09 février 2016

Gérer 300 mails par jour

Au bureau, on reçoit de plus en plus de mails. C'est un vieux sujet de billets de blog mais il est traité à l'envers. D'ailleurs on voit de plus en plus de boites qui  entreprennent de diminuer le nombre de mails. 

Pour ma part, je reçois entre 50 et 200 mails par jour, tous importants, en plus des messages de service et des spams parce que je suis inscrit à nombre de listes idiotes. Il faut relativiser. Aucun mail n'est important sauf s'il vient de supérieur hiérarchique, celui qui valide vos congés et ce genre de truc (et qui vous delegue des dossiers). 

Le nombre de mails importants augmentant d'année en année, certains collègues se retrouve débordés et se demandent comment je peux ne pas l'être.

Tout d'abord je traite les mails au fil de l'eau. Chaque mail reçu est lu. Et je décide alors de le traiter immédiatement ou de le foutre à la poubelle. Il n'y a aucune alternative. Il n'y a aucun mail que je range dans un coin pour le traiter plus tard.  Point barre. Règle numéro un. 

Deuxième règle : je me donne le temps de gérer je point ci-dessus. C'est primordial. Le matin, j'arrive au boulot, je n'ai aucun mail à traiter. Je n'ai jamais aucun retard, ce qui énerve d'ailleurs tout le monde. Ce soir, j'ai reçu un mail à 20 heures, il fallait que je réponde mais j'avais le temps. J'ai pourtant répondu immédiatement, en direct du bistro. 

Celui qui pas la chance, comme moi, de pu pur réponde du comptoir (et ça me coûte, je suis obligé de dire aux copains, parfois, que j'ai encore du boulot à faire), seront obligés de le faire après. 

Ainsi, j'ai souvent des collègues à qui je demande : tu as vu mon mail et qui me répondent négativement. Je les engueule alors ! Ils ont commis une faute. C'est pourtant si facile de répondre à mail : tu me fais chiet, si tu crois que je n'ai que cela à foutre ! 

Et on peut alors leur répondre : si je prends soin de t'envoyer un mail, c'est parce que c'est important. 

Un mail reçu doit être traité immédiatement. Sinon, on s'enfonce. 




03 février 2016

Rigolons avec LinkedIn

D'autant que c'est mon premier billet sur ce blog de l'année, je crois. D'autant aussi qu'une andouille me cherche sur un autre blog à propos de ma baisse d'audience sur mes blogs sans comprendre que la baisse d'audience est liée à ma baisse d'activité dans les réseaux sociaux elle-même liée à une surcharge de travail, liée non pas à l'employeur (j'arrive toujours à être fainéant sans que cela se voit) mais au fait que mon travail est devenu passionnant (plus que le blogage). Il ne comprend pas non plus que si je diffuse régulièrement les chiffres d'audience de mon blog, c'est parce que je suis passionné de statistiques et que j'en ai fait mes études. Je me fous totalement de l'audience. Du temps de Wikio, ce blog était le troisième blog geek en France, derrière Korben et Presse Citron. Je vais lui rappeler qu'un blog politique (ou geek) lu quotidiennement par 1000 personnes n'est pas lu par 99,99 de la population et il serait temps que certaines andouilles se rendent compte que leur influence est plus ridicule que dérisoire. Les statistiques, ça se travaille. 

Trêve d'introduction ou presque. Je vais souvent sur LinkedIn mais ce matin, un collègue m'a parlé de ce truc qu'il découvre. On a discuté patati patata, et il était impressionné du fait que j'ai plus de 500 contacts (les chiffres, toujours les chiffre !) et je lui ai raconté qu'on avait fait un concours avec un pote, Disp, que j'ai largement perdu. Pas Disp, le concours. Du coup, ce soir, j'ai relancé la machine à chercher des contacts. 

L'introduction est finie. 

Ce soir, en cherchant des connaissances, je suis tombé sur un commercial dans l'informatique que j'ai connu dans les années 90. Il avait essayé de me saouler la gueule pour me faire parler à l'occasion d'un déjeuner. 

Il ne me connaissait pas et avait adopté une mauvaise stratégie. Sa secrétaire à qui je l'avais ramené peut en Yémoigner. 

Ce billet sera repris par @leftblog. J'ai honte.