Conseil de blogage - et les vacances ?

J’hésite ! Dois-je faire un conseil de blogage « que faire d’un blog pendant les vacances ? » Si je site Gaël et ses blogs, on va dire que je fais de la publicité honteuse. Je ne suis pas comme ça.

Gaël, pour ses vacances, a choisi de fermer son blog et de le laisser partir à la dérive. Aussi, de sombres crétins, sous la bannière de leur chef par interim, bien encouragés par des blogueurs politiques zinfluents, ont décidé de déborder ce billet de commentaires haineux.

Pas de conseil de blogage, finalement : je n’ai pas la réponse.

Tout ce que je sais c’est qu’à l’été 2006, j’avais longuement hésité : « Dois-je fermer les commentaires ou activer leur modération a priori ? ». Il faut dire qu’à l’époque, j’avais beaucoup moins « de métier » et j'étais fréquemment attaqué par quelques trolls débiles de droite au point que j’en fasse maintenant un affreux pléonasme.

A l’été 2007, par contre, j’étais parti tranquille. Je m’en foutais. J’étais parti la conscience tranquille… C’est d’autant plus bizarre que j’avais consacré une partie de mes vacances à faire un tour de France pour aller voir les copains blogueurs non Parisiens (Lutine à Colmar, Filaplomb à Toulouse et Gaël à Tours).

Le plus rigolo, dans cette histoire, c’est que comme il faisait un temps de cochon pendant ce mois d’août, j’ai passé deux fois quatre jours à la maison où je n’avais d’autres loisirs que de bloguer et bouquiner !

Si je ne suis pas chez moi (ou chez ma mère où je passe d’ailleurs la plupart des petites vacances), je ne blogue pas. Je ne consulte même pas internet, j’oublie…

Ca nous ramène à la question initiale, quand on ne peut pas surveiller les commentaires pendant une longue période, doit-on les laisser ouverts ?

Il y a deux risques.

Le premier, la dérive, la multiplication des commentaires, les engueulades entre commentateurs, … Pas bien grave.

Le deuxième : se retrouver avec des commentaires illicites. Par exemple, si un type met en commentaire « Quicoulol en a une toute petite », c’est insultant. Il peut me faire un procès en insulte ou en diffamation si je n’en ai pas la preuve (je ne l’ai pas) ou en atteinte à la vie privée si c’est vrai.

Mon opinion : on doit laisser le truc ouvert, il y a peu de chance que ça arrive… et que quelqu’un s’en aperçoive ! Il nous faudrait l’avis d’un juriste !

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