Kriisiis publie l'exclusivité du top 20 des blogs geeks chez Wikio. Le présent blog y gagne une place et se retrouve 10ème. Je vous le signale car il s’est livré au délicat exercice de livrer un commentaire sur chacun des blogs. Allez le lire.
Les commentaires sont complaisants mais ça ne me dérange pas : cela correspond parfaitement à l’esprit que je me fais de la blogosphère qui est avant tout un espace de loisirs : on n’a pas de raisons de se faire emmerder…
Voilà donc ce qu’il dit de mon blog : « 10. Partageons l’addiction (+1) : Si vous souhaitez partager l’addiction, c’est l’idéal. J’ai toujours été gêné par un design un peu trop simple, mais je dois avouer que les données sont de qualité, et les langues, parfaitement déliées.
Le petit + : Ce blog existe depuis des siècles (au moins), et est ancré dans la blogo.
S’abonner au blog : Facebook : Fan-Page – Twitter : @Jegoun – Autre : Flux RSS »L’occasion est trop belle, pour moi, pour me livrer à un moment d’égocentrisme forcené. Ca vous apprendra. C’est vrai quoi, on parle beaucoup de mon blog politique, occupant depuis octobre 2008 la première place du classement politique (sauf pendant trois mois, vers la fin du premier semestre 2010), assez peu de celui-ci pourtant ancré dans la blogosphère comme le dit Kriisiis (en fait, il a écrit « encré » mais j’ai corrigé ici…).
J’aime bien revisiter l’histoire de mon blog, le meilleur moyen pour évaluer la vitesse de l’évolution de la « société numérique » : le blogueur geek oublie souvent que le machin ultramoderne qu’il présente aujourd’hui sera totalement obsolète dans un an. Nul ne sait de quoi l’avenir sera fait et on oublie totalement que tout ce bazar dépend de la capacité des fournisseurs d’accès à Internet à facturer des services pendant que des startup sont plus préoccupées par leur capacité à « lever des fonds » auprès d’investisseurs qu’à dégager un excédent brut d’exploitation.
Un jour, peut-être dès 2011, les investisseurs se rendront compte que tout cela n’est qu’un magistral pipeau. On nous annonce, par exemple, que Facebook vaut 50 milliards de dollars, c’est du flan. Dans une économie normale, aucune entreprise ne vaut 100 fois son résultat. 1700 employés et quelques serveurs informatiques : paf ! 50 milliards pour du vent.
En faisant un grand ménage, chez moi, j’ai retrouvé mon ancien mobile, un magnifique Sagem my700x. Je l’ai remplacé par l’iPhone en janvier 2009, il y a donc deux ans. Un 3G, même pas GS. Je dois avoir suffisamment de points pour m’offrir un 4G mais je vais attendre le 5G comme ça je pourrais fanfaronner dans mon blog.
J’avais acheté ce Sagem deux ans auparavant, au dernier trimestre 2006. Avant j’avais un autre Sagem mais il lui est arrivé une fâcheuse mésaventure : l’odeur d’urine qu’il traînait était abominable. Le pire est que j’avais quand même réussi à le revendre, 20 euros.
Allez ! Kriisiis dit que les langues sont déliées dans mon blog, je ne sais pas ce que ça veut dire mais vous méritez bien que je fasse une pause pour vous raconter cette mésaventure. Je me rappelle, j’avais un pantalon vert foncé. C’était un soir de java, à la Comète, honorable bistro en bas de chez moi. A la fermeture, j’oublie d’aller pisser. Je rentre chez moi. Le Sagem dans la poche du pantalon. J’ai du mal à ouvrir la porte. Je me précipite vers les toilettes. Je prends une seconde de trop à ouvrir la baguette. La bière a alors raison de ma vessie et c’est la première (et dernière) fois où il a fallu que je vide mes chaussures dans les toilettes. Le Sagem était dans la poche du pantalon, à gauche, du côté où je porte le cœur mais aussi la bite, ce jour là.
Mais trêve de cochonnerie (et rassurez-vous, je n’ai jamais chié sur ma livebox) nous voila fin 2006. Mon tout nouveau Sagem permettait de se connecter à Internet, en Wap. On a presque oublié que ça existait, maintenant, mais pourtant c’était hyperbranché de se promener dans d’éternels menus chiants au possible. C’était tellement chiant que je n’y allais jamais. Quatre ans après, hier soir, j’étais à une soirée de blogueurs, on twittait et s’échangeait des photos avec nos smartphones respectifs… La révolution numérique est très récente et on l’oublie.
Fin 2006, c’était la préhistoire. Pourtant ce blog avait déjà un an mais ce n’était pas un blog. Remontons pourtant plus loin, très loin, avant la préhistoire, à la fin des années 1970. Je vais faire vite, j’ai déjà raconté cette histoire.
1979, j’avais 13 ans. Avec un de ses copains, mon père crée le club informatique du patelin. Très vite, je me prends de passion pour la programmation. A 14 ans, je suis formateur dans le club. Le développement informatique est mon principal loisir jusqu’à 1987, année où j’ai commencé à travailler dans le développement de logiciels. Passant 8 ou 10 heures par jour à programmer, j’ai arrêté de tripoter des claviers pendant mes heures de loisir : trop c’est trop. En 1996, au hasard de la carrière professionnelle, je suis devenu « consultant en Assistance à Maîtrise d’Ouvrage » ce qui veut dire concrètement que je ne programmais plus mais m’occupais plus des domaines fonctionnels et de la gestion de projet. Nous connûmes des heures glorieuses, le passage à l’an 2000, le passage à l’Euro et tout ça avant de pouvoir reprendre des projets un peu plus innovants.
C’était en 2003 ou 2004. Les technologies web commençaient à pointer leur nez. On « savait bien » en entreprise qu’elles allaient remplacer progressivement les vieux machins et le 3270 à la papa. On voyait bien que le HTML serait sur tous nos écrans. C’était il y a moins de dix ans, ne rigolez pas. Dans l’entreprise, tout va très lentement, les matériels coûtent très cher et durent 10 ans. Les machines que l’on conçoit maintenant, dans mon secteur, aujourd’hui, seront encore vendues dans cinq ans et donc en exploitation dans 15 ! Ainsi, actuellement, dans mon équipe, on maintient des machines conçues dans le début des années 90 (c’est exceptionnel, elles étaient particulièrement robustes… et rentables) et on commence des avant-projets pour refondre l’informatique dans des systèmes dont le renouvellement sera peut-être envisagé vers 2025. 35 ans d’écart.
Tiens ! Je ne peux pas parler de mon job dans mes blogs alors je vais prendre un exemple. Le dernier vol de la navette spatiale américaine est prévu dans les prochains mois. Le premier vol a eu lieu début 1981, comme Mitterrand. La conception de la navette a commencé dans le début des années 70. Ce qui fait que le gros machin qui va s’élancer dans le ciel pour la dernière fois prochainement a encore des composants informatiques qui ont été conçus il y a près de 40 ans…
Alors, je veux bien tenir un blog geek mais vous pensez bien que la dernière version de l’application Facebook pour iPhone ne me fait pas me trémousser sur mon clavier.
Revenons en 2003 ou 2004. Je me suis rendu compte, après 8 ans sans programmation et surtout 16 sans informatique pour les loisirs, donc sans veille technologique, que j’étais devenu totalement has been. Alors j’ai lu des trucs et des machins mais je n’arrivais pas à mettre toutes les briques dans ma tête, HTML, Javascript, …
Alors j’ai décidé de créer un site web personnel. http://www.jegoun.com à ne pas confondre avec le blog phare http://jegoun.net ! J’ai arrêté de le maintenir vers 2007 mais je renouvelle l’hébergement et le nom de domaine consciencieusement parce qu’il héberge des photos et surtout la généalogie familiale. Pour tout vous avouer, mon PC précédent est tombé en panne en avril 2007 et je n’ai jamais réinstallé les trucs de gestion de mon site sur le nouveau. En décembre, j’ai voulu référencer mes blogs sur le site et je me suis rendu compte, qu’en plus, j’avais perdu les identifiants d’accès… ainsi que les compétences.
Dès la création, j’avais acquis un peu de maîtrise mais j’ai directement été passionné par le contenu, bricoler le site ne m’intéressait plus.
Toujours est-il que dans une des pages du site, je décrivais toutes les changements que je faisais, tous les trucs que je découvrais. En octobre 2005, je me suis rendu compte que c’était en fait un blog que je tenais pour gérer cet historique. J’ai donc créé un blog, c’était plus simple pour mettre du texte. « Le blog du site web à Nicolas » était né. Une heure après je créais « le blog à Nicolas ». Deux mois après, je créais « Partageons mon avis », seul blog qui n’a pas changé de nom depuis. « Le blog à Nicolas » est devenu « Partageons nos âneries ». Du coup, le « blog du site web à Nicolas » est devenu « Partageons le reste » et il portait ce nom quand je me suis rendu compte qu’il était entré dans le top 20 du Wikio, en mai 2009. Il bénéficiait des contacts de Partageons mon avis. Depuis fin 2006, j’avais commencé à y mettre du contenu sans relation avec mon site web.
A l’été 2009, un copain m’a persuadé que mon blog pouvait encore progresser dans ce classement (de fait, il a occupé jusqu’à la quatrième place). Je devais bien reconnaître que j’étais assez doué pour le wikiotage (maintenant, je suis un peu lassé). De fait, d’ailleurs, Partageons mon avis est arrivé à la première place du classement général en août 2009 et mon blog bistro s’en sortait assez bien. J’ai transformé « Partageons le reste » en machine à Wikioter. Il lui fallait un nom qui claque et qui fasse plus ou moins sérieux dans un classement. « Partageons l’addiction » était né. Récemment « Partageons nos âneries » est devenu « Partageons nos agapes ».
Je peux vous dire que ça fait tout bizarre quand vous avez 5000 visites par mois de passer devant tous les confrères un par un, dont des géants comme TechCrunch ou ReadWriteWeb. Le côté « farce » m’amusait néanmoins beaucoup, d’autant que j’avais piqué la première place du général à l’indéboulonnable Presse Citron avec mon autre blog.
Mais, à la fin du premier semestre 2010, Wikio a changé son algorithme. Mon blog a progressivement baissé mais reprends des couleurs depuis quelques mois, le voila à nouveau dans le top 10.
Tout ça avec ma technique habituelle. Ne lisez pas la suite, je suis ignoble : je fais des liens vers des blogs plus ou moins inconnus mais sympathiques à partir de Partageons mon avis. Dès que le blogueur a fait un lien vers PMA, je lui fais des liens à partir des autres blogs. En trois mois, il entre dans le top 300 de chez Wikio. Je m’arrange pour lui montrer les outils nécessaires pour suivre une carrière de blogueur. Il fait des liens vers mes blogs. En fait, je ne suis pas ignoble : ils deviennent généralement des copains et nous buvons des bières fréquemment ensemble. Et ce sont toujours eux qui font le premier pas en venant commenter un de mes blogs avec un pseudo que je puisse retenir…
Reprenons. Dans l’histoire de ce blog, il y a les conseils de blogage que j’ai lancé à l’été 2007 dont un expliquait qu’il ne fallait jamais faire de billets trop long. Je voulais donc commenter ce que dit Kriisiis de mon blog et j’ai légèrement dérapé.
« Si vous souhaitez partager l’addiction, c’est l’idéal. J’ai toujours été gêné par un design un peu trop simple, mais je dois avouer que les données sont de qualité, et les langues, parfaitement déliées.
Le petit + : Ce blog existe depuis des siècles (au moins), et est encré dans la blogo. »
Qu’est-ce qu’il a mon design ? Vous voulez vraiment que je vous raconte l’histoire de mon design ? Non ? Je vais être très rapide : je tiens à ce que mes trois blogs (quatre, maintenant) aient la même tronche pour permettre aux lecteurs de se sentir sur le même espace. A force de bricoler, de changer des petits trucs, les blogs ont fini par avoir des tronches différentes. J’ai tout repris en août ou septembre sur la base du petit dernier pour que les quatre blogs soient identiques. J’avais choisi un modèle de base chez blogger qui m’allait bien sans faire trop de modifications : ça tombait bien, ça m’aurait cassé les couilles de les reporter sur les trois blogs.
Le seul défaut de ce design est la hauteur de la « bannière » mais je n’arrive pas à la réduire.
Le design est parfait pour un blog politique. Il apparaît clairement comme un blog personnel contrairement à celui de blogs de certains de mes collègues. Par contre, il est d’une rigueur absolue qui permet au lecteur de se concentrer exclusivement sur le contenu. Mon blog n’est pas comparable au deuxième du classement, l’illustre Sarkofrance. Lui-même a refondé son blog récemment pour épurer la présentation. Le troisième (selon les exclusivités Wikio) a profité d’un moment où il était à jeun pour refondre son blog et adopter un look proche du mien avec en plus une bannière en couleur. En fait, ce design va très bien à un blog politique (au sens Wikio du terme) mais je n’ai rien inventé. Versac qui a occupé cette place bien avant moi et qui servait de référence avait un look parfaitement dépouillé, aussi : ça permet au taulier comme au lecteur d’aller à l’essentiel : le contenu.
En fait, puisque j’en suis au stade des confidences, derrière l’amateurisme apparent, il y a une vraie réflexion. Le blog étant extrêmement simple, tout blogueur peut faire pareil (n’oublions pas que je ne suis pas dans une sphère geek, avec les autres blogs). Voire mieux. Tout réside dans ce « voire mieux ». N’importe quel blogueur politique peut imiter le premier du classement tout en faisant mieux, en ajoutant une troisième colonne, un widget machin, des trucs en couleur, … Il fera mieux que le premier. Enfin, il le croira. C’est fort, non ? Il le croira seulement, car le nouveau widget qu'il a installé pour "faire mieux" sera vite ringard et pèsera dans le blog.
Pendant ce temps là, le premier et surtout le deuxième sont occupés à produire du contenu. Il squattent les deux premières places depuis 28 mois (moins trois mois, vers mai dernier). Yann a très bien compris. Même méthode, il est devenu troisième. La plupart des blogueurs se posent des mauvaises questions à propos du design de leurs blogs…
Revenons à mon blog geek. Il a le même design que mon blog politique. « Ce blog existe depuis des siècles (au moins), et est ancré dans la blogo. » Ben oui. Il fait partie des meubles. Si je lui donnais un autre design, il ne serait plus lui-même et il ne répondrait plus aux attentes de mes lecteurs, bien différents de ceux de mes confrères : des blogueurs politiques, familiaux, multithématiques, … qui ne sont pas intéressés par les geekeries diverses, mais tiennent un blog, ont un iPhone et un compte twitter. L’intérêt, par rapport au classement, est qu’ils sont blogueurs, twiteurs et balancent des liens. J’ai ainsi le seul blog qui est cité par la presque totalité de ses lecteurs, puisqu’ils sont "tous" aussi blogueurs. Un blog qui parle de blog pour les blogueurs, pas pour les geeks, pas pour ceux qui voudraient avoir un design original, cette originalité qui fait que tous les blogs geeks se ressemblent, se poussant les uns les autres pour se surpasser dans un design de plus en plus moderne, s’obligeant à mettre sans cesse les mains dans le cambouis alors qu’avec quatre blogs, j’arrive à n’y passer que une ou deux heures par an.
Si tous ces blogs n’évoluent pas, ils seront ringards, bientôt. C’était le sens de mon introduction, vous vous rappelez, la navette conçue il y a quarante ans. Tout à fait ringarde mais passant quand même pour un sommet de la technologie, toujours présente…
C’est le sens de la devise de ce blog : « Les nouvelles technologies ont des impacts importants sur la société : il est impossible de s'accouder à un comptoir en ayant un verre dans une main et un iPhone dans l'autre. Il faut des tabourets. » Je suis assis sur mon tabouret et je regarde le monde passer. C’est le sens de la devise de mon dernier blog, « Au comptoir de la Comète », je l’ai créé pour ça.
« Nous étions accoudés, là, calmement. Nous refaisions le monde. Soudain, j'ai levé un oeil vers la rue ; ce monde tournait sans nous. »
Je l’ai créé, ce blog, parce que personne ne sait où on va. Twitter est à la mode mais personne ne sait qu’elle outil émergera, demain, pour nous fournir l’information. Les curators sont à la mode (il y a une conférence lundi soir) mais personne ne sait. Comme je ne savais pas que Twitter et Facebook allaient exploser lorsque j’ai ouvert mes comptes, il y a bientôt quatre ans.
Alors, en août, j’ai ouvert mon quatrième blog parce qu’on ne connaît pas l’avenir des nouvelles technologies. Ca m’a paru amusant de lui donner un look rigide, un de ces looks qui traversent le temps. Un bon vieux blog, bien ringard, parce qu’on oublie souvent que seul un blog (ou l’équivalent) peu contenir… du contenu. L’essentiel quoi.
Je suppose que dans cinq ans, j’aurai une espèce d’écran souple dans la poche qui pourra se déplier pour servir de téléphone et se déplier encore plus pour servir d'ordinateur. Je l’étalerai donc sur mon comptoir et lirai, avec, le contenu produit par les copains. Mon iPhone 5 acheté en 2012 sera rangé sur mon étagère. Alors je le regarderai, avec nostalgie pour faire un beau billet sur l’histoire de l’informatique comme je regarde mon Sagem my700x qui était ce qui se faisait mieux à sa sortie, fin 2006. Et je taperai mon texte sur mon vieux PC, parce qu’un écran et un clavier, c’est encore ce qu’on a trouvé de mieux pour gérer du texte. Au moins depuis 79, quand j'ai posé mon cul sur un siège devant ce vieux bureau en bois, récupéré je ne sais pas où par le club informatique sans moyen, où trainait un Goupil 1, symbole, à l'époque, de la modernité : un Français avait inventé la micro-informatique. Il avait déjà un modem intégré : on pouvait y poser le combiné d'un téléphone (voir la photo, sur la droite, les deux machins noirs).
« Nous étions accoudés, là, calmement. Nous refaisions le monde. Soudain, j'ai levé un oeil vers la rue ; ce monde tournait sans nous. »
C'est marrant... T'es le seul à pas avoir un beau logo hyper design toussa ;)
RépondreSupprimerBen ouais...
RépondreSupprimerLa vache, on en apprend, des trucs, dans ce billet (cette liasse).
RépondreSupprimer- qu'il ne faut pas toujours suivre tes conseils (un looooong billet peut avoir son charme proustien)
- comment grimper dans Wikio
- de quel côté tu portes (parfois)
- l'enfance d'un geek...
J'en passe.
Salut Nicolas, super ce billet : du scabreux, du suspens et de la technologie !
RépondreSupprimerBonne journée :)
J'ai pas tout lu mais c'était très bien ;)
RépondreSupprimerVlad,
RépondreSupprimerMerci !
Xapur,
tu devais lire....
Blogueuse égarée,
Les conseils sont faits pour ne pas être suivis...
et vlan j'arrive aujourd'hui dans les 200 de wikio. le mystère est dévoilé et Nicolas a raison.
RépondreSupprimerEt quand je penses au Turbo Pascal que je connaissais du bout des doigts en 1993, la vache ça fait un bail.
David,
RépondreSupprimerJ'ai toujours raison, bordel.
Chuis souvent à jeun moi;-)
RépondreSupprimerEt bien Nicolas, c'est une belle histoire que j'ai lu jusqu'au bout....
RépondreSupprimerEt Thomson TO7, qui s'en souvient ?
RépondreSupprimer:-)
Bel article, ça m'a rappelé des trucs perso et des histoires de blogs. Tiens quand je t'avais croisé, j'avais fait le tour de ta généalogie par exemple mais ce site était vraiment suranné dans sa présentation !
:-))
[Je me dis que si j'avais croisé un club informatique, je m'y serais aussi intéressé mais le hasard ne l'a pas fait. A quoi ça tient une carrière ! :-) ].
Yann,
RépondreSupprimerProuve le.
Eleonora,
Merci.
Poireau,
Un peu de ringardise ne nuit pas...