Comment tu blogues ?

See Mee me tague dans une espèce de chaîne de blogs à l’initiative de Tribord (1, 2, 3) : « Comment tu blogues ? ».

Sept questions sont posées.

Question 1 : Qu’est-ce qui vous inspire : des lectures, des situations de la vie quotidienne ?

Question 2 : Qu’est-ce qui déclenche l’acte ?

Question 3 : A quels moments de la journée le faites-vous ? De quels endroits ?

Question 4 : Comment et où vous installez-vous ? Quel est votre environnement ?

Question 5 : Quels outils utilisez-vous pour écrire (un traitement de textes ou directement dans votre éditeur de billets ?)

Question 6 : Faites-vous beaucoup de recherches ? Rédigez-vous beaucoup de brouillons ou d’articles que vous ne publierez pas ?

Question 7 : Ecrivez-vous en prenant votre temps ou avec une certaine frénésie ?

Sept questions ? Sept tagués : Christie, Béa, Yann, Dada, Lolo, Gaga et Baba.

On s’y colle !

Question 1 : Qu’est-ce qui vous inspire : des lectures, des situations de la vie quotidienne ?

Les deux, plus des rêvasseries diverses, ou tout en même temps, typiquement un article que je vois dans le Parisien le matin puis mon esprit qui divague.

Quand je ne suis pas inspiré, je cherche l’information dans les blogs geeks (pour ici) ou dans l’actualité politique pour PMA (voire dans l’actualité People pour PNA) car j’aime bien alimenter tous les jours les trois blogs, éventuellement avec des billets très courts si je n’ai rien à dire. Je ne me force néanmoins jamais (sauf si je ne veux pas qu’un billet reste en une trop longtemps, notamment les billets « sollicités »).

Il y a aussi une part de vice… Un exemple, hier, j’ai fait un billet pour critiquer un partisan de Ségolène Royal. Ce midi, je voulais faire un billet flatteur pour Ségo pour désarçonner… J’ai donc cherché « Royal » dans Google News. D’où mon billet sur les retraites alors que je n’avais rien à dire. Le hasard a fait que je suis tombé en même temps sur le billet du Grumeau.

Question 2 : Qu’est-ce qui déclenche l’acte ?

L’inspiration, l’idée du billet ! Une étincelle au cerveau et c’est parti. Le présent billet est déclenché par le billet de See Mee et je savais que l’allais avoir quelque chose à dire…

Question 3 : A quels moments de la journée le faites-vous ? De quels endroits ?

Toute le temps et de partout. Exemple : souvent l’idée du billet me vient dans le métro en allant au boulot où je réfléchis au sujet. Après, en marchant vers le boulot, je prépare les phrases chocs du billet. J’arrive au bureau : je saisis, ça me prend moins de 10 minutes.

Le présent billet : je pense à des bribes au long de l’après-midi et je rédige le soir avant de rentrer.

Question 4 : Comment et où vous installez-vous ? Quel est votre environnement ?

Même réponse : n’importe où ! Je peux très bien, par exemple, préparer un billet dans ma tête, le soir au bistro et le saisir le matin au réveil sur mon portable posé sur la table de mon séjour, à côté de mon café ! Je peux aussi saisir un billet sur l’iPhone dans la foule du métro (si je suis assis)…

Question 5 : Quels outils utilisez-vous pour écrire (un traitement de textes ou directement dans votre éditeur de billets ?)

Le plus souvent un traitement de texte. A noter que j’utilise beaucoup Excel, c’est très pratique pour récupérer des listes de liens (par exemple les classements diffusés par d’autres ou le résultat de la backlinks factory).

Question 6a : Faites-vous beaucoup de recherches ?

Généralement non. Mais il m’arrive de passer plusieurs heures à chercher une information ou, plutôt à confirmer un truc que j’ai dans le crâne.

Question 6b : Rédigez-vous beaucoup de brouillons ou d’articles que vous ne publierez pas ?

Non, mais ça m’est beaucoup arrivé. Maintenant, avec « le métier », je sais à l’avance si le billet sera réussi ou non. Le cas échéant, je ne me donne même pas la peine de le commencer.

Question 7 : Ecrivez-vous en prenant votre temps ou avec une certaine frénésie ?

Ni l’un ni l’autre. J’écris vite, mais sans frénésie. C’est plutôt mécanique une fois l’entame du billet pondue !