L’introduction en bourse de Facebook s’est traduite par un double
fiasco. Le premier, vendredi, le 1er jour, avec une panne des ordinateurs
du NASDAQ et le deuxième, hier, avec une chute de 10%...
Nos amis financiers cherchent les
raisons de ce fiasco. Ils estiment que Morgan Stanley et les dirigeants de
Facebook « ont merdé » (l’expression est de moi, hein !),
incitant les banques à « tromper » leurs clients.
La rédaction de Partageons l’addiction étant composée de
multiples analystes financiers émet une autre hypothèse… La valorisation a
été estimée à 30 fois le chiffre d’affaire, ce qui est grotesque. Facebook ne
vaut quasiment rien.
A part qu’il me permet de rester en contact avec la famille
et quelques copains, notamment, pour ce qui concerne les blogueurs, Trublyonne, Romain, Gularu et JJU.
Je résume pour ceux qui ne comprennent rien à la finance :
Facebook ne vaut rien parce qu’il ne vaut rien, ce que je disais pas plus tard
que le 16
mai.
Cette introduction en Bourse rappelle la grande époque de "la bulle" (oui, ça ferait un super titre de film).
RépondreSupprimerL'action se casse la gueule parce qu'en dépit de la connerie qui règne dans ce milieu, il y a encore, parfois, une once de bon sens. Valorisation record historique du Nasdaq pour une entreprise qui génère à peine des bénéfices au bout de 8 ans d'existence. Je connais des banques et des investisseurs qui ont fait fermé des entreprises bien plus rapidement que ça, et pourtant, elles paraissaient bien plus solides.
Oui, il y a parfois du bon sens. Ce qu'il y a de surprenant, c'est que les banques ont fait preuve de moins de bon sens que les investisseurs...
SupprimerEt tu as raison de rappeler "la bulle" où était valorisé n'importe quoi à n'importe quel tarif.
Belle analyse financière, tu devrais être prof !
RépondreSupprimerOui, hein !
Supprimer"La rédaction de Partageons l’addiction étant composée de multiples analystes financiers..." - bonjour à toute l'équipe^^
RépondreSupprimerBonjour.
SupprimerÀ moins que... avec une valorisation boursière 30 fois supérieure au chiffre d'affaire, des immobilisations probablement faibles, un endettement pas très important, même une baisse de 10% après introduction continue à garantir un beau pactol au fondateur. s'il partait maintenant avec le magot, il réussirait un joli hold-up. Foi d'analyste financier chevronné !
RépondreSupprimerOui, il lui reste de la marge !
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