30 juin 2011

Google est le réseau social - Google est partout

Cédric pense que « Google + » est un mauvais nom pour le nouveau machin de Google pour différentes raisons que je vous invite à lire. Au contraire, moi je pense que c’est absolument génial : le réseau social de Google EST Google. Il faudra que j’en parle à un spécialiste du marketing,

Google est le réseau social. Le réseau social est Google.

Z’allez me dire que je parle beaucoup de Google ces jours-ci. Certes. J’ai des périodes. Je suis aussi capable de ne parler que de l’iPhone pendant trois semaines puis de me faire un mois de Twitter avant de passer sur l’analyse des statistiques de visites.

Ce n’est pas de ma faute ! Ce sont mes confrères blogueurs geeks qui ont commencé. Tiens ! Je viens de tomber sur ce billet de Fred où il nous annonce que le bouton « +1 » est disponible dans Google Analytics et dans WebmasterTools. Mais non, andouille, ce n’est pas pour faire la promotion de nos statistiques mais pour nous permettre d’évaluer l’impact de ce bouton.

« Google + 1 » vient de sortir que tout le monde l’a oublié, il est présent sur tous nos blogs ou presque (installé automatiquement sur les blogs blogger, filiale de Google). On passe au truc suivant « Google + » tout court… Mine de rien, on buzze, on parle, on espère un accès pour essayer en avant première… Et on va oublier. Google sortira le machin suivant. Google + sera partout sans qu’on le voit.

Un jour, on verra par hasard dans nos contacts Gmail qu’on pourra affecter nos relations dans un ou plusieurs « Cercles Google + »

Tiens ! Et si on passait directement à Google Takeout ? C’est également Fred qui l’annonçait, ce matin, c’est un machin pour archiver les données.

Hier ou avant-hier, Google sortait « Google Swiffy » pour convertir du Flash en HTML 5 (vous ne savez pas ce que c’est ? Pas grave, c’est un machin pour rendre plus jolis, attractifs, animés, … les sites web, une évolution logique et régulière des standards qui permettent aux ordinateurs du monde entier de communiquer entre eux, par Internet. Flash se meurt après nous avoir rendu tant de services en quelques années…).

A peu près en même temps, Google sortait What do You Love ? Et voila que Presse Citron annonce la version mobile de Google Site.

Vous ne trouvez pas que tout va très vite ?

Et cette nouvelle page d’accueil de Google très épurée ? Voir l’illustration, à droite. Pour moi, elle est accessible depuis ce matin, seulement. Elle est tellement épurée que j’ai du ajouter une flèche rouge, ma spécialité !

Z’avez-vu, au bout de la flèche rouge : ce mystérieux engrenage présent depuis quelques jours dans toutes les applications Google qui permet d’accéder aux outils liés à cette application. Tiens ! Il y a un nouveau truc (j’ai vu passer l’annoncer, dans les blogs, mais je n’avais pas fait gaffe). C’est Google History. Voir l’illustration à gauche, en dessous. Ca mémorise toutes les recherches google que vous avez faites avec votre compte (je crois que je vais utiliser Bing, moi… : néanmoins, vous pouvez vérifier que j'utilise Google pour avoir les renseignements précis pour mes billets...).

Quand Google rachète une société, on se dit « Tiens ! Google rachète encore un machin. ». Rappelez-vous, quand Google a acheté Youtube, en 2006. « Tiens ! Google rachète Youtube ! »

Quand j’ai créé mes blogs, j’ai choisi Blogger par hasard, probablement poussé par… une recherche google. J’ai créé mon compte en m’identifiant avec mon adresse mail… Gmail. Quelques mois ou années après, ils ont proposé de fusionner mes deux comptes. J’ai accepté, c’était plus simple : une seule identification en ouvrant mon navigateur et j’avais accès à tout. Un seul compte Google avec mon adresse email !

Récemment, ils m’ont « forcé la main » (vous lisez les « conditions d’utilisation », vous ?) pour que tous les braves gens qui ont un compte avec une adresse email rattachée à un des noms de domaines (jegoun.net, aubistro.com, aubistrogeek.com et macomete.com) puissent l’utiliser comme identifiant unique pour la plupart des applications Google.

Je répète : c’est très récent. Ca a peut-être début en avril et que je crois que ça a été finalisé fin mai. On fait ça aussi au bureau : on appelle ça des « fédérateurs d’identité ». Tous les salariés peuvent se connecter à toutes les applications avec les mêmes identifiants.

Blogger est la plus grande plateforme de blog au monde, les sites avec blogger (ou blogspot) comme nom de domaine sont parmi les plus fréquentés… La 7ème en avril. 410 millions de visiteurs uniques.

Youtube est le deuxième site le plus visité (les moteurs de recherche ne sont pas de classement). 800 de visiteurs uniques. Presque autant que Facebook, avec ses 880 millions. Blogger et Youtube ont probablement, à eux deux, plus d’utilisateurs que Facebook.

« Tout le monde » a un identifiant Youtube. « Tout le monde » a un identifiant blogger pour laisser des commentaires dans les blogs. « Tout le monde » a un identifiant gmail.

Ce sont les mêmes. Les « identités » sont « fédérées ».

Et au bout, de la flèche rouge, à droite de l'engrenage, votre nom. Vous cliquez dessus et vous gérez votre compte. Votre identité fédérée. Partout, progressivement, dans toutes les applications google.

Quelle sera la prochaine fonction accessible à partir de ce discret petit menu, centre du Réseau Social Google ?

Et ceux qui critiquent Google dans leur blog pour cette hégémonie utilisent probablement Chrome, le navigateur préféré des geeks. Et fait par Google.

Elle n’est pas belle, la vie ?

Les 7 étapes de la conception d’un site Web interculturel

Dan Aldulescu de Lingo24 me propose ce texte avec d’intéressantes réflexions pour réaliser un site web pour plusieurs pays ou plusieurs cultures.

Bonne lecture !


Les 7 étapes de la conception d’un site Web interculturel

Aujourd’hui, tous les chefs d’entreprise, où qu’ils soient situés, savent que posséder un site Web est devenu indispensable. Le temps où les tenanciers connaissaient le nom de tous leurs clients est révolu. Avec plus d’un milliard d’utilisateurs d’Internet dans le monde, il s’agit de la grande route que chacun se doit d’emprunter.

Si vous avez l’intention de vous faire connaître sur le plan mondial et d’étendre vos activités à l’échelle internationale, la première chose que vous devez savoir, c’est que la création d’un site Web à l’intention d’un marché étranger va bien au-delà de la simple traduction du texte de votre site anglais. Les différences culturelles jouent un rôle significatif dans votre future relation avec vos clients et les personnes qui visitent votre site.

Bien que cela puisse vous sembler assez accablant au départ, la création d’un site Web pour un marché étranger peut être effectuée avec succès en suivant quelques étapes :

Prenez un temps de pause pour réfléchir

Avant de choisir la couleur de votre site ou de votre police de caractères, prenez un temps de pause pour réfléchir un moment : Quel pays bénéficierait de vos produits ou services ? Quel pays aurait la place d’accueillir une autre entreprise en ligne ? Il n’y a rien de plus frustrant que de se lancer dans un nouveau marché et d’être étouffé par une forte concurrence. Regardez les autres sociétés qui existent et trouvez quelques idées qui vous permettraient de les surpasser et de gagner à leur propre jeu. Une fois votre nouveau marché minutieusement choisi, la deuxième phase peut commencer.

Agissez localement

La première chose dont vous aurez besoin, c’est d’un Domaine de premier niveau (TLD) personnel. Celui-ci a deux avantages – il vous donne de meilleurs résultats sur les moteurs de recherche locaux, et vous octroie davantage de respect et de confiance de la part de vos clients des pays concernés. Dans le cas où l’achat de TLD personnels pour vos sites Web étrangers s’avère trop onéreux, utilisez des sous-domaines pour chaque site local, en définissant leur emplacement dans le pays cible depuis Google Webmaster Tools.

Contexte culturel
Nous vous recommandons de réfléchir à un design général et unifié pour vos sites Web, quel que soit le marché, pour créer l’image de votre société. Cependant, cela ne signifie pas que n’aurez pas besoin d’adapter et de localiser les images en fonction de chaque marché étranger que vous souhaitez cibler. Par exemple, des sites Web créés pour des pays asiatiques doivent être plus vivants, pleins de couleurs et d’animations ; les sites Web occidentaux doivent être simples et offrir un message clair et direct.

Quelle que soit la façon dont vous modifiez votre site Web, le maintien de vos barres de navigation horizontales devrait vous éviter quelques ennuis lorsqu’il s’agira de passer entre les langues qui se lisent et s’écrivent de gauche à droite à celles dont la lecture et l’écriture se fait de droite à gauche.


Plus que de simples couleurs

Vous pouvez penser que le choix de la couleur n’est pas si important. Mais réfléchissez-y à deux fois. Les couleurs jouent un rôle considérable dans la culture quotidienne. Prenez pas exemple le rouge - cette couleur représente le  « danger » ou l’ « amour » dans les cultures occidentales, tandis qu’elle signifie « bonne chance » ou la « célébration » en Chine. Pour un choix sûr, on s’accorde à dire que le bleu est une couleur qui fonctionne dans le monde entier.

Les « bonnes » images

Vous savez probablement déjà qu’il est déconseillé d’utiliser les mêmes images pour différents marchés et cultures. L’image d’une famille américaine utilisant votre produit dans la bonne humeur n’aura pas le même effet en Chine qu’aux états-Unis.


Pensez également aux différences entre les cultures à faible contexte (américaine, allemande, britannique, etc) et à contexte élevé (chinoise, indienne, japonaise, etc.) et à leur impact sur la conception d’un site Web. Pour les pays à contexte élevé, il est essentiel qu’un site Web contienne beaucoup d’images, de couleurs et d’animations voyantes, mais cela ne marchera certainement pas dans la société occidentale.


Choisissez les meilleurs outils

Si vous comptez créer une série de sites localisés et souhaitez passer rapidement d’une langue à l’autre sans tout reprendre à zéro, alors l’UTF-8 est la solution qu’il vous faut. Avec un code unique pour chaque caractère dans plus de 90 langues, l’UTF-8 peut facilement alterner entre l’allemand, l’arabe et même  le chinois simplifié.

Il y a d’autres excellents outils qu’il vous est conseillé utiliser: les feuilles de style en cascade, ou CSS. Celles-ci vous aident à maintenir le contenu séparé des images. Vous n’aurez pas besoin de tout recommencer si vous avez besoin de modifier la langue de votre contenu d’un site localisé à un autre. L’autre avantage des CSS, c’est la petite taille des fichiers qui aide les pages à se charger plus vite.

Si vous souhaitez disposer de pages qui chargent rapidement, gardez en tête qu’un site Web avec beaucoup de contenu Flash le ralentira. Les personnes qui visitent votre site Web n’attendront pas 2 minutes que votre page d’accueil se charge, et vous pourriez perdre des clients potentiels.


Le contenu est le coeur de votre site Web

La partie la plus importante de vos sites récemment localisés sera son contenu. Rien ne ruine davantage le désir d’un client d’acheter l’un de vos produits que des fautes d’orthographe, des erreurs de grammaire ou des formulations étranges.

Bien qu’il revienne moins cher d’utiliser des outils de traduction automatique, tels que Google Translate, ou de placer divers widgets de traduction sur votre site Web, l’option la plus sûre consiste à demander de l’aide à un professionnel. Un traducteur natif s’assurera que votre contenu textuel soit traduit de manière professionnelle, en se montrant très minutieux avec l’intégralité de votre texte, qu’il contienne des abréviations, de l’argot ou des expressions familières ou culturelles.

La conception d’un site Web interculturel peut sembler très exigeante, mais les résultats en valent réellement la peine. En suivant ces  simples étapes et, surtout, en effectuant quelques recherches avant de commencer, vous parviendrez à coup sûr à vous faire connaître sur le plan international.

Dan Aldulescu, chargé marketing chez l'agence de traduction Lingo24. Crée en 2001, Lingo24 compte aujourd'hui plus de 160 employés sur quatre continents et des clients dans plus soixante pays.

J'ai découvert Minigroup



Roget.biz en parlait récemment mais je n’ai découvert https://minigroup.com/ que ce matin, grâce à Monsieur Poireau et j’ai pu faire quelques essais avec Annnie, Trublyonne, Dedalus et  Lolo bobo, quelques joyeux camarades des leftblogs… Je trouve ça assez génial, en complément de tous les autres machins de réseaux sociaux, Facebook et Google Groupe, notamment.

Ca permet de créer des petits groupes de discussion, un peu comme Google Groupe mais sans le côté « artillerie lourde » de ce dernier, beaucoup plus convivial. Sur notre page personnelle, on voit toutes les conversations relatives aux différents groupes auxquels on est inscrit, un peu comme le mur de Facebook mais, à la différence avec Facebook (ou Twitter), on est pote avec personne, on est juste membre des membres de groupe auxquels on s’est inscrit. On peut néanmoins envoyé des messages privés à des gens qui sont inscrits aux mêmes groupes que nous.

Je n’en sais pas plus pour l’instant.

Vous pouvez boire un coup avec moi dans le groupe Kremlin des Blogs !

Chaque groupe peut avoir plusieurs administrateurs (chargés de gérer les membres). On peut créer des événements, envoyer des photos, mettre des liens, … On a des notifications par mail, …

A vous de découvrir !

Etude des comportements d'achat sur internet par régions


La Corse, le Limousin et l'Ile de France sont les champions toutes catégories des achats sur internet en France

C’est le titre d’un communiqué de presse que j’ai reçu. En voila de larges extraits…

22 095 personnes ont répondu à cette enquête. (Envoi de la synthèse de l'étude sur demande). Toutes les régions françaises, toutes les tailles de villes, toutes les classes sociales, toutes les tranches d'âge ... sont représentées.

Ce baromètre mis en place par Brandalley pour analyser les comportements des internautes par régions sera régulièrement mis à jour.

Le champion des achats sur internet depuis le lieu de travail est l'Ile de France (28%)
-         43% des 22 095 répondants possèdent un Smartphone et 41% d'entre eux consultent des sites de commerce en ligne depuis leur smartphone
-         22% des acheteurs en ligne sont influencés par la météo
-         Les achats en ligne de parfumerie et de cosmétiques concernent le plus de monde derrière les produits de mode. Les corses et les lorrains en sont les plus gros acheteurs.
-         Le Centre, le Poitou Charente et l'Ile de France sont les plus gros acheteurs de produits High Tech en ligne
-         L'Ile de France, la région PACA et le Nord Pas de Calais sont les régions qui achètent le plus de Deals sur internet
-         L'Ile de France est la région qui achète le moins pour le conjoint, le mari ou les enfants
-         42% des internautes consultent des sites de mode avant de se rendre dans le magasin
-         53% des répondants ont un compte Facebook
-         91% des internautes consultent des sites de ventes flash une fois par mois

Les résultats :

Une nette majorité des répondants (59%) a passé au moins une commande par mois sur Internet, depuis un an.
En tête du classement : La Corse (58%), Le Limousin (62%) et l'Ile de France (64%)
En queue de peloton : La Champagne-Ardenne (52%) et la Bretagne (53%)
18% des répondants passent leurs commandes depuis leur bureau.
43% des répondants possèdent un smartphone. Parmi eux, 41% y consultent des sites de vente et 17% achètent depuis leur smartphone.
En moyenne 18% des répondants consultent des sites marchands depuis un smartphone.

Les achats en ligne.

Types de produits :

Dans la grande majorité des cas, il s'agit d'achats de vêtements et d'accessoires de mode (96%). Les achats de parfumerie et de cosmétiques arrivent en 2ème (36%), juste avant les produits culturels (34%) et le mobilier, électroménager, décoration (27%).

Les régions qui se distinguent :

-         Parfumerie et cosmétique: (moyenne : 36%) - en tête du classement : La Corse (46%) et la Lorraine (41%)
-         Produits culturels : (moyenne : 34%) - en tête du classement : Le Poitou-Charentes (41%) - en queue de peloton : La Franche-Comté (27%)
-         Du mobilier, de l'électroménager, de la décoration : (moyenne : 27%) - en tête du classement : La Corse (41%)
-         Produits High-Tech : (moyenne : 23% - en tête du classement : Le Centre (26%), le Poitou-Charentes (26%) et l'Ile de France (25.5%) - en queue de peloton : La Champagne-Ardenne (17%)
-         Voyages : (moyenne : 18%) - en tête du classement : L'Ile de France (25%) - en queue de peloton : La Corse (12%), l'Alsace (13%), l'Aquitaine (13%) et la Lorraine (13.8%)
-         Des Deals : (moyenne : 14%) - en tête du classement : L'Ile de France (18.8%), PACA (19%), Nord-Pas de Calais (18%) et Alsace (18%) - en queue de Peloton : La Corse (1.2%)

Sur l'ensemble de la France :  81,9% des répondants sont des femmes.
  
Les autres résultats :

Les CSP les plus représentées sont la catégorie des employés pour 40% et celle des cadres et agents de maitrise pour 26%.

La grande majorité des répondants vivent en couple, avec (44%) ou sans enfants (26%). L'ile de France arrive très nettement en queue de peloton.

43% des répondants disent aimer la mode tout en restant raisonnable. 29% ne suivent pas particulièrement la mode et préfèrent cultiver leur propre style. 21% privilégient avant tout le confort et le prix des vêtements. Et seulement 6% se considèrent accros à la mode.

Une nette majorité des répondants (59%) a passé au moins une commande par mois sur Internet, tout produit confondu, depuis un an. Pour 96,1% des internautes, il s'agit d'achats de vêtements et d'accessoires de mode. Les achats de parfumerie et de cosmétiques arrivent en 2ème position (36%), juste avant les produits culturels (34%) et le mobilier, électroménager, décoration (27%).

Dans plus de 95% des cas, les articles de mode sont achetés pour le répondant lui-même, y compris si il vit en couple, avec des enfants ou pas. Mais 54% des femmes achètent sur internet pour leur conjoint ou mari et 51,3% pour les enfants et 56% pour faire un cadeau.

Les chaussures-bottes (71%) et les T-shirts-tops-polos (70%), robes, jupes (48%) ... sont les articles de mode les plus achetés sur Internet, suivi par la parfumerie et les cosmétiques.

Le plus souvent, les répondants achètent des marques connues (71%) et des collections outlet (68%). Les articles de créateurs (49%) et les collections actuelles sans remise (43%) sont achetées mais seulement de temps en temps. Internet est surtout apprécié pour les achats de marques de mode car on y trouve des prix inférieurs (90%). 39% des répondants y trouvent également les marques qu'ils ne trouvent pas près de chez eux.

Lors de leurs achats de mode sur Internet, les participantes sont surtout attentives aux prix (89%), à la confiance que le site leur inspire (84%), aux frais de port offerts (80%), aux retours offerts (76%), au choix qui leur est proposé (70%) pour le choix de produits et 65% pour le choix de marques), à la facilité de navigation (68%). Le service client devra quant à lui répondre aux mails rapidement (75%).

47% des répondants consultent les sites des grandes enseignes textiles (par ex. celio.com, etam.com, kiabi.com...) une fois ou plus par semaine et 42% des participants consultent les sites de mode avant de se rendre en magasin. Acheter en magasin présente surtout l'intérêt de pouvoir essayer les articles (76%).

97% des répondants passent leurs commandes depuis leur domicile et 18% depuis leur bureau. (voir carte ci dessus)

La météo influence 22% des participants qui achètent plus volontiers en ligne quand le temps est mauvais.

La mobilité : usages et attitudes

43% des répondants possèdent un smartphone. Parmi eux, 41% y consultent des sites de vente et 40% achètent depuis leur smartphone. (Voir carte ci dessus)

Facebook : usages et attitudes

53% des répondants ont un compte sur Facebook. 44% d'entre eux y vont tous les jours. Et 22% y font connaitre leurs achats ou leurs coups de cœur via la fonction J'aime/I like.

En résumé :

Les français ne consomment pas tous de la même façon sur internet. Il est intéressant de noter qu'en fonction de la région ou du département, les internautes sont plus attirés par exemple, par des deals, des voyages, de la mode, des collections outlet ou en cours ...

Il est à noter que les achats via les Smartphones se développent très fortement et Brandalley l'a notamment remarqué lors des 3 premiers jours des soldes d'été ou plus de 650 000 mobinautes ont visité l'application Iphone de Brandalley.

La moyenne nationale de 18% d'achats sur internet du bureau et l'Ile de France qui est en pole position est aussi une information très intéressante à développer ?

Enfin, malgré la densité de population, l'Ile de France termine en dernière position pour les achats sur internet que ce soit pour le conjoint, le mari ou les enfants.

Est ce parque Paris est une ville plus jeune, ou il y a beaucoup plus de célibataires, de couples sans enfant .... ?

Etude réalisée auprès des membres de Brandalley avec le concours de CCMBenchmarkgroup.

A propos de Brandalley:

Un lieu de mode : où se retrouvent aussi bien collections actuelles que collections outlet, pour offrir un large choix de produits et permettre à chacun de trouver son style parmi les plus grandes marques.
Et une mode communautaire : grâce au Lab qui implique les internautes dans le lancement de jeunes créateurs, et à la Communauté, véritable plateforme de partage et d'échange qui met en relation les internautes entre eux au travers des produits.

Brandalley est en France le numéro 1 des grands magasins en ligne pour les collections en cours et précédentes, le numéro 2 des ventes privées. Il figure par ailleurs dans le top 15 des sites les plus visités avec 8 millions de visiteurs par mois et 6 millions de membres.
Présidé par Sven LUNG et dirigé avec Antoine Leloup (directeur général), Brandalley qui a été lancé le 21 juin 2005, est soutenu par les entreprises : Banexi, Caisse des dépôts et consignations, A Plus Finance, News Corporation et a levé un total de 27 millions d'euros pour accélérer sa croissance.



Blogger : incident technique ?

Je n'arrive pas à ouvrir le machin pour créer ou modifier des billets avec Blogger sur mon PC, ce matin. Et vous ?


- Posted using BlogPress from my iPhone

29 juin 2011

Google Circle : et encore plus ?

Hé ! T’as vu ? Quand on ouvre un message (une « conversation »), avec gmail, maintenant, on peut voir la liste des participants à une discussion. Voir l’illustration à la glorieuse flèche rouge. Encore un nouveau machin de la galaxie google (ça existe peut-être depuis plusieurs jours, mais je n’avais jamais vu). Mes confrères blogueurs geeks ont beaucoup parlé de Google Plus dont la sortie est imminente et éminente.

Google Plus est destiné à « concurrencer » Facebook. Je vous laisse lire les descriptions de mes confères, comme chez Achille (Fred nous présente une démonstration)…

« Ce sont tous les services de Google qui se sont transformés en un immense réseau social. [Le] design de Google + est très soigné et les paramètres de confidentialité sont facilement configurables. »

« Google+ possède 5 composants Circles (Cercles), Hangout (Vidéo Bulles), Sparks (Déclics), Instant Upload, Huddle (Clique) »

« Circles permettra de regrouper ses amis selon une thématique et chaque cercle sera totalement indépendant. » Les autres nouveautés m’intéressent peu pour le présent billet. Circle est un truc qui manque évidemment à Facebook et surtout à Google Buzz, à mon avis, puisque ça explique que je m’en sois désintéressé dès la sortie. En effet, Google Buzz utilise les contacts Gmail et je me suis vite fait retrouvé avec des contacts professionnels dans mon buzz… J’en avais d’ailleurs fait un billet en février 2010.

Je considère ainsi que Google, avec Plus et Circle, a fait un grand pas avant. Pour faire l’analogie avec Facebook (où je n’ai pas de contact professionnel), quand je mets à jour mon statut pour dire que je suis au bistro, je n’ai pas besoin que des personnalités politiques avec qui je suis pote, des copains perdus de vus ou ma tante le sachent…

Je ne suis pas Madame Soleil et je ne sais pas comment les internautes réagiront et si Google Plus arrivera à émerger. Google fait un tas de petites modifications dans ses produits, comme celles que je citais en introduction, mais aussi des bricoles que je cite parfois, comme la proximité entre Google Reader et Google Buzz ou la modification de l’interface de Google Groups. Si on cumule tout, Google a une palette de fonctionnalités impressionnantes.

J’en ai découvert d’autres récemment. Par exemple, mes quatre blogs, étant hébergés par une filiale de Google, quand je leur ai donné des noms de domaine, j’ai choisi de les déclarer chez Google (ce qui était a priori déconseillé). J’ai créé des comptes de messagerie associés à ces compte, comme jegoun [at] aubistrogeek.com et j’ai découvert qu’avec ces comptes, j’avais accès à toutes la galaxie des applications google et pas seulement à la messagerie (de type gmail).

Mes confrères blogueurs geeks parlent des nouveautés chez Google mais il serait intéressant d’étudier la possibilité offerte par tous ces machins :
-         Actualités,
-         Agenda,
-         Alertes (pour recevoir des alertes sur des mots clés précis à partir de Google News),
-         Bloc-notes,
-         Blogger,
-         Checkout (un machin pour les paiements en ligne qui, semble-t-il n’a pas décollé),
-         Documents,
-         Gmail,
-         Google Buzz,
-         Google Friend Connect,
-         Groupes Groupes,
-         iGoogle (bof, je n’ai jamais accroché),
-         Maps,
-         Picasa Albums,
-         Reader Reader,
-         Sites,
-         Talk,
-         YouTube, …

Et encore, je ne suis pas exhaustif (par exemple, dans la liste que j’ai trouvée – sur le site de google – il n’y a pas  Google Locator).

L’autre jour, je disais que Google devait chercher le chaînon manquant. Circle (et les quatre nouveaux machins) en est-il un élément ?

N.B. : Vous pouvez aussi lire les billets qui parlent d’un nouveau service de Google : http://wdyl.com (What do you like ?).



27 juin 2011

Effacer les mails sur l'iPhone

Il y a environ un an, une modification du logiciel de l’iPhone m’avait énervée : la petite corbeille, en bas des messages, permettant de supprimer les mails avait été remplacé par un bouton pour archiver les mails. Il n’était plus possible d’en supprimer avec l’iPhone.

De fait, je me retrouvais avec des tonnes de mails sans intérêt une fois qu’ils ont été lus, notamment toutes les notifications (Twitter, Facebook, Google Group) et du ménage périodique à faire.

Pour retrouver la corbeille, il suffit de positionner correctement les paramètres de son compte en mettant « non » en face de « archiver les messages ».

Belle astuce que j’ai découverte chez Presse Citron.

24 juin 2011

Google Groupes : Google doit encore se mettre au travail !

Les leftblogs sont en liesse : je viens de réactiver le Groupe Google et nous découvrons la nouvelle interface que j’ai vaguement évoquée dans un court billet cette après-midi. J’avais vu dans des blogs qu’elle était vachement bien, se rapprochant de Google Reader et tout ça. Soit.

On n’arrête pas de la commenter pour indiquer à chacun comment faire pour résoudre ses problèmes, comme, par exemple, associer son compte Google au machin pour permettre l’affichage de son avatar.

Mais l’interface a un gros défaut, Google doit se mettre au travail.

Auparavant, j’utilisais le Groupe par l’intermédiaire de ma messagerie. Je n’utilisais jamais l’ancienne interface. La nouvelle étant sympathique, j’ai commencé à le faire comme mes camarades blogueurs politiques.

Il se trouve que certains d’entre nous utilisent toujours la messagerie (dont moi, avec l’iPhone). Or, quand on répond un truc, la messagerie ajoute une mention de type « Re » en début de réponse.

L’objet étant modifié, Google Groupe prend ça comme un nouveau sujet et ne classe pas la réponse avec le sujet initial.

Ca fout un de ces bordels dans Google Reader ! Voir l’illustration. Non. Pas le photo de Justin Bieber, c'est une erreur de manipulation. L'autre, là, à gauche. La flèche rouge n’a rien à voir, elle est là pour montrer un bouton (cliquez sur ce bouton, l’affichage est bien plus joli ainsi).

C’est bien plus simple à gérer avec Gmail qui empile tout seule les conversations…

Google doit donc bosser pour que Google Reader repère les réponses envoyées par Gmail (voire d’autres messageries) un peu comme il fait pour Google Buzz.

Le Grall serait qu’une telle fonctionnalité soit disponible avec les commentaires des blogs blogger…


Nouvelle interface de Google Groupes

J'avais bien vu dans des blogs que la nouvelle interface existait mais je n'y avais pas accès. Je pensais que Google procédait à un déploiement progressif, comme souvent. En fait, il faut l'activer en cliquant ici puis sur le bon bouton.

(gloire à Dedalus qui m'a donné le truc)

Perte de mails de notifications par mail de Twitter

Les braves gens qui suivent d’autres de mes blogs se rappellent peut-être que j’ai beaucoup râlé quand Twitter a sorti son nouveau machin avec les notifications par mail parce que je ne les recevais pas toutes.

Je croyais à un gros bug.

J’ai retrouvé les notifications perdues. Dans les spams… Gmail est efficace pour ça…

Je fais un sacré geek, moi... #FF à tous !

23 juin 2011

I-Dispo, plate-forme de prise de rendez-vous entre particuliers et professionnels

Or généalogie (pour une raison personnelle), il est très rare que je présente des produits ou applications que je n’ai pas utilisées un petit peu alors que je reçois beaucoup de communiqués de presse. Ce que je vous présente aujourd’hui mérite néanmoins un relai parce que ça me parait génial. C’est un système qui permet de prendre rendez-vous avec un professionnel (médecin, notaire, garagiste, commercial, coiffeur, …) par Internet en vérifiant ses disponibilités.

On a des machins équivalents au boulot, pour organiser des réunions, c’est génial.

Moi qui ai horreur de téléphoner voire de négocier en face à face pour ce genre de connerie, j’adhère immédiatement.

D’ailleurs les pires sont souvent les coiffeurs (pour homme, pour femme c’est différent, les rendez-vous durent plus longtemps). Enfin, mon coiffeur. Le type passe trois minutes à tourner les pages de son agenda, à réfléchir à propos de certains clients pour finir par me donner le rendez-vous que je voulais, à 13h30 le lendemain, horaire où il n’avait strictement rien sur son agenda.

Très de bavardage… Voilà le communiqué de presse.

Lancement d'I-DISPO, première plateforme de prise de rendez-vous de particuliers avec des professionnels

I-DISPO créée en 2010, a inventé un nouveau service de prise de rendez-vous via tout type de support : internet, mobile, SMS, vocal. Un service accessible 24h/24 et 7j/7 totalement innovant permettant aux médecins, coiffeurs, restaurants,... de remplir automatiquement leur carnet de rendez-vous et aux particuliers d'organiser leur emploi du temps, en dehors des périodes ouvrables. Ce nouveau service a séduit des investisseurs tels que Kima Ventures (Xavier Niel et Jeremie Berrebi), Jacques-Antoine Granjon (Vente-Privee.com) ou Florent de Kersauson (Nestadio Capital). La société a aussi séduit Microsoft en tant que partenaire et vient d'être sélectionnée par le leader mondial du logiciel comme l'une des 15 start-ups les plus prometteuses d'Europe.

Prendre après 19h un rendez-vous avec son ophtalmologue, réserver à 22h une table dans un restaurant pour le lendemain, planifier le week-end le jour du contrôle technique de sa voiture ... Ce service sur Internet destiné aux particuliers permet d'un clic  24h/24 et 7J/7, depuis le site local ou le moteur de recherche de son choix, d'accéder aux disponibilités d'un prestataire et de formuler une demande de rendez-vous gratuite en ligne

Du côté du professionnel, le service est tout aussi simple. Les demandes de rendez-vous peuvent être reçues et confirmées automatiquement via  SMS, message vocal, e-mail ou synchronisation directe avec tous les outils de gestion de rendez-vous existant. Nul besoin d'être doté d'un logiciel de réservation connecté, un simple téléphone suffit pour recevoir automatiquement des demandes de rendez-vous partout sur web.

I-DISPO est un agrégateur multi-secteur se situant au-dessus des solutions existantes de gestion et de prise de rendez-vous. Un positionnement unique lui permettant de transformer les acteurs du marché en partenaires en leur apportant une visibilité plus importante.

Grâce à une vingtaine de partenaires (Microsoft Bing, Orange, toptable, Restopolitan, Axilog, JustaCoté.com, ReviserSavoiture.com, EspaceRendez-vous, booster-autoentrepreneur, Provalliance, Ethnicia...), I-DISPO collecte déjà automatiquement les informations et les disponibilités de plus de 200 000 prestataires de services en France (restaurants, salons de coiffure, centre de contrôle technique ...) et les diffuse via un bouton « Click-to-Book » qui apparaît à côté des coordonnées du prestataire sur les sites internet, annuaires, moteurs de recherche ou portails partenaires d'I-DISPO.

Reposant sur le modèle économique de la publicité en ligne, cette mise en relation est gratuite pour les particuliers comme pour les professionnels. Les prestataires désirant être plus visibles peuvent souscrire à des micro-campagnes (à partir de 0,50 € le rendez-vous honoré). I-DISPO vient d'être sélectionnée parmi les 15 start-ups les plus prometteuses d'Europe par l'European Bizpark Summit de Microsoft. Le gratin des business angels français ne s'y est pas trompé en participant à la première levée de fonds d'I-DISPO. Les grands noms du Web français tels Xavier Niel (Free, Kima Ventures), Jérémie Berrebi (Kima Ventures), Jacques-Antoine Granjon (VentePrivée.com), Fabrice Grinda (Olx, Zingy, Aucland, Lofty), Thomas Serval et Florent de Kersauson, président de Nestadio Capital (1er Fonds d'investissement dédié à l'écosystème Microsoft) font partie du tour de table.

« Pour démarrer, on ne pouvait rêver mieux ! Etre soutenu par de telles personnalités ayant prouvé que l'on pouvait transformer une idée en véritable business est déjà encourageant », déclare Ismaël Nzouetom, président fondateur d'I-DISPO. Mais être sélectionné par Microsoft comme l'une des start-up les plus prometteuses d'Europe va nous permettre d'accélérer notre ambition de devenir la plus grande conciergerie virtuelle au monde ...».

I-DISPO ambitionne de devenir rapidement la première plateforme mondiale de réservations de services de proximité. Le déploiement à l'international est prévu d'ici la fin de l'année.




22 juin 2011

Gmail - suggestion de destinataires en copie

Voila une fonction qui existe peut-être depuis longtemps dans gmail mais que je n'avais jamais remarquée. Alors que je voulais envoyer un mail au vieux Yann en mettant Florent en copie, je me suis rendu compte que dès que j'ai entré l'adresse de Yann, Gmail m'a proposé celle de Florent (et celle de Jacques et du Coucou) :

C'est vrai que hier, j'ai "papoté" avec Yann et Florent et que le mois dernier, j'avais eu une conversation avec Jacques, Yann et Le Coucou.

Très fort... Et surtout très pratique...

Le désarroi du blogueur face à Twitter

Chose très rare, hier soir : je n’ai pas publié un billet conséquent que j’avais préparé. J’ai gardé le titre pour vous faire plaisir. J’ai jeté le reste parce que je n’arrivais pas à  tirer une conclusion concrète, chaque argument que j’avançais était contrebalancé par le suivant. C’est ce matin, en remuant dans mon lit que je me suis rendu compte de deux choses. D’une part, cet échec évident montre que le blogueur (moi) éprouve réellement du désarroi face à Twitter et, d’autre part, je crois bien que je suis trop passionné par le blogage pour avoir un avis un objetif.

En fait, le blogueur peut très bien passer totalement à côté de Twitter ! Là, à 6h30 du matin, trois noms de blogueurs me viennent à l’esprit : Captain Haka, Elmone et Gildan. Ils n’ont pas Twitter et vivent très bien, avec un billet par jour, en moyenne…

Twitter n’a rien changé, dans les blogs, sauf en apportant une tache de plus (backtweeter) et une source potentielle de succès de quelques billets. Dans Twitter, il y a tellement de liens qui sont postés que les gens ne cliquent presque plus. Sur la trentaine de billets que j’ai backtweetés (sans compter les RT de complaisance, qui ne sont pas faits sur le même compte Twitter), hier, seul 3 ont eu un nombre de clics significatif (19, 5 et 13, le premier, j’avais ajouté « Mouarf », le deuxième, je disais qu’il y avait des trucs à gagner mais j’avais eu la flemme de préciser quoi et le dernier était un billet d’une personnalité du web). Aucun des autres n’a dépassé les 3…

Z’avez vu, je considère maintenant 5 clics comme un « nombre significatif ».

Les clics émis automatiquement pour mes propres billets génèrent en moyenne une dizaine de visites, parfois un peu moins, parfois beaucoup plus.

Dans son billet nocturne, Disparitus évoque les premières difficultés de Facebook. Je crois – sans être sur – que Twitter ne va pas tarder à éprouver des difficultés, les Twittos deviendront submergés d’informations et n’accorderont plus d’importance aux liens, ils se conteront de capter l’information en 140 caractères.

Par ailleurs, le blogage (tel que je le pratique, le Wikio et tout ça) a toujours fonctionné en circuit fermé : je vais lire les billets de mes potes et ils viennent lire les miens. Il est très rare – hormis improbable recherche google ou événement imprévisible – que le cercle des lecteurs s’élargisse. Twitter n’a rien changé à ça. Je découvre les billets de mes potes dans ma TL ? La belle affaire… De toute manière, les billets sont dans mon Google Reader…

En fait, le seul impact de Twitter sur ma manière de bloguer (à part le fait que j’étudie Twitter et j’en fais des billets !) porte sur le fait que je fais moins de commentaires de complaisance, de ceux faits pour montrer aux copains qu’ils ont été lus… Je backtweete.

Pour le reste, il est impossible d’avoir un bilan chiffré de l’impact de Twitter (sauf pour les rares billets qui cartonnent). Depuis peu, j’utilise de nouveaux trucs pour backtweeter mes billets. Ils fournissent des chiffres de nombre de clics mais ces chiffres sont très surévalués (concrètement, ils sont supérieurs aux chiffres globaux fournis par mon hébergeur…).

Ainsi, si je continue à backtweeter les billets des copains et les miens, c’est parce que j’aime ça, que c’est devenu une nouvelle forme de politesse sur la toile… et parce que ma formation en statistiques fait que j’adore étudier les chiffres…

Parce qu’au fond, ces chiffres, qu’est-ce qu’on en a à cirer ?

Par contre, Twitter a un intérêt : c'est un excellent moyen pour assurer le succès des vraiment bons billets. Twitter permet, à l'occasion, de sortir de son cercle habituel de lecteurs : les copains, voire les copains de copains. Et ça s'est important... Mais seuls les très bons billets sont concernés.

21 juin 2011

Famicity fait peau neuve !

L’an dernier, je vous présentais Famicity : « J'ai découvert récemment un nouveau site de "généalogie" sous la forme d'un réseau social avec toutes les options qu'ont ces machins (envoi de message, messagerie instantanée, publication de vidéos, mise à jour de statuts, échanges de photos,...) basé sur un arbre généalogique, pour réunir la famille. »

Aujourd’hui Famicity fait peau neuve.

« La version 2011 est plus élégante et plus pratique. Le design épuré est repensé pour plaire aux plus grands comme aux plus petits. Partager les photos d’un heureux évènement, écrire la biographie de ses ancêtres, organiser un évènement familial, partager une anecdote, dialoguer en direct, est simple et agréable ! » « Dans ses chroniques, Famicity propose des espaces de discussion où les membres peuvent, seulement si ils le souhaitent, interagir avec des professionnels spécialistes de sujets et problématiques de la vie quotidienne : assurance, soutien scolaire, banque, … »

« L’intention de Famicity est honnête et bienveillante. Famicity, c’est le premier réseau social au monde à s’engager juridiquement à respecter la vie privée des internautes. Il adopte la charte de confidentialité la plus stricte du Web, félicitée par la CNIL. Et pour couronner le tout, la publicité n’y est pas admise. En clair, un réseau qui facilite les échanges, gratuit, sans intrus, sans intérêt commercial, comme si on était « à la maison » ».

"Internet est un lieu d’échange fleurissant, et les deux jeunes créateurs de Famicity l’ont compris : la communication entre générations peut y avoir lieu à condition qu’elle soit sécurisée. Les familles peuvent ainsi garder contact facilement et avoir accès à de nombreux évènements qui, bien souvent, défilent dans notre dos : les ouvertures de cadeaux des enfants, les promenades au parc, les premiers pas du petit dernier, les anniversaires, le reportage photos des vacances, etc."


Dans l’attente de pouvoir vérifier que Eric est bien la cousine de Jean, Tizel, le grand père affectif de Marie, Homer, le filleul d’Elmone, Louis, la sœur jumelle de Gabale, Isabelle, le giton de Laurent, Dominique, le labrador de Vlad, Margaud, la cuisinière de David, Romain, l’attaché parlementaire du Vieux, El Camino, le chauffeur de Melclalex, FalconHill, le porte drapeau de Romain, Gildan, le chat de Petit Louis, Romain, la gouvernante d’Arnaud, Juju, le prof d’anglais de Nol de Nol, Bembelly, la femme de chambre du Sofitel de Marco, Stef, l’amant caché de Trublyonne, Rimbus, le basset de Seb Musset, je vous invite à regarder les illustrations ci-dessous pour apprécier Famicity. Cliquez pour agrandir.

Vous n’aurez plus qu’à vous inscrire, c’est ici que ça se passe.



19 juin 2011

J'ai découvert Bit.ly (bis)

Je plaisante, ça fait un bout de temps que j'utilise ce machin mais je viens de me rendre compte qu'il rend à peu près les mêmes service que le machin que j'ai présenté juste avant mais en moins joli. Et surtout, il envoie des liens vers les billets et les articles, pas vers "lui-même"...


J'ai découvert Scoop.it

Comme beaucoup de blogueurs, quand je découvre une nouvelle application sur le web, je l’essaie en prenant mes blogs en exemple… Finalement, je n’y comprends pas grand-chose et je me casse. C’est donc ce que j’avais fait avec Scoop.it. Je croyais que c’était encore un nouveau truc pour faire la promotion de nos blogs en y perdant un maximum de  temps.

J’avais néanmoins installé un « bookmarklet », presque sans faire exprès. C’est un machin dans la barre de trucs du navigateur :



Quand on clique dessus, une fenêtre s’affiche permettant plein de choses mais notamment de Backtweeter le lien de la page en cours de consultation :



Au fait ! N’oubliez pas le rébus du Coucou. Il vient de sortir.

J’en étais donc resté là…

Depuis, j’ai créé deux nouveaux comptes twitter (au fait, n’oubliez pas de vous abonner, là, dans la colonne de gauche, ou sous le billet) et je n’arrête pas de changer de compte sur mon PC (je sais, je pourrais utiliser une application permettant de gérer plusieurs comptes mais je n’ai pas envie). Du coup, je n’arrête pas de me tromper de compte pour balancer mes tweets.

Je suis censé balancer les liens intéressants ici : http://twitter.com/#!/jegounblogs !

Alors ce week-end, j’ai décidé d’utiliser systématiquement par scoop.it pour balancer les liens pour éviter de me tromper (je sais d’autres trucs existent mais je n’ai pas envie)(et quand je n’ai pas envie d’un truc, j’ai des raisons).

Et c’est maintenant que j’ai compris à quoi servait réellement scoop.it… Ca crée un journal (en l’occurrence avec ce que j’ai tweeté avec mon bookmarket scoopi.it). Et voila mon journal



Alors que je ne comprenais pas l’intérêt de Paper.li (quel intérêt pour les gens d’aller voir ce que les gugusses auxquels je suis abonné ont pu backtweeter), je suis persuadé que scoop.it a énormément d’intérêt.

Je vous le conseille donc.

Mais faites comme moi : commencez par l’utiliser pour Twitter et, ensuite, découvrez toutes les fonctionnalités, notamment les fonctions pour faire de la veille (pas très utile, pour moi, dans la mesure où mes blogs sont généralistes).

Edit : un gros inconvénient néanmoins, les liens ne pointent plus directement vers les blogs mais vers la page de Scoop.it (l'utilisateur devra cliquer une deuxième fois pour accéder). Du coup, les billets ne sont plus vus par Backtweets.com donc, probablement, par Wikio...