Blog politique et buzz

Suite à une soirée digne et peu sobre, je n’ai pas eu le temps de vider ma messagerie hier soir ce qui fait que ce matin, j’avais 42 conversations à suivre dans mon gmail. Mes potes étant relativement bavards, j’en ai sauté la plupart et ce n’est quand prenant mon café plus tard que j’ai essayé d’en interpréter une qui parlait de blogueurs politiques faisant du buzz.

Ayant quelque peu fanfaronné hier dans twitter et dans mes blogs à ce sujet puisque j’ai « pété les scores » en faisant rougir mes compteurs de visites. Je ne suis d’ailleurs pas le seul. Ma « trilogie blogger » qui a un compteur commun a fait son meilleur score de l’été, avec 700 (exactement) visites, loin toutefois de ce qu’elle a pu connaître lors de ses heures de gloire au premier semestre. Mais c’est surtout mon annexe sur 20 minutes qui s’est éclatée avec plus de 1000 âmes débarquées pour prendre des nouvelles fraîches, soit dix fois plus que d’habitude.

Je vais décevoir les copains qui s’imagent que l’événement est lié au fait que je manipule à merveille l’information pour obtenir des visites : c’est faux. C’est le hasard. C’est pour ça que ça m’amuse et que je fais le guignol parfois.

Le hasard ? Oui et non… Surtout, je fais les billets sans penser au « buzz » qu’ils pourraient générer.

Ainsi, j’ai fait avant-hier un billet sur la « rumeur » dans la blogosphère que j’ai illustré en parlant de la grossesse de notre garde des sots. Est-ce de ma faute si elle a choisi hier de rendre public l’événement ? C’est incroyable le nombre de types qui veulent savoir qui est le père. Je n’ai qu’une seule réponse : ce n’est pas moi.

Hier, j’ai fait un billet sur Google Chrome à l’occasion de la sortie de ce nouveau logiciel. Comme le blog s’appelle « Partageons mon avis », j’aurais du penser que la requête « Avis sur Google Chrome » m’attirerait des visites. Mais je m’en fous. Ce n’est pas de ma faute si le billet arrivait premier dans google, avant cyberpresse ou infodunet.

Arrêtons de voir le mal partout… C’est « la chance » qui m’a permis d’avoir deux billets bien « buzzant » pas une quelconque préméditation machiavélique.