuter des heures.

Troisième conseil : ne pas oublier le smiley

Alors que j’étais résolument contre (contrairement à Poireau). J’aime bien l’humour froid, un peu pince sans rire. Mais, à l’usage, il y a souvent des ratés. Des gens qui vous connaissent mal ou qui ne sont pas dans le même état d’esprit que vous pourraient mal comprendre et vous galèreriez à remonter la pente.

Tiens ! Je me rappelle d’une conversation récente, dans les commentaires chez Didier Goux. Un lascar avait lancé une vanne méchante contre les blogueurs de gauche. Je l’avais incendié gentiment. Il avait passé je ne sais combien de temps à tenter de démontrer que je n’avais pas d’humour pendant que je lui expliquais que c’est lui, nananère, qui est mauvais. C’était grotesque mais ça m’amusait beaucoup de le voir trépigner (il ne savait pas que je suis le troll officiel de Didier, comme il est le mien…).

Quatrième conseil : ne plaisantez pas avec des inconnus

Je me suis très souvent engueulé avec des gens que je ne connaissais pas pour des conneries de ma part. Style : je m’emmerde au comptoir alors je lis ma TL et raconte des conneries dans tous les sens.

La dernière fois, c’était une gonzesse qui disait à un type un truc de type « Hé toi, @machin, avec ton bide, tu ne passes pas inaperçu ! ». Mon sang n’a fait qu’un tour, un gros étant stigmatisé, j’ai répondu « Hein ? RT @gonzesse Hé toi, @machin, avec ta bite, tu ne passes pas inaperçu ! »

Elle s’était fâchée… et m’avait probablement pris pour un gros con, à d’autant plus juste titre, que je l’avais prise pour une grosse conne.

Cinquième conseil : faites gaffe quand vous plaisantez avec des gens connus

A un moment, j’aimais bien faire passer Shaya pour une obsédée sexuelle et Mipmip pour une ivrogne. Jusqu’au jour où des abrutis parmi les gugusses abonnés à mon compte ont commencé à rebondir dessus… ou à me prendre pour un gros con, sans comprendre que c’était une sorte de « plaisanterie rituelle » (du comique de répétition en quelque sorte).

C’est d’ailleurs pareil pour mon blog : à un autre moment, avec le blog politique, j’étais passé pour un gros misogyne alors que je ne suis pas misogyne, uniquement parce que des connasses avaient focalisé sur un des mes billets où j’employais le mot « connasse », sans du tout me connaître.

Sixième conseil : n’oubliez pas que l’informatique a plein de bugs

A mon sympathique Twittos qui ronchonnait parce que je ne le followais pas avec @kremlindesblogs, je lui ai répondu « hé ho, tu m’as unfollowé avec @jegoun ». Il m’a répondu que ce n’était pas vrai, que je l’avais unfollowé en premier. Or, je ne sais pas pourquoi, je me souvenais avoir constaté son unfollow (j’utilise une application pour voir qui je followe et ne me followe pas). J’étais sûr de moi et il était sûr de lui. On aurait pu tourner en rond.

Il s’agissait donc probablement d’un bug de Twitter ou de l’application en question qui ne m’avait pas trouvé parmi ses abonnements…

Septième conseil : ne tweetez pas en état d’ébriété

Je m’en fous, ça fait longtemps que j’ai renoncé à ne pas passer pour un gros con.

Huitième conseil : multipliez les comptes Twitter

J’en ai quatre. Ca me permet de changer de compte pour dire certaines conneries. Par exemple, je n’envoie pas mes machins Foursquare sur mon compte principal et je n’envoie pas mes machins Shazam où j’envoie mes machins Foursquare.

Tiens ! Huitième conseil bis : abandonnez Shazam et Twitter

Je refuse de pratiquer.

Neuvième conseil : n’adoptez pas de posture de supériorité

Là, je vais perdre des dizaines d’abonnements à mon blog geek et à mon compte Twitter de la part de gros cons qui vont se dire « pour qui il se prend ce gros con ? »

Dixième conseil : ne suivez pas ces conseils

Vous vous feriez chier sérieusement dans Tweeter et surtout, qu’est-ce que vous en avez à foutre de passer pour un gros con (ou une grosse conne, je ne suis pas sectaire) auprès d’avatars que vous ne connaissez ni des lèvres ni des dents.


Sacrés pure players !

Dans monbillet d’hier soir, sur le blog politique, je saluais la venue de nouveaux sites d’information exclusivement en ligne. Outre le Lab d’Europe 1, auquel je contribue, sont arrivés récemment France TV Info, Newsring et Quoi.info. Dans ce billet, je citais quelques « aînés » : Slate, Médiapart, Owni ou Rue 89, cités par la dépêche qui annonçait les nouveaux. Je parlais également de France Soir qui sera prochainement exclusivement en ligne.

Quelques minutes après avoir publié mon billet mais trop tard pour le corriger, je me suis rendu compte que j’avais oublié Le Plus du Nouvel Obs et LePost.fr. J’avais oublié de citer Bakchich et je viens de me rendre compte que j’ai aussi oublié Agoravox.

Dans mon décompte, j’en suis donc à 13 « pure players » ou équivalents, c'est-à-dire des sites d’information en ligne. Et je passe certains agrégateurs de billets de blogs comme l’excellent http://kremlindesblogs.fr (je plaisante, je pense plus à des machins comme Betapolitique).

Chacun a ses spécificités et l’objet de ce billet n’est pas de les décrire, juste de les compter ! J’espère que chacun trouvera son public. Le Lab, par exemple, celui que je connais le mieux, est assez déroutant pour nous autres blogueurs, mais peut-être arrivera-t-il à trouver une nouvelle clientèle.

Tous ces sites viennent en complément des sites d’informations traditionnels liés à un média (voire, comme le Lab ou le Plus, y sont associés) et aux sites d’informations liés aux grands opérateurs d’Internet (je pense notamment à actu.voila.fr parce que je continue à l’utiliser par habitude depuis une douzaine d’années).

Il y a du monde au balcon !

03 décembre 2011

iPad : gérer les fichiers utilisés par les applications

Je poursuis la série "le petit Nicolas découvre l'iPad"... Sur les conseilles de ma confrèresse Olympe qui a écrit un livre sur son iPad (bravo à elle !) et qui, bien que gonzesse féministe, n'en est pas moins geekettes, j'ai installé l'application Quickoffice sur mon iPad afin de disposer d'un machin de bureautique, dont un traitement de texte, sur ce machin.

C'est la première fois que j'achète une application un peu chère (12 euros...) pour ce truc uniquement parce que j'ai l'impression que je pourrais en avoir besoin.

Il me restait à savoir comment gérer les fichiers. Olympe a essayé de m'expliquer dans Twitter mais, heu... Non, rien. Voila l'explication sommaire quoique dépassant 140 caractères... Ca n'est pas spécifique à Quickoffice, donc vous pouvez prendre des notes.

Flèche rouge : dans iTunes, alle& sur votre iPad.

Flèche verte : allez dans l'onglet "Apps".

Flèche organge : en bas de l'onglet "Apps", vous avez la liste des applications qui gèrent des documents. Sélectionnez la bonne.

Flèche bleue : à partir de l'explorer (ou autre), faites glisser dans ce machin votre fichier. Ca marche d'ailleurs dans l'autre sens.

Voila pour une première étape. Je suis persuadé qu'on peut faire mieux en passant par iCloud avec synchronisation automatique. Les fichiers dans les répertoires de Quickoffice ne sont visiblement pas accessibles.

Quand je connaîtrai un peu mieux Quickoffice, je vous en parlerai et, éventuellement, le conseillerai ou le déconseillerai.

Les commentaires de ce billet vous sont ouverts pour toute suggestion intelligente. Ou pas.