Allez donc le billet d'Achille, ça m'évitera d'en faire un.
"Malgré le fait que Google+ ne possède plus une courbe de croissance importante, les utilisateurs y basculeront un jour ou l’autre, car Google va l’imposer au fur et à mesure. Ainsi, il pourrait vous dire un jour : « Vous savez, nous pouvons vous donner 6 millions de morceaux de musique gratuites, mais la condition est que vous devez posséder un profil Google » . Et si vous le faites, la première page que vous verrez sera celle de Google+…"
Un rien m'intéresse. La politique, les bistros et les séries ont leur blog. Et le reste ?
31 août 2011
30 août 2011
Quels usages pour Google + ?
Une fois n’est pas coutume, c’est presque un antibillet de
blog que je vais faire, presque un sondage, puisque je vais demander à mes
lecteurs de répondre en commentaire à une question : quels usages ont-ils
de Google+ ?
Voila, mon billet est terminé.
Je vais néanmoins dire pourquoi je me pose cette question.
Petit 1 : en rentrant de congés, des jeunes collègues m’ont
dit qu’ils n’avaient pas reçu d’invitation pour Google+. Je croyais que c’était
ouvert à tout le monde. Je n’en sais rien. Bref, je leur en ai envoyées. A
partir de mon compte personnel, remettant en cause mon pseudo anonymat puisque
s’ils en profitent pour me foutre dans leurs cercles, ils verront les billets
de blogs que je diffuse (assez rarement).
Du coup, en les connaissant un peu, je me demande bien ce qu’ils
vont pouvoir faire de Google+.
Petit 2 : j’ai vu une dépêche hier où il était dit qu’après
un fort boum en juillet, les visites chez Google+ avaient connu une très forte
baisse en août.
Bon… Tant que j’y suis, je vais répondre à la question que
je pose à mes lecteurs.
Petit 1 : j’utilise G+ pour jouer (c’est nouveau, chez
moi, je ne suis pas joueur, mais depuis début août, je passe une partie de mon
temps libre à jouer à Diamond Dash, sur Google+ et sur Facebook).
Petit 2 : j’utilise G+ pour avoir une information
variée (hors des domaines qui m’intéressent généralement, la politique, les
réseaux sociaux, l’iPhone et tout ça).
Pour conclure, une anecdote : c’est depuis la sortie de
G+ que j’utilise réellement Facebook puisque, à force de vouloir comparer les
deux, je me suis mis à aller souvent dans ce machin, ce que je ne faisais
jamais avant.
Ah ! C’est l’heure de l’apéro.
Et vous avez vu ? Pour l'illustration, j'ai respecté la parité.
Bon, répondez à la question, maintenant, plutôt que de regarder des fesses...
Et vous avez vu ? Pour l'illustration, j'ai respecté la parité.
Bon, répondez à la question, maintenant, plutôt que de regarder des fesses...
29 août 2011
Il restera du grain à moudre pour les blogs geeks
Pendant mes vacances et
surtout la dernière semaine, j’ai laissé ce blog en friches (par rapport à
juillet où l’activité avait été débordante suite à la sortie de Google+).
Ainsi, je n’ai pas fait ma « veille » méthodique comme à l’accoutumée
(j’ai fait un joli « marquer tous en lus » dans mon Reader, ce matin)…
J’espère que je n’ai loupé aucune annonce intéressante.
Comme faits marquants, j’attends
surtout :
-
un
machin qui permet d’incorporer automatiquement des flux de blogs dans Google+
(je refuse de mettre systématiquement des liens « à la main » ;
ça n’a pas de sens),
-
un
machin pour les entreprises, l’équivalent des pages Facebook, qui devrait
permettre aux « anonymes »
de circuler plus facilement,
-
le
chaînon manquant entre Google Reader, Google Buzz et Google+ (et éventuellement
Feedburner), le machin qui nous permettra de partager de l’information
efficacement.
Dans mes lectures diverses,
j’ai vu différentes annonces de plugins permettant de partager l’information
dans les réseaux sociaux. Je suis contre.
D’une part, je trouve ça
grotesque d’avoir la même activité dans réseaux sociaux. Tout ce que je veux « en
commun » entre Google+, Facebook et Twitter (voire Google Reader et Google
Buzz), c’est d’assurer la promotion de mes billets de blog. Pour le reste, je
ne fais pas la même chose avec les trois machins.
Je reprends mes billets dans
mon profil Facebook pour rappeler à mes proches (les vrais…) qu’ils peuvent les
lire. Mon activité de blogueur (politique et autre) est cantonnée aux blogs et
à Twitter, par exemple. Les gens s’abonnent à mon compte Google+ pour des
raisons qui leurs sont propres, ce n’est pas mon problème (dans le sens où je
ne prétends pas faire le bonheur des gens malgré eux). Je ne peux pas dépenser
de l’énergie à faire la promotion de mes blogs dans Google+ ou ailleurs, ça ne
me laisserait pas de temps pour entretenir quatre blogs dans le top 50 du Wikio ce qui
nécessite de faire des billets, toujours des billets, plus de billets, … Je
connais des braves gens qui passent tellement de temps à travailler la
publicité et le référencement de leurs blogs qu’ils en oublient de « produire
du contenu original ».
D’autre part, je suis contre
l’utilisation de plugins :
-
à
force de rajouter des machins, on ne sait plus où on en est et on oublie que
les autres n’ont pas les mêmes machins,
-
je
ne surfe pas qu’avec un seul PC,
-
j’essaie
d’avoir des blogs grand public, ce n’est pas pour y décrire des machins que n’ont
pas les gens.
Surtout, la plupart des
plugins annoncés sont pour Chrome. C’est amusant de voir le nombre de gugusses
qui gueulent contre l’hégémonie de Google mais naviguent avec Chrome et y
installent des machins pour utiliser Google+…
D’ailleurs j’utilise très
peu d’applications contrairement à beaucoup de potes qui, par exemple,
utilisent Hootsuite ou TweetDeck pour tweeter. Pas moi.
J’ai juste une seule
exception : j’utilise une espèce de plugin bit.ly pour tweeter des liens,
ce qui me permet, d’une part, de tweeter à partir du bureau alors que Twitter
est coupé par le proxy et, d’autre part, de balancer facilement des liens sur
@jegounblogs quand je suis connecté avec @jegoun (ce qui est généralement le
cas, pour tweeter avec @jegounblogs, j’utilise un autre
navigateur).
De même, pour mon blog, je n’utilise
quasiment aucun widget qui ne soit pas proposé en natif par mon hébergeur (Blogger,
donc Google…) de manière à ne conseiller aux utilisateurs que des machins
faciles et à « prouver » que blogger se suffit à lui-même,
contrairement à Wordpress qui nécessite souvent d’aller chercher des machins à
l’extérieur (j’écris ça sous toutes réserves : je connais assez mal WP).
Outre les machins publicitaires (pour mes comptes Twitter, Facebook, mon
classement Wikio, …) est Google Analytics que je recommande parfois à mes
lecteurs.
Une nouvelle « année scolaire
de blogage » commence.
Nous avons trois réseaux
sociaux et des satellites (j’ai profité de mes vacances pour me mettre à
Foursquare, pour le découvrir, je suis devenu « addict », par
périodes).
Twitter, Facebook et
Google+. Au départ, on se demandait qui allait tuer qui, si Twitter allait
succomber, s’il y avait une bataille de réseaux sociaux. Je crois que la
bataille ne porte pas sur les réseaux sociaux (Google gagne assez de pognon
pour ne pas avoir à lancer de machins inutiles, ils cherchent donc autre chose,
probablement « l’identification » : l’identifiant et le mot de
passe qui permettent d’accéder à différentes applications et qui mémorisé, dans
je ne sais quel partie de la mémoire de nos ordinateurs quand on surfe à droite
ou à gauche).
Par ailleurs, nous (toi mon
cher lecteur et moi) sommes des usagers avertis des réseaux sociaux, du partage
d’information, … On oublie trop souvent le volet grand public de la chose.
Ainsi, chacun fera ce qu’il fera de chaque réseau.
Le « grand public »
pourra utiliser Twitter pour l’abonner à des flux et Facebook pour communiquer
avec ses potes mais se fera un plaisir en jouant l’important curator en mettant
un lien dans Google+ (parce qu’au fond, c’est à ça que sert Google+,
contrairement à Facebook où ça gave – moi – de trouver et de mettre de l’information
alors que je l’utilise pour papoter avec des proches et la jeune andouille).
Enfin, dans toutes ces
réflexions qui alimenteront probablement ce blog pendant quelques siècles
encore, il ne faut pas oublie l’aspect « nomade » de la chose, qui se
traduira d’une part par le « cloud computing » (ce qui n’est qu’une
bricole, mais « confirme » ma résistance aux applications et plugins)
et d’autre part les applications smartphone, la possibilité de facebooker, de
tweeter, de plusser, à partir d’un iPhone (ou autre) comme d’un PC de bureau,
le sien, à la maison, ou celui chez un copain, pendant les vacances, celui du
bureau, celui en libre service à l’hôtel, …
Tant qu’il y aura du grain à
moudre ! (Titre d’un célèbre livre d’André Bergeron)
N.B. : Pendant que je
me pose des questions, Disp aussi et définit très justement les
étapes de la vie d’un blogueur. L'illustration de ce billet est en hommage à Catherine de Médicis qui avait un large réseau social à qui elle aimait bien offrir du pain d'épice pour, d'après les livres d'histoire, "le lui carrer dans le minou".
Programmation des billets avec la nouvelle interface blogueur
Blogger a fait de grosses modifications dans son interface, récemment. La partie "programmation des billets" a évolué. Une deuxième modification de la programmation a été faite récemment (pendant mes vacances). Depuis, je n'arrive plus à programmer des billets pour l'après-midi (ce qui est pourtant parfois bien pratique).
Poireau me signale parfois quelques anomalies, également.
Z'en savez plus, braves gens ?
25 août 2011
22 août 2011
Ca me donnait des boutons
Les "pieds" de mes billets commençaient à ressembler à n'importe quoi, avec un tas de bouton :
J'ai fait le ménage pour ne laisser que le machin natif de chez blogger et le bouton Wikio... Cliquez où vous voulez !
(j'avais déjà fait un ménage équivalent dans ma colonne de gauche).
20 août 2011
Interdiction du bouton "j'aime" Facebook
Le bouton « j’aime » de Facebook va bientôt être
interdit d’utilisation par des sites web en Allemagne et on parle de l’interdire
prochainement dans toute l’Union Européenne.
Pour nos blogs, ça va nous faire du bien (regardez le bas de
mon billet : j’ai plein de trucs, on dirait un tee shirt de coureur
cycliste) et, en tant que lecteur, ça commence à me gaver de cliquer sur un RT,
un +1 ou un « like », voire les trois, voire même recopier le lien dans
Google+ et Facebook et ajouter ungoogle commentaire, …
Revenons sur la décision de l’Allemagne… Le bouton « like »
de Facebook est en fait un « petit programme informatique » de Facebook
que les blogueurs et webmasters installent sur leurs sites web. Or, le
programme (ou « script ») s’exécute dès le chargement de la page web,
ne serait-ce que pour afficher le logo « j’aime » que votre
navigateur Internet va chercher sur un serveur informatique de Facebook que
vous soyez ou pas connecté ou inscrit à Facebook.
Pour se faire, le script envoie à Facebook un message « hé
ho, réveille-toi, Ducon, et envoie-moi l’image avec le logo où on peut cliquer parce que le
gugusse avec l’adresse IP numéro tant veut afficher telle page web ».
Ainsi, Facebook peut mémoriser, « par adresse IP »,
l’ensemble des pages Internet avec un bouton « j’aime » affichées par
chaque internaute.
Même pour les sites de cul ce qui pourrait gêner le vieux, El
Camino, Corto, Vlad, Disparitus, Dadavidov, Gularu, Detoutderien, David, Seb,
FalconHill, Didier Goux, Captain Haka, Arnaud, Philippe, Dominique, Jean-Jacques, Homer, Melclalex, Gildan et j’en passe, l’objectif initial
de ce billet n’étant pas de faire des liens vers chez les copains.
Dans la réalité, je ne sais pas si Facebook le fait mais ils
sont en capacité technique de le faire (Google peut probablement également le
faire aussi avec son bouton « +1 »). C’est ce que l’Allemagne veut
interdire afin de protéger les braves gens qui surfent peinardement en pensant
le faire « à l’abris des regards indiscrets ».
Je vous laisse imaginer ce qu’ils pourraient en faire. J’imagine
par exemple que vous alliez voir un gynécologue pour négocier des tarifs pour
votre épouse ! Paf ! Le syndicat des gynécos a un contrat avec
Facebook, le gynéco tape votre nom et l’ordinateur vérifie que vous ne
fréquentez pas de sites de rencontres et donc que vous ne risqueriez pas, par
mégarde, de refilez une « maladie honteuse » à votre brave épouse. Le
tarif sera donc beaucoup moins cher.
C’était un exemple. Cela dit, ne refilez jamais votre
adresse IP au gynéco de votre épouse, on ne sait jamais.
J’imagine donc que l’interdiction sera généralisée et c’est
une très bonne chose.
Pour nous autres, blogueurs, charge à nos hébergeurs de nous
mettre à disposition les boutons parfaits, un peu comme le fait blogger (voir
mon pied de billet, le machin juste en dessous « publié par Nicolas ») :
ainsi, le site de partage ne sera contacté que si nos visiteurs font la
démarche de cliquer sur un bouton (ce que je fais assez rarement quand je
consulte un site de cul) (si je consultais des sites de cul, évidemment, qu’alliez-vous
imaginer ?).
L’idéal serait que les gugusses en charge de normaliser HTML
y ajoutent une fonction spécifique (ben oui, vous avez vu le bordel avec tous
les machins différents ; sur certains sites, on ne sait pas comment RT un
billet), le webmaster (ou le blogueur) pourrait alors définir les options
proposées (« j’aime », « Partager », « RT », « Coller
dans G+ », « follower le compte twitter », « s’abonner à la
page Facebook », « mettre le taulier dans ses cercles », …).
Je nous souhaite bien du courage.
Pour l’instant, la balle est dans le camp du législateur
européen (il serait bon, d’ailleurs, que les ricains fassent pareil).
Comme ça, les blogueurs gauchistes pourront gueuler contre
une décision arbitraire de l’Europe sans même comprendre de quoi il s’agit.
Google Panda et les blogs politiques
GdC
demande aux blogueurs politiques ce qu’ils pensent de Google Panda, le nouvel
algorithme et s’ils ont peur pour leurs blogs.
Non. Je n’ai pas peur : je m’en fous. Je ne nie pas
chercher parfois le buzz, ici ou sur les deux blogs bistro mais jamais pour le
blog politique. D’une manière générale, je me contrepignole des visites en
provenance de Google, seuls les lecteurs habitués (ou susceptibles de le
devenir) m’intéressent.
En outre, je ne vois pas ce que Google pourrait avoir contre
mes blogs : je n’y pompe pas de contenu, je ne diffuse pas de vidéos
piquées sur Youtube ou Dailymotion, … J’abuse juste occasionnellement des liens
mais je produis néanmoins du contenu…
Il faut se mettre à la place de Google et de ses usagers. Le
but de Google n’est pas de faire plaisir aux blogueurs et aux sites web en leur
envoyant des visites mais de satisfaire des utilisateurs.
Imaginons un blog qui copie un article de presse avec les
meilleures intentions du monde, par exemple, il retranscrit fidèlement ses
idées ou autre. Google n’a aucune raison d’envoyer des visites à ce site avec
une requête Google alors qu’il peut fournir à « ses clients » un lien
vers l’original.
En fait, seuls les blogs politiques qui piquent du contenu
aux autres devraient souffrir… Et ça n’est que justice.
Amen.
On nous dit que des sociétés françaises pourraient perdre
gros dans l’opération et on cite souvent Wikio.
Wikio n’est pas qu’un machin qui fait des classements de
blogs, ce à quoi semble le réduire GdC, souvent en retard d’un cran quand il
faut connaître le marché… Wikio est un moteur de recherche, un agrégateur de
flux, un outil de veille, un portail d’information, … Wikio est un concurrent
de Google et je ne vois pas pourquoi Google prendrait la peine d’en assurer la
gloire…
Google ne produit pas de contenu, Wikio non plus. Google ne
s’envoie pas de visiteurs… C’est logique. Wikio ne produit pas de contenu (il
en agrège mais uniquement avec le début d’articles ou de billets), je ne vois
pas pourquoi Google lui enverrait des visites, malgré toute la sympathie que j’ai
pour cette société.
Wikio met en avant les blogs, contrairement à Google. Il
revient donc aux blogueurs d’en assurer
la « défense » en privilégiant son utilisation par rapport à Google. Par
exemple, vous voulez savoir ce que pensent les blogueurs de Panda, tapez « Google Panda »
dans Wikio et pas dans blogsearch ou google !
Par contre, j’ignore tout des impacts financiers pour Wikio.
Et pour mes blogs, je m’en fous.
19 août 2011
Joueurs : doublez vos "vies" à Diamond Cash
J’en parlais récemment, depuis que
Google+ a sorti les jeux, je me suis pris de passion pour Diamond Cash. Malheureusement
le nombre de parties gratuites possibles est assez limité pour inciter les
joueurs à en acheter des nouvelles. J’ai trouvé comment détourner ce problème.
Je rappelle le principe :
lors du chargement initial d’un jeu, vous créez un compte avec votre
identifiant (Facebook ou Google). Diamond Cash vous donne cinq parties
gratuites (voir les petits coeurs au bout de la flèche verte). Chaque partie dure une minute.
Toutes les huit minutes une nouvelle partie vous est offerte. On se retrouve
donc vite le bec dans l’eau. Au bout de cinq minutes, vous n’avez plus de vie. Vous
pouvez attendre trois minutes pour en avoir une nouvelle, mais une fois qu’elle
sera terminée, il vous faudra attendre sept minutes.
Vous pouvez vérifier mon calcul.
Ainsi, le joueur accroc est invité
à insérer sa carte bancaire dans son cochon USB et à dépenser son pognon en
achetant des parties.
Il se trouve que les mêmes jeux
existent dans Facebook et dans Google+… Vous pouvez donc ouvrir un compte dans
chacun de ses machins pour doubler le nombre de parties offertes. C’est ce que
j’ai fait.
Je n’irai pas jusqu’à pousser le
vice en recommandant l’interdit mais j’imagine des mômes rusés ouvrant
plusieurs comptes Facebook.
Niquons le grand capital avant d’aller
au bistro !
A propos de niquer, j’aimerais
bien que Zette
m’explique comment elle arrive à me niquer la race à ce jeu. Non pas que je
sois vexé, je joue tout seul et pour moi, mais pour qu’elle me donne ses trucs
pour avoir beaucoup de points. Christelle pourra également m'expliquer comment elle arrive à me battre à ce même jeu sur Facebook.
18 août 2011
Une menace a été détectée me dit AVAST
Céline n'arrive plus a accéder à son blog (moi non plus, d'ailleurs). Il est ici : cliquez si vous êtes bien protégé.
Si quelqu'un a une idée, merci...
15 août 2011
Pourquoi des jeux dans Facebook et Google+ ?
J’adore les jeux idiots. J’étais un véritable champion à
Tétris à la grande époque. Aussi, avec la sortie des jeux dans Google Plus, j’étais
assez content de trouver Diamond Dash, arrivant rapidement aux niveaux
supérieurs. Malheureusement, on est limité en nombre de parties consécutives.
Je me demandais bien pourquoi ! J’imaginais un truc sur l’esprit du jeu en
réseau, loisir que je ne connais pas…
Du coup, je suis allé voir ce jeu dans Facebook (en quatre
ans, c’est la première fois que je joue avec Facebook). J’étais content. J’ai
joué.
Jusqu’à ce que j’épuise mon quota de parties… et que la fenêtre
en illustration de ce billet s’affiche…
J’ai mieux compris.
13 août 2011
Déblocage des invitations Google+
Mes copains "non geeks" et hors blogs, les héros de mon blog bistro, Djibril et Tonnégrande, ont reçu aujourd'hui les invitations Google + que je leur ai envoyées début juillet !
Google aurait-il tout débloqué ? Ou tente-il une dernière manoeuvre pour gagner des abonnés ?
- Posted using BlogPress from my iPhone
Google aurait-il tout débloqué ? Ou tente-il une dernière manoeuvre pour gagner des abonnés ?
- Posted using BlogPress from my iPhone
Du changement chez Twitter ? Blogueurs, suivez vos statistiques de visites !
Auparavant, il était très difficile de suivre, dans ses statistiques, les visites qui venaient de Twitter. Souvent, d'ailleurs, elles étaient mentionnées comme des "accès directs" !
Afin de voir si Google Panda avait impact sur mes visiteurs, j'ai été voir mon compteur de visites (le sitemeter commun aux quatre blogs, accessibles en bas à droite). La réponse est : non. Pas d'impact visible à ce jour (on verra lors des statistiques de septembre).
Par contre, j'ai remarqué qu'on voyait comme sources de visites les URL raccourcies balancées dans Twitter (voir l'illustration ci-dessus, extraite des statistiques de Blogger pour mon blog politique). Et c'est tout récent, à mon avis (je n'en repère que dans les statistiques des dernières heures) (ou c'est un bug temporaire).
Ca bouge, ça bouge...
Rappelez-vous qu'avec la dernière version de Google Analytics, le suivi global des visites en provenance des réseaux sociaux était supprimé. Je suppose que Google, avec le démarrage de Google+, n'avait pas intérêt à montrer l'influence de ses concurrents...
Il va leur falloir, maintenant, prouver que Google+ peut amener des visites...
Jeux Google Plus : ça y est !
L'arrivée imminente des jeux dans Google+ était annoncée par mes éminents confrères ! Depuis ce matin, j'y ai accès. Peut-être même depuis quelques minutes seulement, je viens de remarquer le nouvel icône.
C'est dommage, je n'en ai rien à cirer, je ne suis pas joueur...
Poster un lien dans Google+
L'essence de Google+ est de diffuser de l'information donc de rédiger des "posts" avec des liens.Certains le font avec le brio qui les caractérise, je n'en citerai qu'un au hasard :
Alors que, putain, de bordel, il suffit de cliquer où il faut pour mettre un lien correctement :
Vous qui êtes esthètes, vous aurez noté la perfection, la petite phrase d'introduction donnant envie au lecteur de cliquer pour en savoir plus, à propos d'un billet probablement parfait puisqu'il ressort que la première photographie, celle qui est reprise dans plus le "post" G+, montre clairement des gens déshabillés.
Néanmoins, les blogueurs politiques (ou du moins pas spécialement high tech) sont parfois perplexe devant l'utilisation de ce machin, avec, notamment, l'envie bien naturelle d'y diffuser leurs propres billets.
Prenons au hasard un supporter Montebourgeois voulant illustrer son sublime dernier billet.
Alors, perplexe devant l'outil, il se contente de copier le lien vers son billet, produisant un "post" tout moche où l'on voit l'URL en clair, s'attirant immédiatement les foudres de ses idoles déçue par ce manque de qualité auxquelles elles ne sont pas habituées.
Alors que, putain, de bordel, il suffit de cliquer où il faut pour mettre un lien correctement :
12 août 2011
Pour certains, Facebook est le web
« J'ai voulu inviter une
amie sur Facebook. Elle me dit qu'elle ne possède de compte Google ! Comme
quoi, Facebook est le web pour certains ! » C’est un post d’Achille
dans G+ qui fera une très bonne introduction pour une billet qui me traîne dans
la tête depuis le début de la semaine. Je l’ai passé chez des amis dans le nord
où j’ai pu rencontrer des amis à eux, fort sympathiques.
Je l’ai raconté
dans mon blog politique, j’ai été frappé par la différence d’usage que nous
avions. Quand ils allument leurs ordinateurs, voire leur smartphone, c’est
directement Facebook qu’ils chargent essentiellement pour rester en contact avec
leurs proches ou utiliser des applications qui les intéresse. Ils ont des
ordinateurs portables qu’ils déplacent de la cuisine au salon, de la chambre au
séjour, …
Facebook est bien au centre de leurs activités sur Internet
alors que, pour moi, c’est uniquement une de mes activités. A noter qu’ils ont
également Youtube qui leur permet d’écouter de la musique et de rechercher des
vidéos rigolotes, par thème.
Mardi matin, j’étais devant mon Google Reader, pas ouvert
depuis deux jours, et je faisais défiler tous les posts non lus en les lisant
soit totalement soit en diagonale, commentant parfois pas assez peu,
backtweetant un peu. Un des gugusses était à côté de moi, éberlué d’en voir un
autre passer tant de temps à lire, sans comprendre que je ne passe pas par
Facebook ou ne m’arrête pas sur une vidéo.
Je suis quant à moi frappé d’être totalement passé à côté de
ce volet dans mes comparaisons entre Facebook et Google +. C’est d’ailleurs en
vivant chez d’autres que j’ai pu comprendre le fonctionnement de certains – une
majorité probablement – et qui me laisse imaginer que celui de beaucoup de mes « vieux
contacts » est identique.
J’ai calqué mes estimations sur le devenir de Google+ à
partir de mon propre comportement et de celui qui j’imaginais de certains sans
me rendre compte que pour beaucoup « Facebook est le web » ou « le
web est Facebook ». Ceci renforce paradoxalement deux de mes principales
analyses :
-
le combat entre Google et Facebook ne porte pas sur le
réseau social mais sur le point d’entrée à Internet dans le futur,
-
le principal point d’entrée à Google Plus pourrait être
Youtube (le compte Youtube étant un compte Google, donc Google+) parce que
Youtube est aussi « le web » pour certains.
Google a fait buzzer son nouveau machin, a multiplié les
incitations à avoir de nouveaux contacts, à créer des polémiques, … Les « curators »
(ceux qui aiment bien donner du nouveau contenu en partage) se sont précipités
sur Google+ qui, il est vrai, a une longueur d’avance sur ses concurrents, du
fait de l’interface.
Google+ a une bonne image dans notre milieu un peu branché
et a su capter certains utilisateurs, tels Gildan,
éminent blogueur (chez Blogger, donc Google, …), qui n’avait jamais ouvert de
compte Twitter ou Facebook. J’imagine que Google arrivera à faire pareil pour
de nouveaux utilisateurs, notamment à partir Youtube.
Mais Facebook a une longueur d’avance sur les autres :
il est devenu le point d’entrée à Internet auprès d’une vaste population au sein
des classes populaires, des internautes pas geeks mais consommateurs de produit
high tech. Pas geeks, mais très branchés sur l’art de connecter un PC à une
télé avec un vaste écran plat, elle-même connectée à la chaîne Hifi et à
Internet pour recevoir les programmes. Pas geeks, mais très branchés sur les
nouveaux smartphones, les applications permettant de communiquer, … Pas geeks
et n’ayant aucune idée de ce qu’est Internet dans son utilisation
traditionnelle, où Google, en tant que moteur de recherche, est le point d’entrée.
Pas geeks mais très au fait de la manière d’utiliser un smartphone pourri comme
lecteur MP3 pour avoir de la musique dans la salle de bain ou dans la cuisine,
en le connectant sur des petits systèmes audios…
Pas geeks, mais toujours avec un portable sur les genoux
quand ils sont assis sur le canapé du salon (les tablettes sont encore
élitistes mais ont un bel avenir devant elles).
Pas geeks, mais ayant depuis des années des consoles de jeu
et toutes autres saloperies qu’on branche sur des télés.
Pas geeks au sens où moi, je peux l’être, ayant été parmi
les premiers à acheter un iPhone, 6 mois, tout de même, après la sortie du 3G
ou ayant des comptes Twitter et Facebook trois ans avant eux, mais maîtrisant
toute l’utilisation des machins grand public avant que je ne me rende compte qu’ils
le sont devenus… Je suis perdu dans ma bulle de blogage et de « curation »,
à la découverte des trucs branchés, du nouveau réseau social qui nous permettra
de faire les cons pendant les heures de bistros.
Ils utilisent les machins électroniques dans leurs salons
et, progressivement, Youtube et Facebook en sont devenus le centre. Ils passent
plus de temps à jouer avec Facebook, maintenant, qu’avec la PS3… Avec Facebook,
ils peuvent jouer entre copains, chacun chez eux, s’échangeant des « statuts »,
des « likes », …
Et quelle est la nouvelle annonce de Google ? Des jeux…
Et quelle est la nouvelle annonce de Facebook ? Des
machins pour échanger via Smartphone.
Et qui est au centre des nouveaux Smartphone ? Google.
Réseaux sociaux : stop aux annonces !
Depuis quelques jours, on assiste à une déferlante d'annonce autour de nos trois réseaux sociaux :
- Facebook avec une nouvelle application pour smartphone "Facebook Messenger",
- Twitter avec une nouvelle interface (et une colonne "activity"),
- Google+ avec des jeux.
Pour l'instant, je n'ai vu la queue de ces machins nulle part... Mes confrères geeks s'empressent de les reprendre mais personne ne les a testées vu qu'ils ne semblent pas disponibles. Encore des buzz parfaitement organisés par les maisons mères...
11 août 2011
Nokia se réveille face à Apple : voila le Nokia N9
Voilà une chose que je ne fais pas souvent, ici, contrairement à mes confrères blogueurs geeks, présenter un nouveau smartphone.
Pourtant c'est très rigolo. En tant que blogueur politique, je suis plié de rire à voir nos fameuses têtes penchantes mettre les émeutes en Angleterre sur le dos du Blackberry. Déjà que les printemps Arabes étaient à cause de Twitter...
Bref...
Je suis un ancien fan de Nokia, qui était largement au dessus du lot à l'époque où j'ai commencé à avoir des mobiles, avec une simplicité étonnante, ... J'en ai d'ailleurs fait un billet, récemment, à propos de mon copain le Vieux Joël dont le portable était tombé en panne et tenait absolument à avoir un Nokia bas de gamme... Aussi, j'étais un peu attristé des voir à la ramasse depuis les nouveautés de la générations iPhone !
N.B. : Cela dit, j'avais déserté Nokia, lors d'un renouvellement de téléphone : les modèles avec appareil photo étaient bien plus chers que ceux de leurs concurrents (c'est même une vendeuse qui m'avait déconseillé de dépenser trop de sous).
Vous trouverez ici une présentation du nouveau Nokia N9 !
Subjot : le nouveau réseau social
Peu après Google +, voila le lancement d'un nouveau machin de réseau social, subjot, qui permet de suivre les twits par sujet.
"Par exemple si ce que dit votre copine Louboutin_X-235 sur les
chimpanzés ne vous intéresse pas mais que vous êtes à bloc lorsqu'elle
aborde la question des loutres, vous pouvez ne vous abonner qu'aux
message qu'elle envoie sur ces attachants animaux des mers."
Viens nous rejoindre, on semble assez nombreux à parler français dans ce machin...
Quant à moi, je leur souhaite une bonne réussite malgré la difficulté à émerger dans ce monde d'ores et déjà plus ou moins cloisonné par quelques géants !
Quant à moi, je leur souhaite une bonne réussite malgré la difficulté à émerger dans ce monde d'ores et déjà plus ou moins cloisonné par quelques géants !
10 août 2011
Quel réseau social, au bistro, ce soir ?
Sur un coup de tête, hier, je me suis remis à Foursquare qui
est un machin qui permet de gagner des trucs en disant où on est. Tiens !
Je viens de déclarer que j’étais Place Victor Hugo ce qui la stricte vérité :
j’y habite depuis 17 ans.
Le machin est indispensable : il me dit que j’y suis
venu une fois et que demain, si je n’oublie pas, je serai mayor du quartier. Il
faut que j’en parle au Maire du Kremlin-Bicêtre, le vrai, pas @m_le_maire qui n’habite
d’ailleurs plus à Bicêtre.
Je n’avais pas utilisé Foursquare depuis la fin de l’année
dernière car je n’y comprends rien.
Pour l’anecdote, je m’y suis remis car, en cette période de
vacances, j’avais prévu d’être tout seul au bistro. Je voulais voir si on
pouvait tenir une soirée en zappant entre les réseaux sociaux sur l’iPhone. J’étais
donc dans Twitter (sur deux comptes), Facebook, Google Plus et Foursquare, sans
compter les blogs.
Je me demande si je ne vais pas tester un autre truc, en
plus, ce soir. Ah ! Non ! Je serai avec des vrais gens. Romain, Trublyonne, Minijupe, Marco, Littlecelt
et d’autres ivrognes du cru, à Lyon, la capitale de la blogosphère geek.
Demain, donc…
Quel sera la prochain ?
Twitter dans Google Plus
Hé ! T'as vu ? J'ai un onglet Twitter dans mon Google Plus :
Ca permet juste d'utiliser Twitter à partir de Google Plus (pas de lier les deux, ce qui serait crétin : pourquoi avoir plusieurs réseaux sociaux si c'est pour y faire les mêmes conneries).
J'ai fait ça avec ce machin trouvé chez Presse Citron.
Neuneu
Je vous préviens : CA VA CHIER. Mon confrère Neuneu.org a repris du service après une petite sieste hivernale.
09 août 2011
Vlad @unraleurdeplus n'a pas disparu
Dans un billet, il nous raconte les conneries qu'il a faites en changeant de compte Google à l'occasion de la sortie de Google+ (billet très intéressant puisqu'il décrit toutes les étapes de la migration).
Il a fait une grosse bêtise : il a modifié le machin Google Friend Connect (ce qu'il n'avait pas besoin de faire, il est lié au blog, pas à la personne). En fait, tous les abonnements à son blog ont été perdus (ce qui explique pourquoi je n'avais pas vu son billet quand il est sorti).
Allez vous réabonner immédiatement !
Foursquare : j'ai plein d'amis
N'ayant jamais compris l'utilité de Foursquare, j'ai laissé tomber : pourquoi indiquer à des gens que je vais au bistro. J'ai un compte Twitter et un compte Facebook, pour ça, sans compter quatre blogs.
Périodiquement, je reçois des notifications quand j'ai un nouveau pote. Généralement, ça part à la poubelle mais à l'instant, j'ai cliqué, par réflexe. J'ai constaté que j'avais 170 amis (203 maintenant, j'en ai profité pour valider tout ceux en attente).
Avec des copains, ce week-end, on parlait de nos nombres d'amis mutuels, dans Facebook. Que j'utilise.
Avec Foursquare, ça m'a troué le cul de voir que je pouvais avoir 200 amis dans un réseau social que je ne connais pas.
07 août 2011
Invitations Google Plus (ou les réseaux sociaux rendent con)
L'illustration ci-contre représente une publication dans Google + d'un gars qui fait la promotion d'un billet d'un de mes estimés confrères qui propose des invitations à Google Plus.
Je vais d'ailleurs faire pareil.Cliquez ici pour en recevoir une. Ensuite, passez à la Comète d'offrir un verre.
L'honorable plussos se rend-il compte que ce partage dans Google Plus n'a aucun intérêt (à part de m'inspirer un billet) puisque, par définition, les lecteurs sont déjà dans Google Plus.
Outre le fait que tout le monde peut envoyer 150 invitations...
05 août 2011
7 conseils pour débuter avec Google Plus
Les internautes commencent à recevoir les invitations Google+ et deux copains à moi viennent de recevoir les leurs. Homer était déjà un fervent utilisateur de Twitter et de Facebook alors que Gildan avait toujours refusé de franchir le pas, probablement à raison.
Je ne vais pas leur expliquer comment ça marche, ils sont assez grands pour ça. Surtout Homer qui frôle 1m90.
Gildan a une chance : il ne sera pas tenté de faire le rapprochement avec les autres machins alors que finalement, ça n’a rien à voir.
Conseil 1 : n’essaie pas de comparer ce truc avec les autres, ça n’a rien à voir. Ne demande à personne ce que c’est, chacun en fera l’utilisation qui lui passera par la tête.
Moi, par exemple, je l’utilise pour suivre des gens au hasard pour avoir une information « différente » et parfois pour diffuser un truc qui ne tient pas en 140 caractères. On verra bien ce que l’avenir donnera…
Conseil 2 : réfléchis immédiatement à tes cercles, à la manière avec laquelle tu voudras trier tes contacts (sinon tu feras des erreurs et tu passeras du temps à les réparer). Crée par exemple « Copains des blogs et des réseaux sociaux », « Copains hors du net », « Famille », et surtout « inconnus au bataillons » et « gugusses intéressants à suivre ». Ne fais pas trop de cercles, tu passerais ton temps à trier...
Conseil 3 : commence par trouver des potes à toi qui utilisent ce machin sinon tu vas te faire chier et commence par absorber tout ton carnet d’adresses gmail (ou autre si c’est possible) en évitant ceux que tu veux... éviter.
Conseil 4 : accepte dans tes cercles les braves gens proposés par Google+, ce sont probablement des potes de potes. Mets les dans un cercle du type de celui que j’ai appelé « inconnus au bataillons ». Tant que tu n’auras pas un nombre significatif de gugusse dans tes cercles (100, peut-être), tu ne pourras pas avoir une bonne vision de ce machin.
Conseil 5 : mets à jour ton profil entier. Ne déclare pas ton blog si tu veux rester anonyme et ne te pose pas de question sur la promotion de celui dans Google+, de toute manière, on ne sait pas comment ça va évoluer.
Conseil 6 : n’hésite pas à supprimer des gens de tes cercles. Par contre, paramètre ton profil pour qu’on ne puisse pas voir le nombre de personnes dans tes cercles (pour éviter de fâcher les gens que tu vires). Nous ne sommes pas dans la vraie vie : si un type est casse-burnes et publie beaucoup de conneries : pas d’état d’âme.
Conseil 7 : n’oublie pas que les autres n’ont pas le même usage que toi de Google+. Par exemple, j’ai 5 ou 600 personnes dans mes cercles, je ne lis donc pas une publication sur cent, il n’y a aucune chance que je vois plus de 1% les tiennes sauf si tu me cites explicitement (en mettant « +Nicolas… »).
Bon courage… et à bientôt dans ce nouveau machin.
04 août 2011
Réseaux sociaux : Google à la quête du Graal
Je suis con. Ca fait deux ans et demis que j’utilise Google Reader mais uniquement comme agrégateur de flux basique et je n'avais jamais fait attention à son volet réseau social, avec abonnement, partage d'information, ... C'est la première source d'informations pour bon nombre d'entre nous, abonnés à des journaux, des blogs, ... Google est-il en train de mettre Google Reader au centre de son réseau social en cours de construction ?
Aujourd'hui, avec Google Reader, je lis les billets des blogs ou site auxquels je suis abonné. Ensuite, je clique sur le blog pour commenter si nécessaire et backtweeter si pertinent puis je passe à l'entrée suivante de mon reader.
J'aime bien le beau bordel ; les billets ne sont pas triées dans mon Reader. J’y passe d’un blog geek, à celui d’un copain en voyage autour du monde, en passant par une blogueuse cuisine avec qui j’ai sympathisé dans twitter et des machins politiques…
Aujourd'hui, avec Google Reader, je lis les billets des blogs ou site auxquels je suis abonné. Ensuite, je clique sur le blog pour commenter si nécessaire et backtweeter si pertinent puis je passe à l'entrée suivante de mon reader.
J'aime bien le beau bordel ; les billets ne sont pas triées dans mon Reader. J’y passe d’un blog geek, à celui d’un copain en voyage autour du monde, en passant par une blogueuse cuisine avec qui j’ai sympathisé dans twitter et des machins politiques…
Mais je me rends compte, aujourd’hui, que je connais assez peu Google Reader.
Depuis le début du mois dernier, avec la sortie de Google+, j’étudie tous les outils Google, que je connais (ou croyais) connaître. Le dernier en date était Google Buzz (voir mes récents billets).
Ce matin, j’ai lu quelque part que les billets que je partageais dans Google Reader étaient aussi dans mon profil Google (et profil Google Plus). J’ai voulu vérifier (j’ai d’ailleurs oublié de vérifier, j’ai le temps. Et je me suis fait engueuler par Pierre, mon illustrissime coach de Googleries parce que je l’avais déjà partagé dans Google Buzz.
Je vous préviens. Je ne sais pas où sera partagé le présent billet. Vous n’avez qu’à l’imprimer et le coller sur la porte des toilettes, au bureau, pour le partager avec vos collègues.
Toujours est-il que je ne me suis plongé dans Google Reader, le machin que j’utilise au quotidien depuis 30 mois.
J’ai réalisé que :
- des gens sont abonnés aux informations que je partage,
- je suis abonné aux informations que partagent des gens (j’avais du cliquer il y a quelques années, sans faire gaffe),
- on peut commenter les informations partagées.
Google Reader est à part entière un outil de réseau social. Amen. Je n’ai plus qu’à partager, aussi. Les machins qu’on partage dans Google Reader peuvent (selon le paramétrage) se retrouver dans Google Buzz. On peut alors papoter dans les commentaires de Google Buzz et de Google Reader, les commentaires sont fusionnés.
Il y a juste un problème, signalé par Cyril M., en commentaire d’un de mes propres billets que j’ai partagé : « J'ai donc pu lire ce post dans mon Reader (normal), une 2eme fois dans mon reader (car partagé), dans Buzz (puisque partagé), sur le twitter de JegounBlogs, dans le twitter de LeftBlogs (et je ne compte pas les futurs RT). Dommage que je n'ai pas accès à G+ pour voir s'il y est aussi. :) »
Je ne doute pas que Google est en train de résoudre ce fâcheux problème.
J’en ai quand profité pour engueuler Cyril M. qui vient d’avouer qu’il ne suit pas la page Facebook du blog, ni mon propre compte, ni mon autre compte Twitter. Non mais sans blague…
Plaisanterie mise à part, quand un utilisateur voit un truc dans son Google Reader, il faudrait qu’il ne les retrouve pas une deuxième fois dans Google Buzz et une troisième dans les trucs partagés par Google Reader.
Tiens ! Vous avez vu, en haut du billet, l’illustration. Elle représente ma liste de partage, c'est-à-dire ce que voient le gens en consultant directement l'URL. Jusqu’à 10 minutes en arrière, je ne connaissais pas l’existence des listes de partage. Vous ne trouvez pas que le look se rapproche furieusement de celui mis en place progressivement ? Dadavidov sera content…
Avec la montée en charge de Twitter et de Facebook, on s’est tous précipités dans ces machins pour partager les informations, c’était vachement branché, à l’époque. J’avais complètement laissé de côté les machins de Google…
Maintenant, Google Plus est à la mode… Google fait les derniers développements (au fait, z’avez vu ? Ils devaient ouvrir les inscriptions sans invitation à fin juillet, ce n’est pas encore fait) et va mettre en place un superbe atelier avec plein d’outils, où chacun pourra partager comme il veut, avec, à la base, l’agrégateur de flux et où chacun pourra suivre des abonnements, des flux, des gugusses, comme il veut.
Un exemple ? Moi.
Quand j’aurai fini un billet, je pourrais le partager « quelque part » (je ne sais pas quelques outils auront été développés par Google) et ils seront visibles :
- à mes abonnés Google Buzz,
- aux abonnés au blog correspondant Google Reader,
- à ceux abonnés à mes listes de partage Google Reader,
- probablement (je ne sais pas comment, peut-être) à mes abonnés Google Plus, éventuellement ceux qui sont présents dans certains cercles.
En tant que lecteur, je continuerai à lire dans Google Reader les blogs auxquels je suis abonnés et partagés par ceux dont je fais partie des listes de partage. D’un clic, je pourrais les partager :
- à mes abonnés Google Buzz,
- à ceux abonnés à mes listes de partage Google Reader,
- probablement « à mes cercles » Google Plus.
Ensuite, je pourrais aller voir Google Plus ou Google buzz d’autres informations qui auront été partagées…
Quelles que soient leurs habitudes, les Internautes découvrir des informations partagées par d’autres ou de sources auxquelles ils sont abonnés, et pourront la partager où ils voudront, avec la méthode qu’ils voudront utiliser, …
Google a réussi un truc délirant : fournir différents outils « de même fonctionnalité » mais bien différents, chaque internaute faisant ce qu’il veut…
Le plus sera « l’intégration finale », quand les blogs Google (Blogger, comme le mien) partagerons les commentaires aux billets avec le partage de ces billets que j’aurais fait lors de leur publication…
Le graal.
Surtout pour Google…
Aidez-moi à retrouver mes blogs !
J'en ai fait un billet récemment, je n'arrive pas à intégrer mes blogs à mon profil Google. Ils ne sont pas parmi les sites proposés par Google alors que d'autres blogs blogger dont je suis "coadministrateur" y figurent.
C'est rageant. Par contre, en bidouillant dans Google Reader, j'ai répondu à un commentaire et quand le pointeur de ma souris est passé sur mon nom, affichant mon profil (je ne sais pas lequel, a priori celui de Google puisqu'il y a mon avatar standard), mes quatre blogs sont bien là (les 4 boules au bout de la flèche rouge) :
Quelqu'un peut-il m'expliquer pourquoi ? Et surtout, comment je peux intégrer mes blogs à mon profil Google (et Google Plus) ? Merci.
N.B. : en fait, je m'en fous, je ne veux pas que qu'un collègue de bureau tombant sur mon profil voit que j'ai des blogs... Mais j'aime bien comprendre...
03 août 2011
Réseaux sociaux : chacun trouvera ses petits
Après avoir fait mon billet à propos du come back de Google Buzz, je me suis demandé ce que je faisais de chaque « machin » de réseau social que j’utilise et pourquoi je le faisais. J’ai donc commencé à faire une liste ; outil après outil, compte après compte, … que je me suis empressé d’effacer, ne voyant pas ce que j’aurais pu en faire, à part un billet de blog sans intérêt, mais j’en ai déjà fait plusieurs aujourd’hui.
En faisant ça, je me suis rendu que j’avais un usage assez étonnant de ces machins, contraire, peut-être à leur usage prévu, contraire à ce que je voulais faire au départ voire surréaliste. Ou carrément crétin (ce qui pourrait générer un futur billet de blog, un exemple au hasard : je fais mes RT à partir du compte Twitter qui a le moins d’abonnés…).
Ce que je retiens :
- je ne diffuse des liens (autres que vers mon blog) que dans un seul réseau social (Twitter, en l’occurrence) et uniquement parce que j’ai installé un machin dans mon navigateur qui me permet de le faire,
- je ne consulte l’information que dans Google Reader et Google Plus (mais aussi dans Wikio – surtout « upcomming » - qui indique les informations les plus backtweetées), presque jamais dans Facebook et Twitter qui n’ont pas une ergonomie adaptée,
- Facebook me permet essentiellement de papoter avec des proches,
- Twitter me permet de papoter avec un immense réseau de relation mais aussi de raconter des conneries, le soir notamment, avec un réseau plus restreint de potes,
- Le réseau social que j’apprécie (hors volet diffusion d’information) est réellement Google Buzz (il est beaucoup plus facile de sélectionner des personnes à suivre, donc on se retrouve entre potes pour les discussions, sans empêcher des abonnés d’intervenir dans les conversations).
Tout d’abord, j’ai cité récemment ce billet de Pierre Chappaz où il pronostiquait le fin anticipée de Twitter à cause de Google plus. Je pensais qu’il se plantait. Je vais probablement dire le contraire aujourd’hui.
Si tous les internautes étaient comme moi…
D’abord, partager l’information est gonflant. On va vite en avoir marre de faire des « +1 », des « Like », des « partager », des « boost », … Le type qui aura inventé (et vendu au public, ce qui n’est pas gagné) un « plugin » universel aura gagné…
En tout état de cause, on ne diffusera plus l’information qu’une fois à partir d’un bouton du navigateur. Google a un avantage avec Chrome qui monte en puissance.
La consultation de l’information se fera à partir de Google Plus (dans l’état de l’interface actuelle de Facebook, bien sûr ! Je ne doute pas qu’ils sauront réagir) mais aussi grâce à la possibilité de séparer les gens par cercle (donc de virer les casse burnes dans un cercle « poubelle »).
Facebook sera conservé, pour la discussion avec la famille, les amis de la vraie vie, …
Twitter sera conservé pour faire les guignols et papoter avec des inconnus.
Buzz, en complément de Chrome, pourrait être utilisé pour gérer des conversations, un peu comme dans Twitter quand des dialogues s’installent entre des gens. Google a ainsi les deux outils : le machin pour partager de l’information et le machin pour papoter entre potes.
Chaque machin trouvera sa place.
Je continuerai à bloguer, évidemment, c'est la seule solution pour produire du contenu.
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