30 novembre 2012

Blogger : nouveau widget Google+ et, peut-être, changement dans la gestion des membres

Hé, t'as vu, là, dans la colonne de gauche, j'ai un nouveau truc avec la liste des braves gens qui m'ont foutu dans leurs cercles Google+. C'est un widget Blogger qui vient de sortir. C'est Xapur qui l'annonce. Du coup, je l'ai mis sur cinq de mes blogs, dont le "personnel" (je trouve ça rigolo, je suis dans le cercle de beaucoup de personnes parce que j'avais "triché" lors du lancement de Google+).

Tiens ! Blogger est réparé, on peut à nouveau faire des billets.

A part ça, les carrés avec les avatars sont trop gros et ça fait double emploi avec le widgets "membres". Je suis curieux de savoir comment Google+ va faire converger tout ça.

Nous avons donc :

1. Les cercles Google+ avec pour moi :

1.1 Sur mes quatre gros blogs, la page "le Comptoir de Jégoun",
1.2 Sur mon blog perso, mon profil Google+ personnel.

2. Les membres Blogger avec :

2.1 : la vision des blogs dont on est membre dans le tableau de blog Blogger,
2.2 : l'insertion automatique de ces blogs dans le Google Reader.

A part ça, j'ai à nouveau changé d'identité. Je me connecte à nouveau avec le profil Blogger et plus Google+ pour commenter les blogs, ça sera plus simple... On peut très facilement faire marche arrière (c'est-à-dire changer d'avis une fois qu'on a fusionné ses compte Blogger et Google+). Et ben je me trompe peut-être, mais je crois bien que c'est nouveau. Au début, quand on fusionnait, c'était définitif (avec un délai d'un mois pour changer d'avis). Assisterait-on à un changement de stratégie chez Google+ ?

En fait, c'est un nouveau profil Blogger qui a été créé (il a fallu que je remette une photo). Le nouveau "Nicolas" de Blogger a remplacé le "Nicolas Jégou" de Google+ dans tous les blogs dont j'étais membre (ils sont très fort, chez Google)...

Le titre de ce billet est à chier. Ca va être nul dans Twitter.

Blogger : publier un billet par mail



Voilà la fenêtre que j'ai, comme certains confrères, quand j'essaie de publier un billet avec Blogger depuis ce matin. C'est un bug. "Chargement" reste affiché bêtement au bout d'une flèche verte virtuelle. On peut quand même faire des billets en les envoyant comme un mail. Il suffit de paramétrer correctement le bordel.





1. Cliquez sur paramètres.
2. Cliquez sur le machin avec les mails.
3. Rentrez un code ultraconfidentiel.
4. Sélectionnez le bordel du haut, c'est plus simple.

Ensuite, pour publier un billet, envoyer un mail à l'adresse qui s'affiche en face du 3 avec comme libellé le titre du billet.

Ne faites pas les cons : un billet publié ainsi ne pas être corrigé sans accès à Blogger.

Pour les images, je les mets dans le corps de mon mail par drag and drop, c'est très pratique. Mais j'ai une messagerie Gmail, je ne sais pas si ça marche avec tous les systèmes.

Bug Blogger : impossibilité de rédiger un billet

Depuis ce matin, je n'arrive pas à faire un billet "normalement" sur mes blogs. Il fait que je passe par mail ou par l'iPhone. Je pensais à un problème sur mon PC mais un gros blogueur réactionnaire me signale qu'il a la même difficulté.

Le problème est donc soit chez Blogueur soit spécifiques aux blogueurs qui picolent la veille.

Préparez vos voyages avec Libertrip !

Moi, vous me connaissez ! Pendant les vacances, j'enfourche ma voiture de location et je fais le tour des copains blogueurs. Alors quand Camille m'a dit qu'il bossait pour Libertrip, une « plateforme sociale de planification et de partage de voyage », j'ai immédiatement pensé à utiliser ce machin pour planifier mes prochaines vacances. Voila ce que donne ma première ébauche :

 

C'est parti pour la « Tournée des blogueurs » (flèche rouge), avec un itinéraire (flèche verte), avec des suggestions de visites (flèche rose : en passant chez FalconHill, je pourrais aller visiter Avignon), … En bas, une « timeline » qui me permet de voir date par date ce que je vais pouvoir faire de mes vacances. A ce stade de la préparation, une visite par Loudéac pour me voir moi-même, je fonce à Roquemaure boire du Tavel avec FalconHill, une virée par Tours pour boire du Chinon chez JM avec Gaël, Matfanus et Dadavidov. Ensuite, je fonce sur Arras boire une bière avec Homer puis à Bruxelles pour une autre avec Poireau. Je repasse par Bicêtre et je fonce tester le Beaujolais avec Trublyonne, Minijupe, Romain, Bembelly et Marco… Pour ajouter Lyon, à l'itinéraire, c'est facile :

 

Afin de ne pas oublier, quoi faire à Tours, j'ajoute une note :

 

Mais il n'y a pas grand-chose (flèche bleue) à faire dans ce coin (flèche rouge), visiblement :

 

Libertrip me suggère d'aller à Bordeaux, je clique, il me rajoute une étape. Dans la TL, en bas, j'organise mieux le voyage, je change les dates, je reste plus longtemps dans certains patelins :

 

Ergonomiquement et techniquement, c'est génial ! Il y a évidemment des fonctions de réseau social pour présenter ses voyages à ses potes. Pour l'instant, je n'ai aucun ami, c'est bien triste ma pauvre dame, mais je compte bien sur les lascars tagués dans cette note de venir me chercher, il suffit de taper mon adresse mail dans la zone qui va bien ou de passer par Facebook (mais je n'y ai pas accès de mon poste de travail).

Je n'ai pas encore tout découvert, je compte sur vous !

Dans l'attente, une présentation plus « institutionnelle »… Suivie d'une belle infographie.

N.B. : désolé pour la présentation de cette note un peu bordélique mais je suis obligé de publier par mail (voir mon précédent billet). Par ailleurs, je prépare mon voyage en France parce que je passe toujours mes vacances ici mais vous pouvez évidemment parcourir le monde.

 

« C'est une plateforme sociale de planification et de partage de voyage : le site permet de construire le voyage de ses rêves à partir des suggestions de lieux ou de point d'intérêt proposés par Libertrip. Le voyage est représenté sous la forme d'une timeline qui est complètement interactive (drag and drop, resize, …). Cela permet de tester différentes combinaisons d'itinéraire facilement...

Sur Libertrip, on raconte un voyage, on le partage ou on s'inspire des idées des autres voyageurs...

Raconter un voyage : Le voyageur construit l'ébauche de son projet de voyage visuellement sur une timeline interactive et une carte. Il peut l'enrichir avant, pendant et au retour de son voyage. Le voyage reste vivant !

Partager un voyage : Le voyageur peut partager ses aventures avec sa famille et ses amis et suivre leurs conseils et commentaires. Les amis suivent les mises à jour (changement de programme, commentaires, photos… )

S'inspirer : Quand un voyageur a besoin d'idées et souhaite rêver à son prochain voyage, il peut découvrir les voyages des autres et s'en inspirer. »

 

Les images dans la nouvelle fenêtre de saisie des mails de Gmail

Parfois, je suis obligé de passer par Gmail pour balancer mes billets sur le blog, ce que j'ai fait ce matin pour le blog politique. Mais c'était la première fois depuis l'arrivée de la nouvelle interface de saisie des mails de Gmail. J'ai ajouté mon illustration par "drag and drop". Voila flèche verte : on peut maintenant régler simplement la taille de l'image...

29 novembre 2012

Google Reader dans Google Takeout

Il m’arrive parfois de récupérer la liste des blogs auxquels je suis abonné dans un fichier pour un usage dont au sujet duquel je reviendrai si j’y pense et si vous ne me les brisez pas trop. Pour faire ce fichier, je vais dans les paramètres de Google Reader, puis dans l’onglet « exporter ». Regardez donc l’illustration plutôt que de mettre vos doigts dans votre nez, surtout que l’un n’empêche pas l’autre.

Vous y voyez quoi ? Une très grosse flèche rouge et au bout de la flèche rouge : le vide. Avant il y avait un tableau où je pouvais cliquer pour télécharger mon fichier. Angoisse. A la place, il y a « Download your data througt Takeout ». Parlant la langue de Molière à merveille mais pas les dialectes des colonies, j’ai eu un peu de mal à comprendre. Tout d’abord, je vous présente mes excuses pour le remplissage, mais c’est pour pouvoir avoir la place à coller trois copies d’écran dans mon billet. Pour le prix d’une seule, ne commencez pas à gueuler. Déjà que je fais des efforts pour les illustrations. Cette fois, pour la première, j’ai mis une grosse flèche rouge à la place d’une flèche rouge normale. Pour les autres, j’ai mis des chiffres. Je suis épuisé.

Ainsi, je crois comprendre que « Download your data » veut dire « Télécharge tes données, ducon » et comme je suis venu là pour ça, j’ai fini par le faire. Toutefois, avec la curiosité qui me caractérise et craignant que le proxy me ferme l’accès à ce site. Imaginez que « Takeout » veuille dire « Film de cul », j’aurais eu l’air malin ! Directement repéré par les services de sécurité de la boite.

Donc je recherche Takeout dans Wikipedia et je trouve : « Google Takeout est une plateforme de Google crée par le Google Data Liberation Front permettant à l'utilisateur de télécharger les données qu'il a mises sur certains services Google, en format ouvert. Le GDLF espère que faciliter la possibilité pour les utilisateurs de quitter Google les incitera à y rester. » Wikipedia est souvent rigolo. Vous en savez encore moins après avoir lu l’explication qu’avant et vous vous retrouvez avec le Front de Libération des Données Google sur le paletot.

Amen. Je clique. Voir la deuxième illustration. A droite. Flèche « 2 » : paf, un machin qui monte et un pourcentage qui atteint 100. Ca me rassure mais je ne sais pas quoi en faire. Je clique partout, je ne trouve pas mon fichier. Alors je clique sur « Créer une archive » au bout de la flèche 3 même si je n’étais pas venu là pour créer une archive mais, rappelez-vous, pour récupérer un fichier avec mes abonnements du Google Reader.

Je clique et je débarque sur un autre écran, avec un gros numéro 4 et une horrible flèche mauve. Ci-dessous.

« Malheureusement », le bouton « télécharger » (au bout de la flèche mauve avec le gros 4, suis un peu, bordel) n’apparaît au bout de quelques secondes. Quand il arrive, je clique dessus et je finis par me retrouver avec un fichier zip dans lequel je vois un fichier qui ressemble à un fichier d’abonnement.

Tiens !  Je vais en faire une illustration. A droite. Ou à gauche, je n’ai pas encore choisi. Je masque une partie de l’écran car j’ai honte des appellations que je donne à mes groupes de blogs de potes.

Je suis bien content. J’ai mon fichier.

Il reste néanmoins quelques points à trancher. Sans illustration, je n’ai pas que ça à foutre, non plus.




Petit 1 : Qu’est-ce que le « Google Data Liberation Front » ?

Wikipedia est mon ami. Il faudrait que je leur donne des sous vu qu’ils n’arrêtent pas d’en demander.

Accrochez vos bretelles : « Le Google Data Liberation […]  est une équipe de l'ingénierie chez Google, dont "l'objectif est de faciliter le déplacement des données des utilisateurs dans et hors des services de Google." L'équipe, qui consulte les autres équipes d'ingénierie Google sur la façon de "libérer" les services Google, supporte actuellement 27 services. L'objectif du Front de libération des données est d'assurer que les données peuvent être exportées hors de Google une fois qu'une personne ou une société cesse d'utiliser leurs services. »

« Google Data Liberation Front est à l'origine de Google Takeout. »

Quand on voit l’ergonomie de ce machin, on comprend que c’est une équipe dédiée… De là à vérifier qu’ils consultent les équipes.

Je résume. Chacune des applications Google utilisent des données. Par exemple, Gmail a une liste de contacts et Google Reader une liste d’abonnements. Google fait en sorte que les données soient dans un format standard pour que les utilisateurs ne se sentent pas piéger et savent qu’ils peuvent récupérer les données correspondantes dans un autre outil, en l’occurrence un autre agrégateur de flux ou une autre messagerie.

C’est bien.

Petit 2 : Qu’est-ce que le « Google Takeout» ?

Je vous ai déjà montré une définition là-haut. C’est une espèce de bazar qui permet de récupérer les données qui seraient susceptibles d’être exportable.

En fait, ça me parait être un machin « publicitaire » pour montrer aux utilisateurs des différents produits que ça existe et que c’est valable pour tous les produits Google : les données sont récupérables dans des formats standard nous disent-ils en prenant bien soin de ne pas rajouter « et arrêtez de nous casser les couilles avec notre putain d’hégémonie, ce n’est pas de notre faute si nos concurrents sont cons comme des bites ».

Parce que, sinon, récupérer un fichier à un format standard avec Google Reader, c’était déjà possible. Donc le nouveau machin ne sert pas à grande chose. Donc c’est un truc de communication.

Petit 3 : pourquoi faire des fichiers avec des listes de blogs ?

C’est anecdotique : chacun fait des listes avec ce qu’il veut. Moi, j’en fais, par exemple, pour les envoyer à Lolo pour qu’il puisse tester des conneries parce que j’ai un gros flux. Je me comprends et Lolo aussi, je suppose.

Petit 4 : pourquoi vouloir un fichier aujourd’hui ?

T’es bien curieux, toi ! Si tu as lu mon blog hier, tu auras vu que j’ai eu un problème pour importer des flux de blogs Blogger dont je suis membre dans la blogroll de mon blog. Je fais donc une liste des blogs Blogger auxquels je suis abonné pour étudier le phénomène.

Tu as d’autres questions ?

28 novembre 2012

Google Maps : voyez vos trajets urbain en transports en commun

C'est Google qui l'annonce sur son blog ce matin : quand vous cherchez un "itinéraire" dans Paris, en cliquant sur un machin, à gauche, vous avez également accès aux trajets possibles en transport en commun.

C'est génial. Le site de la RATP va prendre une claque.

Sur l'illustration :
Flèche rouge : je demande à aller de chez moi à l'Elysée (on ne sait jamais...). Flèche verte : le machin me propose deux trajets possibles.

Blogroll Blogger Big Bug

Périodiquement, je refais la blogroll des mes blogs (surtout celle du blog politique). Ca me permet d'y ajouter les derniers blogs que j'ai dans mon Google Reader et de virer ceux avec qui je suis fâché. Pour se faire, je supprime tout le monde puis je l'ai rajoute avec le machin qui permet d'importer depuis son reader.

Ce matin, j'ai constaté que les deux blogs de Sarkofrance, comme ceux de Seb Musset et de Politeeks étaient absents. Je les ai ajoutés en vitesse pour réparer. Quelques temps après, j'ai voulu savoir comment j'avais pu oublier ces quatre blogs. En oublier un serait possible, mais quatre, non.

J'ai donc tout supprimé et réimporter les blogs. J'ai donc vu qu'ils n'étaient pas proposés. Me penchant de plus près, j'ai vu qu'il manquait aussi Elooooody, Trublyonne, David et El Camino.

D'autres copains étaient bien présents.

En fait, concrètement, certains des blogs Blogger "dont on est membres" n'apparaissent pas dans l'import (il faut les importer séparément). Mais pas tous. Enfin, je ne sais pas. C'est le bordel.

(et un des blogs de Sarkofrance et celui de Politeeks ne sont pas chez Blogger). (si vos blogs manquent à la blogroll, ne vous inquiétez pas et plaignez vous par commentaire).

23 novembre 2012

La Renault Laguna et son GPS

C'est rare que je fasse des billets à propos des nouvelles technologies dans les bagnoles mais je tiens à saluer l'ergonomie du "poste de conduite" de la Renault Laguna que j'avais aujourd'hui, largement supérieure à tout ce que j'ai vu jusqu'alors.

D'habitude quand on prend une voiture de location, on commence par régler son siège, la hauteur du volant et les rétros puis on se casse. Ensuite, on galère en roulant à trouver tous les boutons pour conduire normalement, du moins ceux qui changent d'une bagnole à l'autre : la radio, le régulateur de vitesse, l'ordinateur de bord, le machin de navigation GPS, ...

C'est au sujet de ce dernier que je voulais faire un billet. Voyons l'illustration. La flèche jaune indique mon jean. La flèche bleue montre le témoin lumineux de mon chargeur d'iPhone. On s'en fout.

La flèche rouge montre l'accoudoir central, où votre coude se pose naturellement quand vous conduisez (sauf si vous avez les demains sur le volant, andouilles, ce qui devrait être le cas mais on ne se refait pas). La flèche rose indique le boitier de réglage du GPS. Il a un défaut : quand vous roulez, vous ne le voyez pas, il vous faut pencher la tête, c'est ballot. Par contre, au bout d'une trentaine seconde, vous avez compris le principe de fonctionnement et comme vous avez le coude sur l'accoudoir, vos doigts tombent directement sur le truc et vous pouvez l'utiliser sans regarder (il faut regarder l'écran, quand même, et surtout la route...) pour accéder à toutes les fonctions, très bien expliquées graphiquement à l'écran ce qui nous change de tous les autres modèles que j'ai pu essayer, pour lesquels l'écran était à moitié incompréhensible et les boutons mélangés avec ceux de la radio ou je ne sais quoi...

Par exemple, vous voulez signaler un radar (je ne l'ai pas fait, j'ai un doute sur la légalité du truc), vous appuyez une fois sur le bouton central, le menu apparait, vous repérer le truc à l'écran, vous tournez la molette (le même bouton) et vous cliquez. Hop !

Et tout est pareil (sauf le machin pour mettre automatiquement en route les feux s'il fait nuit qui se trouve en bout de course et pas en deuxième position comme sur la plupart des caisses, mais on ne va pas se formaliser).

Je vous la conseille...

22 novembre 2012

Surfez incognito au bureau


Le site PC INpact propose une version où l'écran ressemble à un traitement de texte. Ainsi, vous pouvez faire croire à vos collègues et à votre chef que vous bossez.
Vous passez en mode plein écran (F11), ni vu ni connu. Votre big boss passe derrière vous et croira que vous êtes entrain de bosser sur un dossier super important et n'osera pas vous déranger pendant votre lecture. Indispensable. Tous les sites devraient faire pareil.

Les informations privées des profils Google+ et vos contacts Google (et smartphone)

Vous pouvez ajouter des informations privées aux profils Google+ que ceux-ci soient ou non dans vos cercles. Ces informations privées sont alors ajoutées dans votre base contacts de Google (accessible pour Gmail). Le cas échéant une nouveau contact est automatiquement créé.

Ainsi, votre base contact de Gmail et donc celle de votre smartphone (un iPhone 4, pour moi) est directement synchronisée avec une zone "informations privées" des profils Google+. Intéressant et original, non ?

C'est Ballajack qui nous signale aujourd'hui qu'on peut ajouter des informations privées à un profil Google+. Voir cette première illustration que vous agrandirez en cliquant dessus. J'ai essayé d'en savoir plus.

J'ai pris le profil d'André, indispensable informateur, notamment pour ce blog (pour vous dire à quel point il est indispensable : il backtweete googleplussoie même mes billets ! Mettez le dans vos cercles, Google+ est beaucoup plus calme que Twitter...).

En bas de son profil, on a bien "Ajoutez vos propres données...". Quand on clique, on a une liste de machin que l'on peut ajouter (dans l'encart au bout de la flèche rouge). Ballajack en fournit une liste :
  • Un nom
  • Une photo
  • Un pseudo
  • Un nom pour le tri
  • Un nom phonétique
  • Un prénom phonétique
  • Une entreprise
  • Une fonction
  • Une adresse e-mail
  • Une fonction
  • Un site Web
  • Une date
  • Une note

Pour André, j'ai ajouté deux choses : son pseudo (ce qui ne sert à rien, il est déjà sans son profil) et une "note" : "informateur précieux".

Après validation, voir cette deuxième illustration, j'ai bien, en bas de son profil, ces machins avec pour titre : "Coordonnées issues de Google contacts".


Dans les contacts du compte Gmail associé à mon compte Google+, je retrouve bien André (c'est mon compte de blogueur, sur lequel je reçois les mails pour les commentaires dans les blogs. Je n'envoie presque jamais de mail avec, je n'ai donc aucun contact... sauf André, maintenant).

J'y retrouve bien les deux informations que j'ai saisies en plus d'informations issues de son profil Google+, notamment, un peu plus bas, ce que j'ai "collé" en encadré rouge : la liste de "ses  liens".

Amusant, non ?


Avec mon compte Google+ normal, je suis allé voir le profil d'un vieil ivrogne que j'ai dans mes contacts (aujourd'hui, en plus des flèches rouges, j'ai ajouté des "compositions d'écran" avec d'astucieux collages pour vous prouvez ma compétence, que dis-je, mon expertise, en Paint !).

J'y retrouve bien la zone ""Coordonnées issues de Google contacts" avec des informations que j'ai dans ma base contact et dans mon iPhone vu que ma base contact est synchronisée avec ce machin, notamment le numéro de téléphone de cette vieille outre).

Vous qui êtes particulièrement observateur, vous aurez néanmoins constaté que les deux photos sont différentes. Je ne sais pas comment sont synchronisées les contacts et d'où vient la photo associée à ce vieux con dans ma base contact.



A propos de ma base contacts, voilà les informations relatives à Yann. On y retrouve, après la description des contacts, toutes les informations relatives à son compte Google+, y compris "l'autre photo".

A noter que Yann est deux fois dans mes contacts de l'iPhone.

Je vous présente ci-dessous, à droite, pour information, la fiche contact de cette outre dans mon iPhone, avec la photo où il se tient la tête et sourit bêtement, signe de profonde alcoolémie.

J'ignore comment tous ces machins (Google+, Gmail et l'iPhone) arrivent à synchroniser tout ça.

N.B. : à noter d'ailleurs qu'en recherchant Yann dans les contacts de mon iPhone pour sortir l'illustration, j'ai constaté qu'il y était deux fois (et donc deux fois, aussi, dans les contacts Gmail). C'est avec la même photo (pas celle du poivrot qui fait une ballade en mer pour dessaouler, l'autre) mais avec une autre adresse mail et un autre compte Twitter (et un compte Facebook qui dégénère en erreur 404, si je clique dessus).

Pourquoi l'alcoolique sus-nommé a-t-il deux photos, une pour Gmail et une pour Google+ ? Comment la première photo est-elle arrivée dans mes contacts et dans mon iPhone. Est-ce parce qu'il était dans mon iPhone et mon Gmail avant l'existence de Google+ (et donc la création du profil) ? Google (et donc l'iPhone...) va-t-il réussir à synchroniser tout ce bordel ?

21 novembre 2012

Le gros fails des notifications Google+

Quand un type fait une publication dans Google+, il peut choisir de l'envoyer à l'ensemble des gugusses qu'il a mis dans ses cercles en activant le machin (au bout de la flèche rouge).

Du coup, on se retrouve à recevoir des mails d'inconnus dont on n'a rien à cirer parce qu'ils vous mettent dans leurs cercles pour suivre nos publications. C'est ballot. Ce qui serait intéressant c'est exiger une certaine réciprocité dans ce cas : n'envoyer des notifications par mails qu'aux lascars qui vous ont eux-mêmes mis dans leurs cercles.

Tout ça n'est pas bien grave sauf que certains nouveaux utilisateurs ne savent pas utiliser le machin et ne font pas exprès. Je pourrais probablement trouver un solution pour bloquer le gars en question (je viens de recevoir une notification...) mais je n'ai aucune raison valable de bloquer un type au hasard qui me provient du bout du monde (en l'occurrence le Sénégal) surtout s'il a l'air sympathique (ce qui est le cas).

Vive Pearltrees sur l'iPhone !

J'ai reçu un tweet d'Antoine m'informant de la disponibilité d'un nouveau Pearltrees.
Je clique. La page web s'ouvre dans le navigateur de l'application Twitter de l'iPhone. Que vois-je, en bas, on me signale que je peux ouvrir le Pearltrees directement dans l'application Pearltrees (regardez bien, la ligne grise dans le bas).

Je clique et je me retrouve dans l'application Pearltrees avec un très joli arbre.
C'est normal, me direz-vous... 

Dans ce cas, pourquoi les sites de presses proposent systématiquement de télécharger des applications pour lire les machins alors qu'on a déjà les applications.

A chaque fois, ça me gonfle.

Chez Pearltrees, ils sont géniaux et on ne le dira jamais assez.

 

20 novembre 2012

Nokia HERE maps

J'ai téléchargé cette nouvelle application qui pourrait remplacer les autres machins dont "Plan". Elle semble inutilisable. J'ai bien réussi à paramétrer mon prochain trajet vers la Bretagne mais pas à voir quelle route prendre...

En plus le machin ne connait pas la Comète. Refusé au contrôle technique.



16 novembre 2012

Message de service (suite à mon billet sur les "vrais blogs")

Le 9 novembre, j’ai fait un billet pour tenter de définir ce qu’était un vrai blog (au sein de « notre blogosphère », notion assez difficile à retenir).

Voila les règles que j’avais définies :
Première règle : le taulier ou les tauliers doivent être identifiables en tant qu’individus.
Deuxième règle : le taulier doit marquer son attachement au volet « réseau social » du blogage.
Troisième règle : les flux RSS doivent être complets
Quatrième règle : le contenu doit être original
Cinquième règle : le blog doit avoir une tronche de blog
Sixième règle : on doit pouvoir s’abonner au blog et on doit pouvoir commenter
Septième règle : le taulier doit produire le contenu

Parmi les commentaires :

Dada dit qu’il faudrait ajouter une règle indiquant que le taulier doit répondre aux commentaires. Je ne suis pas vraiment d’accord… Refusé, sur certains blogs c’est impossible. Mais je ne conçois pas s’avoir un blog sans réponse aux commentaires.

Un échange avec l’Hérétique et les remarques de Lolo (voir ci-dessous) me dit que les règles ne doivent pas être appliquées trop lourdement.

Lolo pense que je devrais supprimer les règles trois et cinq et s’interroge sur la une. Je vais donc virer la 3. Je vais supprimer la 1, trop difficile à mettre en œuvre, de toute manière…

La suite au prochaine numéro.


Twitter sur iPhone : envoyer un tweet par mail

Mes confrères Presse-Citron et le Modérateur indiquent ce matin que Twitter a annoncé sur son blog une nouvelle fonctionnalité : l’envoi d’un tweet par mail. Elle est déjà disponible sur l’iPhone, peut-être avec la nouvelle version que j’ai téléchargée ce matin (en plus d’une version de l’application Facebook).

Tu sélectionnes le machin et cliques sur les trois points.



Tu cliques sur ce qu’il faut.



Et hop ! Le mail est prêt à être envoyé.



Tu ajoutes le destinataire et hop !

Très joli, non ?

15 novembre 2012

Paramètres de recherche dans Gmail

Ballajack nous présente les paramètres avancés pour les recherches dans Gmail... Bon à savoir...

  • from: – Trouve les mails d’un expéditeur particulier
  • to: – Trouve les mails d’un destinataire particulier
  • subject: – Rechercher les mails dont certains mots sont contenus dans l’objet
  • label: – Rechercher des mails par label
  • has:attachment – Afficher les mails contenant une pièce jointe
  • filename: – Rechercher les pièces jointes par nom ou par type de fichier
  • in:anywhere – Rechercher des mails y compris dans le dossier Spam et Corbeille qui par défaut sont exclus des recherches
  • is:starred, is:unread, is:read – Rechercher les messages marqués, non lus et lus
  • cc:, bcc: – Rechercher les destinataires en copie (carbon copy) ou en copie cachée (blind carbon copy)
  • after:, before:, older:, newer: – Rechercher les mails par dates en utilisant la syntaxe yyyy/mm/dd (année, mois, date)
  • size: – Rechercher les mails plus volumineux que la taille indiquée
  • larger:, smaller: – Similaire à size:, avec la possibilité d’abréger les tailles (1 MB…)
  • rfc822msgid: – Trouver les messages par l’identifiant de l’entête

Une nouvelle interface pour l'application Blogger sur iPhone

Ça vient de sortir ! Mais, pour la version pour iPad que je présentais ce matin, il ne semble pas y avoir de nouvelle fonctionnalité (à part les libellés pour les billets).

Application Blogger pour iPad

Elle est enfin disponible ! Elle ne semble pas révolutionnaire par rapport à l'application iPhone. Elle a toujours aussi peu de fonctionnalités mais, au moins, l'application est adaptée à l'interface de la tablette.

14 novembre 2012

Tester sa vitesse de frappe (au clavier, andouille !)

Ce machin permet de tester sa vitesse de frappe au clavier. Je suis arriver à 77 mots par minute à mon premier essai avec une seule faute de frappe, corrigée dans la foulée.

A deuxième essais, j'ai fait plein de fautes et je suis retombé à 68. Aux trois derniers essais, j'ai fait peu de fautes et j'ai fait 73.

Et toi ?

N.B. : pas de secret, pour être productif, dans un blog, il faut taper vite...

Google+ sur iPhone : essayez la nouvelle version !

Une nouvelle version de Google+ pour iPhone était disponible au téléchargement, ce matin. Dont acte. Il n'y a pas de modification de fonctionnalité importante, semble-t-il, mais elle a gagné en rapidité et en "fluidité". C'est prodigieux. 

Je vous la conseille (uniquement pour juger si vous êtes adeptes, comme moi, de l'application Facebook, sinon, il se passe toujours aussi peu de chose dans Google+).

13 novembre 2012

Peut-on encore sauver Facebook ?

Facebook n’en finit pas d’innover. En 24 heures, on apprend quatre nouvelles fonctionnalités : « l’imbrication des commentaires » (qui permettra de commenter un commentaire…), la mise à disposition des pages pour couples, la notification pour les mises à jour de pages (n’oubliez pas d’activer les notifications pour mes pages pour ne rien louper de ma prose) et le tri des pages par liste d’intérêt. Pourtant, hier soir, à la clôture de Wall Street, l’action était encore à moins de 20 dollars (l’action a été introduite en bourse vers 40 dollars si ma mémoire est bonne).

Les évolutions s’enchaînent. Récemment, on a vu les « recommandations » de page, sur les smartphones : voir l’illustration en haut à gauche. Les autres illustrations sont piquées au billet de Benoit Descary, illustre spécialiste de Facebook (j’ai trouvé son billet dans Google+ ; tiens ! je vais m’abonner et le blogroller), et illustrent la complexité relative de Facebook. Tiens ! Voyez celle que j’ai scientifiquement encadrée en vert. Elle montre comment s’inscrire aux notifications pour les pages. Comment voulez-vous qu’un utilisateur lambda sache qu’il faut cliquer sur ce machin pour recevoir une notification quand une nouvelle publication sera faite pour une page ?

Plus simplement, comment voulez-vous qu’un type normal puisse deviner qu’en cliquant sur « J’aime », à une page, on va mettre ses publications dans notre mur ? Lors de mon dernier séjour en Bretagne, je me suis fait engueuler par deux personnes (mon neveu et une copine d’enfance, on est loin des copains blogueurs !) qui avaient pris l’habitude de lire mes blogs par l’intermédiaire de mon compte mais ne savaient pas comment « s’abonner » à ma nouvelle page (je ne publie plus sur mon compte).
Facebook devient totalement inutilisable pour le commun des mortels voire pour les utilisateurs avertis

Je vais donc me permettre de donner des conseils à Facebook au cas où ils voudraient retrouver de « l’élan » (et de la cotation).

Le premier : pensez aux nouveaux utilisateurs, notamment à ceux qui utilisent des smartphones.

Petit 1 : supprimez les suggestions de pages ou les suggestions d’amis pour les nouveaux utilisateurs.

Petit 2 : facilitez la recherche de contacts sur smartphone.

Je ne plaisante pas, c’est un vrai bordel !

Cherchez mon vrai blase avec un smartphone (si on n’est pas déjà pote), vous ne me retrouverez pas ! J’ai essayé avec trois copains de bistro. J’ai trop d’homonyme et la liste est limitée. Pire ! Je suis dans les contacts du smartphone de Tonnégrande, avec mon numéro de téléphone et mon email, c’est un autre lascar, un homonyme, qui lui a été proposé parmi les suggestions.

Sur ces trois, il y en a deux que je n’ai pas retrouvé avec mon iPhone et j’ai pu retrouver Tonnégrande (qui est dans mes contacts) en tapant son nom complet parce qu’il n’a pas d’homonyme.

C’était pour le petit 1. Modifier votre application pour que deux personnes côte-à-côte puissent se repérer…

Pour le petit 2, Tonnégrande est un nouvel utilisateur (il a créé son compte en 2008 mais, depuis, a viré tous ses contacts puisque je racontais des conneries derrière son dos, il avait peur d’être repéré). Quand il lançait son application, il avait des applications et des nouveaux contacts qui lui étaient proposés. A partir du moment où je suis devenu son seul pote, le machin a commencé à lui proposer de prendre pour pote mes propres amis… Comment voulez-vous qu’un débutant puisse comprendre… ?

La deuxième : changez les relations entre les gens. Depuis la sortie de Google+ et de ses cercles, vous êtes complètement à la ramasse. Parmi les quatre copies d’écran utilisées pour illustrer ce billet, il y en a une encadrée en bleu. Comment voulez-vous qu’un utilisateur « pas geek » puisse savoir qu’il faut cliquer sur « j’aime » puis sur « recevoir des notifications » pour que les nouvelles publications soient accessibles en cliquant sur un petit chiffre en haut (le 8 sur la copie d’écran de mon iPhone) ?

Votre système a été mis en œuvre par adaptation rapide de l’ancien suite à la sortie de Google+ mais n’a strictement aucun sens. Il ne peut pas être bien pris en compte par un lascar comme moi qui a beaucoup de potes (je ne vais pas passer mon temps à les requalifier un par un) et est incompréhensible pour les nouveaux.

Le troisième : arrêter d'innover pour innover, pour courrier derrière la concurrence, ...

Hop ! Au boulot !

Il y a un tas d’améliorations possibles. Il suffit d’utiliser l’application pour les repérer…

Si vous avez le temps, voila un exemple : un nouvel utilisateur qui va devoir trouver des amis.

Il va falloir qu’il sache qu’en cliquant sur le machin (au bout de la flèche verte sur l’avant-dernière copie d’écran), il aura accès à un menu. Il faudra qu’il pense à cliquer sur mes amis. Et il faudra qu’il sache qu’ensuite il faut qu’il clique sur le machin au bout de la flèche rouge pour trouver d’autres amis. Le logo en question est celui utilisé sur l’iPhone pour faire « envoyer par ». Il faut être tordu pour deviner que ça veut dire « nouveaux amis ». Mettez-moi immédiatement un logo avec un « + ».

Ensuite, le lascar va se retrouver avec la liste des gugusses de ses contacts du smartphone. Voir la dernière copie d’écran, celle gribouillée honteusement. Comment voulez-vous qu’il sache d’où viennent ces lascars ? Sur la liste, je n’en connais trois, le premier (Herbert), celui qui n’a pas d’avatar et le dernier Loïc. Je ne sais pas d’où viennent les autres… Comment voulez-vous que le type ne prenne pas peur en se retrouvant avec plein d’inconnus ?

Le deuxième que je connais, c’est mon Maire. Je suis déjà pote avec lui dans Facebook (je suppose qu’il s’agit d’un deuxième compte qu’il a pour dialoguer avec des proches, toujours est-il que je mon iPhone l’a trouvé parce que j’ai son numéro de portable personnel dans mes contacts). Comment voulez-vous qu’un type ne se retrouve pas effrayé à l’idée de faire une fausse manipulation avec le compte d’une huile ?

Ensuite, on ne peut pas voir le profil des gens, vérifier que c’est bien eux… Pour tester, j’ai cliqué sur le vrai base de Martin P. On est copain dans la vraie vie mais il est sous pseudo dans Twitter. Paf ! Le machin me dit « Invitation envoyée ». Et le type qui clique par erreur ? Il ne peut pas faire de retour arrière ?

C’est de la folie…

12 novembre 2012

Des sites web pour les associations

C’est la journée « Communiqué de presse », aujourd’hui ! J’ai été contacté par un site qui propose des sites web pour les associations (vous pouvez cliquer, vous verrez des exemples). C’est très bien. Une association peut créer son site web en quelques minutes, aussi simplement qu’elle peut créer un blog mais avec tout ce qu’il faut : un formulaire de contact, la liste des événements et différentes options selon l’abonne que vous souscrivez (la version de base est gratuite).

A nous autres, qui passons notre temps sur le web, ça parait extrêmement simpliste mais pensez donc à un président ou un secrétaire d’une petite association qui cherche à communiquer un peu avec ses membres, il sera perdu : le blog ne répondra pas à ses attentes et les autres machins sont beaucoup trop compliqué.

N’hésitez pas à relayer !


Communiqué de presse - Asso-Web

Asso-Web, la solution Internet pour les associations

Asso-Web est une plateforme de création de site (CMS) spécialiste du secteur associatif. Ce service propose aux associations et petites structures communautaires de créer leur site Internet en quelques minutes via une technologie développée spécialement pour elles.

Une interface graphique simple et intuitive

Tout le monde n’est pas expert du web et cela, Asso-Web l’a bien compris. C’est pourquoi l’équipe de développement a mis un point d’honneur à créer une plateforme permettant aux novices de créer et d’éditer leur propre site en quelques instants :
-          Publier: cette section permet d’ajouter tous les contenus souhaités sur le site (articles, pages, vidéo, photos, formulaires personnalisés, événements...)
-          Interaction: les opportunités d’une association résident dans sa faculté à communiquer. C’est pourquoi Asso-Web a mis en place un système de réactions, de sondages et un livre d’or pour aider les associations à se développer. De la même façon, chaque site Asso-Web peut collecter les adresses mail de ses visiteurs et leur envoyer des newsletters, sans limitations !
-          Design: Dans l’optique de fournir à chacun un service performant, de nombreux designs ont été réalisés pour satisfaire au mieux les demandes de chacun. De nouveaux design sont intégrés régulièrement à l’éventail d’Asso-Web pour suivre les tendances et proposer un service au goût du jour.
-          Paramètres: Les sites asso-Web sont entièrement paramètrables et proposent une optimisation du référencement dans la branche associative. Les utilisateurs ont un contrôle total sur leurs mots-clef, la description ainsi que la visibilité de leur site sur Internet.

Déjà plus de 20 000 associations !

Lancé en 2008, Asso-Web a déjà su séduire plus de 20 000 associations, parmi lesquelles on peut retrouver de nombreux secteurs différents : Clubs sportifs / Chorales / Comités d’entreprise / Comités des fêtes / Mairies /Défenses et causes / Groupements de journalistes / Associations de parents d’élèves / Associations caritatives...

Chaque type d’association dispose de templates pré-établies pour les guider dans le processus de création de site et ainsi diffuser rapidement leurs actualités.

Un service après-vente accessible

Proposer une plateforme de création de site, c’est bien, mais c’est encore lorsque l’on peut poser ses questions et résoudre des problèmes rapidement. Asso-Web a donc choisi de mettre en place une plateforme de support en ligne disposant d’une aide texte et vidéo détaillée, ainsi qu’un support téléphonique et par mail.

Les formules

Asso-Web propose trois formules distinctes :

Asso-Web gratuit: Les sites crées ne sont jamais supprimés et profite des fonctions de mise à jour des actualités et des pages. Ils ont également la possibilité d’ajouter des partenaires,
d’enregistrer des membres et de configurer l’ensemble de leur site, sans avoir le moindre sous à dépenser.

Asso-Pack: Cette formules proposent les mêmes fonctionnalités que la version gratuite, avec en plus de nombreuses options telles que:
- Formulaire personnalisable
- Galerie photos et vidéo
- Sondage
- Espace privé
- Lettre d’information
- Forum
- Livre d’Or
- Module Facebook
- Météo
- Dons

Asso-Pack+ : toutes les fonctionnalités d’Asso-Web réunies en un seul pack, avec en plus la suppression des liens publicitaires, mais aussi la création d’un nom de domaine et d’adresses mails personnalisées.


J'ai découvert KungFu Monkey

Je découvre KungFu Monkey, jeu gratuit pour iPhone qui vient de sortir. Je suis sous le charme : il devrait égayer mes trajets en métro et mes soirées au bistro. Dans pis pour la rédaction de billets de blogs et Twitter.

Je vous explique : vous êtes un gentil singe (flèche rose) qui surveille ses bébés (flèche bleue) pour les protéger d’un gros enculé (flèche rouge ratée) qui balance des bestioles (sur l’illustration, une araignée, un machin et un serpent) qui vont essayer de kidnapper vos bébés. Vous devez leur sauter dessus et leur casser la gueule.

Ah ! Je me trompe, ce n’est pas un gros enculé mais une sorcière. Voila la version officielle « Il s'agit d'un jeu basé sur les réflexes où vous devez protéger vos bébés contre une sorcière. Le personnage principal, un singe adepte du kung fu, doit sauter sur les ennemis pour s'en débarrasser. La difficulté vient du fait qu'il y a de plus en plus d'ennemis au fur et à mesure des niveaux. Simple au début, le jeu se complique assez rapidement et demande de la concentration et des réflexes. De l'avis de ceux qui l'ont testé, le jeu est addictif et les graphismes plaisants. »


Je reconnais : j’ai reçu un mail du gars qui développe cette application et qui veut que j’en fasse la promotion. J’ai donc essayé et je vais de passer un quart d’heure à foutre sur la gueule de quelques bestioles. Je confirme, c’est addictif.

Certaines bestioles sont assez fragiles. Un coup de point dans la tronche d’un serpent, par exemple, suffit à lui faire rendre les armes. D’autres, par contre, sont plus coriaces, comme l’araignée. Il faut alors donner plusieurs coups de point (trois, je crois). On peut aussi donner des coups de pied en faisant un truc spécial sur l’écran (un machin en diagonal), ils ont plus de force. On peut aussi manier le bâton pour détruire plusieurs saloperies à la fois.

Si j’ai bien compris, les bâtons s’achètent dans un magasin avec des bananes. Les bananes sont perdues par les bestioles et il faut les ramasser rapidement. Ou alors on les gagne en faisant certaines combinaisons : je n’ai pas encore tout compris.

Z’avez vu la flèche noire ? Au bout, il y a une araignée. Au dessus, il y a une espèce de petite jauge. Avec un peu d’habitude, on voit que je n’ai donné qu’une seule baffe à ce trou de cul de prédateur invertébré arthropode alors qu’il en faut trois pour le torpiller.

La couleur de la jauge montre le degré d’urgence d’une baffe. Par exemple, il est temps que j’intervienne pour bastonner le serpent qui est en face de moi. Sa jauge est toute rouge. Par contre, je peux attendre un peu pour baffer l’araignée la plus à gauche, celle du milieu et surtout le machin en haut à gauche, de même que le serpent à droit pourront attendre un peu.

Non. C’est trop tard. L’araignée en bas n’a plus de jauge. J’ai mis trop longtemps pour la tuer et c’est de votre faute : je ne peux pas faire des copies d’écrans tout en tuant des sales bêtes. Elle n’a plus de jauge et va pouvoir aller enlever le dernier enfant qu’il me reste.

J’en suis tout triste.

J’ai perdu.

Mais mon trajet en métro sera probablement trop court, ce soir.