Comme il m’arrive parfois le week-end, j’ai revu entièrement tous les machins qui permettent la « promotion automatique » de mes blogs. J’en ai longuement parlé ici, il s’agit principalement du « nettoyage » des pages Facebook et de la reprise de mes flux dans ce machin.
Bien content de moi, j’ai repris le rythme, hier…
Quand vers 18h, j’ai ressenti une espèce de vide : je n’avais pas vu les twits balancés automatiquement lorsque je publie un billet. Grace à Backtweets.com, pourtant, je reçois un mail à chaque fois que mon blog est cité dans Twitter.
Je vérifie vite-fait (sans trop les moyens de le faire) et j’appelle Yann à la rescousse. Compte tenu de l’âge et de la boisson, il est un peu gâteux mais on peut lui confier des tâches simples, comme vérifier mes twits.
Sa réponse ne s’est pas fait attendre : mes twits avaient disparu.
C’est ce matin, à six heures, que la crise de rire m’a réveillé. Je me suis souvenu…
Le dimanche matin, j’avais constaté que la diffusion automatique des billets des blogs sur leurs pages Facebook respectives générait un twit pour le signaler avec un lien vers la page Facebook. Je ne le savais pas auparavant, c’est en consultant l’historique de mes twits (pour savoir à quoi me répondait Monolecte) que j’ai vu des trucs que je n’avais pas émis.
Ah ! Merde ! M’étais-je dit. Je n’ai pas trouvé, dans Facebook, l’option pour supprimer ça. Il fallait pourtant que je le fasse d’urgence. Outre le fait que mon compte Twitter n’est pas là pour faire la promotion de Facebook mais de mes blogs et que je n’aime pas disperser les lecteurs dans Facebook (d’ailleurs mes billets n’y sont plus lisibles dans mon profil, les gens n’ont qu’à se déplacer, bordel), je n’aime pas induire mes abonnés en erreur. Or les twits étaient émis sans mentionner qu’ils pointaient vers mes blogs et surtout sans laisser penser qu’il s’agissait d’une diffusion automatique.
Il fallait que je corrige ça au plus vite mais je vais maintenant revenir sur la parenthèse ci-dessus. Peu de gens lisaient mes billets dans Facebook, je vais donc perdre relativement peu de lecteurs. Par contre, je vais gagner quelques clics vers les blogs et surtout, je vais habituer mes « potes Facebook » à faire la distinction entre mon compte Facebook et mes quatre blogs. Vous m’avez suivi ? Non. Tant pis.
Bref, il fallait que je vire au plus vite les diffusions automatiques de Facebook vers mon blog mais je ne savais pas comment le faire à partir de Facebook. J’ai donc choisi de bloquer Facebook dans mon compte Twitter, c'est-à-dire de supprimer Facebook de la liste des applications autorisées à accéder automatiquement à mon compte.
Faisant cela, j’ai constaté qu’un tas d’applications que je ne connais pas avaient accès à mon compte. Depuis quatre ans, j’avais testé un tas de service. J’ai décidé de virer les inconnus.
Par mégarde (ou par manque d’information explicite), j’ai aussi viré Feedburner (et Twitterfeed mais c’est moins grave).
Le con…
J'adore (et j'adore le passage sur Yann)
RépondreSupprimerOn s'amuse avec ces conneries... ^^
Moi aussi, j'adore, je passe des heures à améliorer la diffusion de mes billets et je fous en l'air le principal : la diffusion vers Twitter.
RépondreSupprimerMerci Falconhill, on se moque, on se moque;-)
RépondreSupprimerIl est vache, hein !
RépondreSupprimerAu moins çà te donne de l'inspiration pour faire un article, c'est déjà pas mal^^
RépondreSupprimerBah, il ne m'en faut pas beaucoup.
RépondreSupprimerJe suis mort de rire, je ferais lire ça à ma mère elle ne retiendrait que le passage avec Yann :)
RépondreSupprimerQuand je pense aux heures que nous petits blogueurs du dimanche, on perd à chercher des sujets de blog et que tu nous ponds 508 mots et 2952 caractères juste là-dessus. Pfffffff… A montrer à ceusses qui critiqueraient, à l'occasion, ta place de number One !
RépondreSupprimer:-))
El Camino,
RépondreSupprimerTu devrais lui montrer...
Monsieur Poireau,
Figure toi qu'avant hier soir, j'ai été tiré du pognon au Crédit Agricole, à côté de l'Amandine. Le distributeur à l'extérieur n'était pas en service (il avait été remplacé dans la journée) et il fallait que je rentre dans le sas pour essayer l'autre mais il y avait une dame évanouie allongée par terre (et des gens avec elle et les pompiers qui arrivaient), j'ai donc renoncé à tirer de l'argent (j'ai payé ma note de bistro avec ma carte).
Figure toi que j'en avais imaginé un billet de deux pages que je n'ai finalement pas fait pour différentes raisons.
J'adore partir d'un événement sans la moindre importance et en faire un roman.
Nicolas : j'envie ta capacité à "broder" sur presque rien. Ce n'est pas péjoratif mais un vrai compliment ! :-)
RépondreSupprimerPoireau,
RépondreSupprimerC'est bien comme ça que je prenais ton précédent message.
Quitte à m'envoyer des fleurs, je suis également capable du contraire, c'est une de mes plus grande qualité dans le boulot, décrire en trente pages ce que mes collègues font en 100 ou 200 (et arriver à meilleur résultat qu'eux puisque mes trente pages sont extrêmement précises).