Pearltrees - THE tutorial personnel

Imaginons qu'au cours d'une navigation vous tombiez sur une page web exceptionnelle (notre illustration). Vous vous dites "Tiens Tiens, c'est vraiment bien, il faut que je me la rappelle pour l'intégrer à mon dossier Clearstream, celui où je présente la manière dont les blogs traitent de cette affaire grotesque, dans mon dossier général sur les affaires d'état".

C'est un exemple. Vous pouvez aussi apprendre par coeur l'adresse de mon blog : c'est le seul site utile. Néanmoins, j'ai un tutorial à faire pour vous montrer comment lâcher une perle sans bouger une fesse. Dans mon premier billet, ce matin, je me suis un peu laissé aller à raconter des bêtises. Il faut que je recommence. Je sais ! Gaël a déjà fait un tutorial. Mais si on est deux cons à expliquer, il y aura peut-être plus d'imbéciles à comprendre.

Voilà. Utilisons Pearltrees.

Tu as chargé la barre dans ton navigateur et tu as maintenant, en haut à gauche, un truc qui s'affiche et qui ressemble à ça :

Comment ça, "non" ? Tu n'as pas l'espèce de rond avec "pearl" à côté et les autres trucs ? Bon. C'est que tu n'as pas installé le machin qui va bien. Si tu n'y arrives pas, ce n'est pas grave. Dis-le en commentaire ici, il y aura bien un gugusse de Pearltrees qui viendra t'expliquer : ils passent leur vie à lire les blogs et surtout les miens, les heureux hommes.

Va l'installer. Débrouille-toi. C'est fait.

A côté de "in", il est écrit "account". C'est que tu n'es pas connecté. Connecte-toi à Pearltrees, bordel, fais un effort aussi.

Quand tu aura manipulé un peu ton truc, tu auras vu qu'il peut être composé de différents Pearltrees. Tu es tombé sur un excellent billet de PMA (ce qui n'a rien de surprenant) et tu veux le mémoriser dans le Pearltrees "Politiques (au sens large)". Tu sélectionnes donc, dans "In", ce Pealtrees. Hop :

"In" ça veut dire, en anglais : "Le Pearltrees où que je vais enregistrer mon truc".

Tu vérifies ensuite que "this content" est bien sélectionné, juste à gauche.

Ta page de blog est affichée. Tu cliques sur "pearl" à gauche. Le machin clignote deux secondes. Et c'est fait. Tu n'as pas eu à bouger une fesse pour lâcher une perle. Tu reviendras plus tard organiser ton arbre pour faire quelque chose de très joli et d'utilisable.

Exemple :



Continuons. Tu es content de toi et tu vas au bistro.

Le soir, tu reviens et tu vas galoper sur le web. Et tu tombes sur un magnifique billet, qui illustrera plus tard une présentation de "la fin de l'ère Royal". Ta barre est toujours affichée :

Tu n'as plus qu'à cliquer sur "pearl". Trois secondes. C'est fait.

Ce billet serait terminé si une andouille n'allait pas demander, en commentaire, "à quoi ça sert ?"

Il va commencer par ronchonner : "oui mais avec mes favoris, j'arrive aussi à mémoriser une adresse ?" Tu pourras lui répondre : "Et alors, ducon, quand tu vas en week-end chez ta mère et que tu n'as que son PC, tu fais comment pour enregistrer dans tes favoris ?" "Et en déplacement pour le boulot quand un client te prête son PC sous prétexte que tu as besoin de lire tes mails ?" "Et au bureau, quand le chef à les yeux tournés ?"

Ou alors, ne répondons pas. Pearltrees n'est pas un marque page. C'est un truc qui organise ton web et qui te permet de le partager avec les copains. Par exemple, je veux montrer à mes braves lecteurs les histoires du vieux Jacques, racontées sur un blog principal mais aussi un autre. Comment puis-je faire sans un beau pearltrees où le lecteur n'aura qu'à cliquer sur "Play" pour suivre la saga ? Avec quelques branches annexes pour les histoires de Marcel le Fiacre ou mes histoires de coiffeur...