Skitch est une sympathique application pour iPhone qui permet de faire des jolies flèches rouges qui rendent jaloux @Xapur tout en énervant @detoutderien. On peut même faire le con dans Facebook avec.
Un rien m'intéresse. La politique, les bistros et les séries ont leur blog. Et le reste ?
29 décembre 2012
2012, mon année geek
L’information de l’année 2012 pour ce qui concerne la
geekerie tourne probablement autour de l’arrivée d’un quatrième opérateur de
téléphonie mobile même si, à titre personnel, je n’en ai pas grand-chose à
cirer : je n’ai aucune raison valable de changer d’opérateur vu que le
mien m’offre un iPhone neuf tous les deux ans. Depuis 18 mois.
A titre personnel ?
Voyons voir ce qu’a représenté 2012…
A propos de forfait de téléphone, le début de l’année a été
marqué, pour moi, par une perte de la 3G illimitée et la coupure d’Internet au
bout de trois semaines, environ. J’ai donc passé beaucoup de temps à tenter d’optimiser
ma consommation en janvier et février. Maintenant que mon forfait est à nouveau
illimité, cette période semble lointaine mais je me rappelle de la conclusion :
c’est Twitter qui bouffe énormément de « datas », probablement à
cause du rechargement des avatars.
La fin de l’année, par contre, m’a procuré un tas de
déboires avec la batterie de l’iPhone même si je n’en ai pas fait beaucoup de
billets. Je vais donc résumer : pensez à désactiver la géolocalisation et
à fermer les applications que vous utilisez peu. Désactivez tous les push.
Depuis iOS6, une utilisation « non stop » de plus de cinq ou six
heures semble impossible mais ce délai peu facilement tomber à trois heures si
vous faites le con.
Mon année 2012
a été marquée par la campagne pour François Hollande et
la découverte des outils mis en place pour le web et les recherches pour
assurer la promotion des blogs pro Hollande, dont le mien.
L’année 2012
a aussi été celle du début de l’intégration de Blogger
dans Google+ : il reste encore des étapes à franchir mais le progrès a été
poursuivi toute l’année.
En début d’année, je me suis engouffré dans un tas de polémiques
à propos de Google, de la sécurité des données privées et tout ça. J’ai été « choqué »
de constater que le les militants les plus acharnés pour lutter contre les
monstres de l’informatique ont un très mauvais sens politique. Alors qu’ils
devraient former les gens à l’utilisation des réseaux sociaux pour ne pas faire
n’importe quoi, ils les embrouillent dans des détails ou leur font peur. C’est
ballot. Par exemple, ces militants ont passé plus de temps à tenter de me
convaincre « moi personnellement » qu’à étudier le message qu’ils
devaient faire passer.
L’année a aussi été marquée par des nombreuses évolutions de
Google. On les a oublié tant elles sont passées dans les mœurs. La plus
importante, pour moi, a été la gestion du multicompte. A noter également, l’imbrication
de plus en plus forte entre Google+ et Gmail.
L’année 2012 fut celle du fiasco de l’introduction en bourse
de Facebook, du rachat d’Instagram par cette boite, du rachat de Posterous par
Twitter, de la sortie d’un réseau social (inutile) par Microsoft,… Mais aussi
par le lancement par cette boite d’un nouveau système de messagerie afin de
revenir dans la course : outlook.com.
Vers juin, je me suis beaucoup intéressé aux Réseaux Sociaux
d’Entreprise avec toute une réflexion sur le métier d’informaticien, les
usages, les besoins, les cahiers des charges …
L’été fut partiellement consacré au dico des blogueurs mais
on attend toujours la suite…
On ne peut pas évoquer 2012 sans mentionner la sortie de mes
blogs des classements Ebuzzing.
Enfin, j’ai beaucoup tapé sur Facebook, cette année, créant
une confusion pour mes lecteurs : je reste un gros utilisateur de ce
machin mais je n’aime pas l’ergonomie et j’ai un gros doute pour ce qui
concerne le modèle économique. Surtout, en 2011, ce machin est devenu bien plus
hégémonique que ne l’était Google…
Danger…
28 décembre 2012
Nouvel an : qui va garder les enfants ?
Le casse-tête de savoir qui va garder les enfants le soir du réveillon est enfin résolu grâce à Yoopies, la première plateforme sociale de mise en relation entre baby-sitters et parents. Yoopies propose de rentrer en contact avec plus de 3000 baby-sitters ayant indiquées être disponibles ce soir-là, partout en France grâce à son application iPhone et son site web !
25 décembre 2012
Diffusez automatiquement votre blog dans Google+
Préambule : je rappelle que je déconseille fortement de diffuser vos billets de blog dans votre propre profil Google+, créez dont une page spécifique. Ca évitera de faire chier vos potes qui se tapent déjà votre blog dans Google Reader, Facebook et Twitter...
Première étape : si vous n'avez pas de compte Hootsuite, créez-en un.
Deuxième étape : cliquez sur le machin pour ajouter un réseau social et faites ce qu'il faut pour ajouter votre compte Google+.
Troisième étape : dans les "réglages" cliquez sur le bordel "RSS/ATOM".
Dernière étape : cliquez sur le bazar pour ajouter des flux. Au bout de la flèche rouge, ajouter l'adresse de votre blog (ou du mien, ça me fera une publicité bien méritée).
Au bout de la flèche verte, choisissez où vous voulez diffuser (et donc choisissez la page Google+ associée à votre blog plutôt que votre profil personnel).
Au bout de la flèche bleue, faites ce que vous voulez mais ne laissez pas l'option par défaut, ça serait ballot.
Ce billet est mon cadeau de Noël. Remerciez moi.
Ce billet est surtout un billet de test pour vérifier que le fonctionnement est correct.
Chef ! Et mon cadeau de Noël ?
J'ai essayé de faire une rétrospective
de l'année 2012 pour ce qui concerne les nouvelles technologies mais
c'est presque impossible. Les machins qui se sont développés en
2012 sont nés bien avant et on ne peut pas présager des événements
de l'année 2012 qui auront de l'importance dans les prochaines
années. J'imagine que des confrères parleront de l'arrivée d'un
quatrième opérateur mobile en France, mais il ne représente qu'une
étape supplémentaire dans la démocratisation de l'Internet mobile
en France, étape réduite dans les prochaines années à peau de
chagrin, la Wifi devenant accessible librement dans de plus en plus
de lieux publics.
Alors, j'imaginais ce que pourrait
devenir tous les progrès de l'informatique grand public s'ils
étaient appliqués au monde l'entreprise et, plus particulièrement,
s'ils étaient appliqués aux types comme moi qui bossaient dans les
sièges de grosses boîtes nationales. Nous avons, en vrac, les
réseaux sociaux, les tablettes, les visioconférences, le "cloud",
le Wifi,...
Le Wifi :
L'utilisation du Cloud et des tablettes
peut difficilement se concevoir sans Wifi.
Des bornes Wifi accessibles partout en
entreprise doivent permettre l'accès sécurisé à l'intranet de
l'entreprise lui-même permettant d'ailleurs l'accès à Internet
dans les conditions de sécurité propre à la boite (chez nous, par
exemple, l'accès aux réseaux sociaux et aux sites de partage de
vidéos sont coupés).
Ca a l'air con mais vous verriez les
freins qu'on rencontre...
L'agenda :
C'est presque anecdotique mais je ne
comprends pas que mon agenda professionnel ne puisse pas être
consulté en dehors du réseau de l'entreprise, notamment de chez moi
ou de mon smartphone. La conséquence est qu'on est obligés soit de
reporter les réunions professionnelle ou les rendez-vous privés à
la main d'un agenda un à l'autre ou de gérer un machin « papier ».
Il faut donc que les agendas
professionnels puissent se connecter aux machins qui gèrent les
agendas privés (type Google Agenda, synchronisés avec les
smartphones). Débrouillez-vous...
La messagerie :
Ayant parlé de la messagerie, je ne
peux pas omettre la messagerie. Je me fous de pouvoir accéder à ma
messagerie professionnelle de chez moi, je ne veux pas être dérangé
en permanence. Néanmoins, ça pourrait intéresser certains (mais je
comprends de potentiels problèmes de sécurité).
Par contre, « j'exige »
d'accéder en 2013 à ma messagerie avec un client léger performant
de type Gmail (mais on me souffle dans l'oreille que Outlook.com est
aussi très bien), de m'affranchir des contraintes de volumétrie,
d'archivage, d'accès quand je ne suis pas à mon poste de travail,
...
Les tablettes :
Chef ! Offrez-nous des tablettes
uniquement pour le boulot. Je jure de ne pas l'utiliser pour autre
chose que pour le boulot... Mais je n'en peux plus de devoir imprimer
les supports de présentation ou autre pour les réunions, de ne pas
avoir accès en permanence à ma documentation, …
Je n'en peux plus de devoir chercher un
visioprojecteur, un portable à emprunter, une connexion réseau ou
une prise de courant dans les salles de réunion. Je ne supporte pas
les connards à quatre pattes à la recherche de ces prises, faisant
perdre cinq minutes en début de réunion tout ça parce qu'ils ont
peur que la batterie parte en couilles.
Je veux bien avoir à saisir mon mot de
passe à chaque connexion si tu penses qu'un verrouillage par code
PIN ne suffit pas ou si tu ne me fais pas confiance pour activer ce
verrouillage.
Le Cloud :
Ah ! Le Cloud, chef ! Ca fait
peur, en fait, au départ, parce qu'on ne sait pas trop ce que
c'est... Mais finalement, on ne fait que ça tous les jours :
archiver nos documents sur des serveurs distants, voire partagés...
Je connais « bien » le
iCloud d'Apple qui permet de mettre dans les nuages les données
propres à chaque application. Par exemple, j'ai commencé ce billet
avec mon iPad dans mon lit, j'ai poursuivi la rédaction sur mon
iPhone en prenant un café au bistro et terminé sur le PC de ma mère
(c'est-à-dire, pas le mien...).
Il faudrait trouver un système qui
permette de conserver les données du Cloud sur les serveurs
sécurisés de l'entreprise (par opposition aux nuages des
multinationales qui font un peu peur).
Le partage de documents de travail :
Encore une anecdote puisque Google Doc
permet de travailler à plusieurs sur des documents de manière
simple. Dans la mesure où Microsoft propose les services équivalents
sur les réseaux de l'entreprise, il serait temps d'y passer et de
s'affranchir par ailleurs des suites bureautiques lourdes installées
sur les PC.
Le Réseau Social d'Entreprise :
Ca a été une de mes marottes à la
fin du premier semestre, je ne vais pas en refaire un cinéma. Il
n'empêche que ce que je connais actuellement n'est pas satisfaisant.
Il faut que le système soit centré sur la messagerie, ce machin qui
permet de recevoir des notifications en plus de pratiquer des
échanges avec autrui.
Ainsi, un système comme Google+ et son
imbrication avec Gmail serait idéal parce que la messagerie reste
bien au centre...
Depuis ma série de billets du début
de l'année, des fonctionnalités très intéressantes sont apparues
comme les communautés et les événements... Il faudrait modifier un
peu les événements pour organiser les réunions selon les agendas
des autres... Google Agenda doit permettre de le faire d'ailleurs.
Internet :
On a déjà accès à Internet, bien
sûr ! Mais comme j'évoque plus haut la possibilité de se
connecter à Internet en Wifi via l'Intranet de l'entreprise,
pourquoi ne pas faciliter l'accès à l'Internet pour du matériel
qui n'a pas accès l'Intranet... ? Je pense notamment à mon
smartphone mais aussi aux gens (fournisseurs, …) qui viennent nous
voir (ou moi qui visite des clients ou fournisseurs, mais c'est plus
rare).
En d'autres termes, il s'agit de rendre
possible l'accès à Internet par tous les équipements qui ne sont
pas connectés au réseau de l'entreprise.
Déjà demain ?
A part un RSE pourri qui finira par
nous tomber dessus, je pense que je ne verrai rien de tout ça en
2013.
Et probablement pas avant la
retraite...
21 décembre 2012
Une nouvelle interface pour Facebook ?
Facebook testerait une nouvelle interface avec le retour des onglets... Il était temps qu'ils se bougent.
Selon l'article en lien, Google Translate... et moi :
"Vous êtes prêts pour la conception et les réglages de votre Timeline ? Sinon, attention. Facebook expérimente des changements importants avec un petit nombre d'utilisateurs - et peut rouler déployer très bientôt.
Selon ABC Nouvelles, [...] la nouvelle version est un retour aux onglets. Fini les photos miniatures pour les "Amis", "Photos" et "carte" (où vous voyez tous les endroits que vous avez géolocalisés).
En effet, la carte a disparu complètement de votre page d'accueil, cachée dans un onglet "Plus".
Il y a un nouvel onglet «About» en haut de la page, cliquez dessus et vous obtenez toutes les informations que vous avez donné au réseau social vous concernant ainsi que votre liste d'amis. [...]
Et comme Facebook l'a annoncé précédemment, le mot « abonnés » est remplacé par « suiveurs » comme dans Twitter. Votre nombre de fans ne sera plus réduit une fois qu'il arrive dans les dizaines de milliers de personnes.[...]
En Novembre, Facebook a commencé à expérimenter avec un autre changement de la timeline : mettre tous vos messages en une seule colonne. Ce changement n'a pas encore mis en œuvre pour la majorité des utilisateurs."
Selon ABC Nouvelles, [...] la nouvelle version est un retour aux onglets. Fini les photos miniatures pour les "Amis", "Photos" et "carte" (où vous voyez tous les endroits que vous avez géolocalisés).
En effet, la carte a disparu complètement de votre page d'accueil, cachée dans un onglet "Plus".
Il y a un nouvel onglet «About» en haut de la page, cliquez dessus et vous obtenez toutes les informations que vous avez donné au réseau social vous concernant ainsi que votre liste d'amis. [...]
Et comme Facebook l'a annoncé précédemment, le mot « abonnés » est remplacé par « suiveurs » comme dans Twitter. Votre nombre de fans ne sera plus réduit une fois qu'il arrive dans les dizaines de milliers de personnes.[...]
En Novembre, Facebook a commencé à expérimenter avec un autre changement de la timeline : mettre tous vos messages en une seule colonne. Ce changement n'a pas encore mis en œuvre pour la majorité des utilisateurs."
Et vous, vous y avez accès ?
19 décembre 2012
Le classement des marchés sur le web
Comme chaque année, T-Index sort le classement des pays selon leurs parts de marchés potentielles (en fonction du nombre d'habitants, du PIB estimé pour chacun et du taux de pénétration d'Internet). Il peut être utilisé par les éditeurs de sites de commerce en ligne pour optimiser leurs actions de développement.
Comme chaque année, je le reprends ici, avec une magnifique infographie où l'on voit que la croissance de la Chine est telle qu'elle pourrait dépasser les USA dès 2015. Le Brésil devrait dépasser l'Angleterre et la France dès l'an prochain.
L'infographie est "en grand" ici.
L'infographie est "en grand" ici.
Les utilisateurs de Google+ dans les blogs Blogger
Un nouveau pas vient d'être franchi dans l'intégration entre Google+ et Blogger. Quand on tape le nom d'un utilisateur de Google+ précédé par "+" dans le corps du billet, son nom apparait dans le billet ! C'est grâce à ce billet de +Xapur LeMystique que je le sais !
Au moment de la publication du billet, s'il est partagé sur Google+, une notification pourra être automatiquement émise vers la personne en question.
Les anniversaires dans Google+
Comme dans Facebook, Google+ affiche maintenant les anniversaires dans la colonne de droite.
L'occasion de souhaiter à nouveau un bon anniversaire à +Elodie Jauneau et de saluer +Sylvie STEFANI et +Laurent Bohu !
Avec un clin d'oeil à +Xapur LeMystique qui aura droit à un billet spécifique !
Avec un clin d'oeil à +Xapur LeMystique qui aura droit à un billet spécifique !
18 décembre 2012
Blogs Blogger sur iPad
Les blogs Blogger sont, depuis cette nuit (?), en version "mobile" sur les iPad. Ce n'est pas une bonne idée. Hop...
16 décembre 2012
La presse de demain par l'exemple
Mon billet d'hier était trop long... Il supputait de l'évolution du traitement de l'actualité par Internet dans les prochaines années. Je supputais que les tablettes allaient être au coeur de tout et que les grands journaux allaient tout faire pour inciter les lecteurs à utiliser leurs applications.
Ce matin, pour le blog politique, je voulais faire un billet à propos de Depardieu et de sa "lettre ouverte" dans le Journal du dimanche. Je vais sur le site du JDD : l'article n'est pas disponible et, alors que je suis sur mon PC, on m'invite à télécharger l'application pour l'iPad ou à lire la version papier.
Je télécharge l'application... Ne la retrouve pas sur mon écran. Elle est dans l'application "kiosque" de l'iPhone... Et n'a rien de plus à faire qu'à me proposer un abonnement pour pouvoir l'utiliser (abonnement à un pris modeste, de l'ordre de 40 euros pour un an.
15 décembre 2012
L'actualité par Internet en 2017 ?
En tant que blogueur politique, je m’interroge beaucoup sur
l’évolution de la diffusion de l’information au cours des prochaines années,
notamment en vue de l’élection Présidentielle de 2017. Il est probable qu’Internet
devienne la première source d’information pour le grand public, mais sous
quelle forme ? Les évolutions technologiques vont très vite et on ne
regarde jamais dans notre rétroviseur.
La politique sur Internet a explosé en 2005, à l’occasion du referendum sur le
traité Européen. Etienne Chouard avait un site web qui faisait référence pour
les nonistes. Il y développait des tonnes d’arguments. Ce n’était pas un blog.
Les blogs politiques engagés ont commencé à se développer quelques années
après, vers 2007. Twitter (et Facebook, mais je l’utilise assez peu pour la
politique) a connu un boum début 2011, observé à l’occasion des printemps
arabes puis de l’affaire DSK, date de moins de deux ans. Les tablettes ont réellement
démarré depuis la sortie de l’iPad 2, il y a un peu plus d’un an.
Chacun devrait évaluer les modifications apportées dans sa manière d'aborder
l'information en ligne et de mettre bout à bout toutes les évolutions de ses
usages, en trois ou quatre ans. Un exemple au hasard ? Moi... Je me suis mis à
utiliser une application sur iPhone, News Republic, pour faire un rapide aperçu
de l'actualité politique. Du coup, quand j'ai eu l'iPad, je l'ai téléchargée
aussi. Conséquence : je me suis mis à utiliser les applications des journaux,
notamment le Figaro, le Monde et, un peu moins, le Parisien et 20minutes. Autre
conséquence : je me suis aussi mis à une application pour lire les blogs sur la
tablette (au lieu de passer par Google Reader). Progressivement. J’ai transféré
ces usages vers le smartphone. Le tout en moins d'un an.
Que peux-t-on imaginer pour les deux ou
trois ans à venir ?
A peu près sûrement :
1. La fracture numérique va continuer à se réduire. 80 ou 90% des gens
auront un point d'accès à Internet sur toutes les classes et toutes les
catégories sociales.
2. Les tablettes vont exploser. On en trouvera de bonnes à moins de 100 euros.
Les smartphones vont continuer à prospérer.
3. Les conditions d'accès à Internet vont s'améliorer partout. Y compris dans
les transports en commun.
4. Les techniques de ciblage de contenu et de son intérêt (analyse sémantique,
comptage des likes et partages) vont se développer (je ne sais pas à quoi ça va
servir ou "comment" ça va servir.
5. Les fournisseurs de contenus traditionnels (journaux) vont développer leurs
applications pour "capter" les clientèles et détruire les « agrégateurs
de contenus » (voir la taxe Google dont on parle actuellement qui est une
aberration mais qui est nécessaire pour le long terme pour les sites
d'information).
6. Le contenu n’atteindra pas le grand public (quel intérêt de prendre un
abonnement chez Médiapart si la presse gratuite reprend les informations ?)..
7. Peut-être à plus long terme, la télévision par internet va également
exploser (la télé sera un navigateur comme un autre). Il y aura un tas de
conséquences (publicités ciblées,...) mais une m'intéresse ici : les
fournisseurs (Apple et Google) sauront exactement ce que regardent les gens !
Adieu Mediametrie qui permet de déterminer le prix des publicités et donc des
programmes d'information...
8. Conséquences du dernier point et de l'explosion des tablettes : ces
dernières que vous aurez au salon sauront ce que vous regardez et de quoi
parlent les types dans le poste. Vous aurez sur votre tablette des machins en
rapport avec ce qui passe à l'écran mais aussi en fonction de vos usages d’Internet.
9. Le Cloud va se développer. Le PC, la tablette, la télé et le smartphone
seront parfaitement synchro et, surtout, l'ordinateur ne sera plus utilisé pour
stocker des données.
A partir de là on peut tout imaginer. La télé parle de l'UMP et le PS vous
envoie en direct sur le smartphone des arguments.
Plus hypothétiquement :
1. Les gens vont se lasser de l'information immédiate. Tiens ! La guerre à
l'UMP continue mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Le seul truc important est
la force de ce parti à la rentrée prochaine pour préparer les élections
municipales.
2. En conséquence, les réseaux sociaux vont perdre de l'intérêt auprès du grand
public pour ce qui concerne le suivi de l'actualité (ils auront d'autres moyens
de détecter l'information intéressante, voir plus haut, le petit 4 et les
outils de ciblage). Exemple : hier, j’ai appris dans Twitter la tuerie
dans une école aux USA. J’ai vite vu que les informations de Twitter ne
tenaient pas la route et constaté que le direct du Monde et de 20 Minutes
étaient bien plus précis (en donnant le niveau de crédibilité de l’information).
3. A contrario, grâce à Facebook et Twitter, les gens prendront l'habitude
d'exprimer leurs opinions sur le web.
4. Les diffuseurs de contenu vont affiner leurs méthodes pour cibler le public.
Par exemple, les sites de presse pourront mesurer le temps passé sur chaque
article par les gens et évaluer ainsi l'intérêt.
5. Les applications vont se renforcer et apparaître sur les ordinateurs de
bureau (du moins l'utilisateur ne fera plus la différence entre une application
et une page web. HTML5 est magique...).
Affinons les prévisions avec ce que je
crois...
1. Dans la bataille que se mènent les géants, Microsoft va revenir malgré
l'image un peu ringarde qu'il se tape auprès des geeks. Je n'ose pas imaginer
que le management de cette boutique soit devenu taré.
2. Google va gagner la bataille des navigateurs, par contre. Les gugusses de
Bruxelles qui au nom de la concurrence empêchent Microsoft de privilégier son
navigateur devraient y réfléchir : on aura bientôt le même navigateur dans la
télé, la tablette, le smartphone et le PC.
3. Les PC ressembleront aux smartphones et tablettes. Windows 8 est un
bon exemple : des interfaces identiques mais des technologies différentes car
les usages sont différents. Apple aussi (je ne connais que l'iPad et l'iPhone,
pas vraiment les ordinateurs) : l'iPad et l'iPhone se ressemblent : les
applications sur les écrans d'accueil, l'utilisation,... Par contre, les applications
sont différentes pour tenir compte des spécificités des usages, des tailles,...
Ce matin, un geek commentait mon billet à propos de l'application Google Maps
sur iPhone et regrettait qu'elle ne soit pas disponible sur iPad. Point de vue
de geek. Dans la pratique, je ne me promène pas dans la rue avec un iPad mais
avec un iPhone. L'application sur iPad est utile mais reste un gadget alors que
l'application sur iPhone est nécessaire pour éviter de devoir se promener avec
une carte, de demander son chemin…
4. Apple reste néanmoins le mieux parti pour représenter tout le tour du
matériel (télé, iPad, iPhone et iMac). Les trois gros vont donc rester :
Google, Microsoft et Apple. Par contre, Facebook a du mouron à se faire (mais à
d’autres atouts).
5. Google va gagner la bataille d'Internet grand public. Microsoft et Apple ont
foiré dans le domaine du réseau social. Si Google n'avait pas raté un détail de
son application gmail pour iPhone (on ne peut pas s'identifier dans le navigateur
interne pour commenter un blog Blogger...), je l'aurais déjà adopté comme application
de messagerie principale sur mon iPhone et mon iPad.
6. Facebook ne restera pas hors de course. Ils ont commencé à modifier leur
stratégie discrètement : ils multiplient les applications pour smartphone.
Outre la principale, j'en ai une pour mes messages et une pour les pages. Par
ailleurs, ils ont de l’avance dans la « bataille de l’identification »
(par exemple la manière avec laquelle les gens se connectent quand ils
commentent dans les sites d’actualité).
7. Les réseaux sociaux vont se recentrer sur eux-mêmes. Twitter fournira
directement l’analyse de ses bases de données, par exemple, pour indiquer les
sujets qui buzzent.
8. Le modèle économique de certains, comme Twitter, est totalement incertain. Microsoft
est maqué avec Facebook mais qui sait si Apple, qui n’a pas de réseau social, n’aurait
pas intérêt à racheter Twitter…
Trêve de supputations... Sauf pour
l'information politique.
Ce qui m'intéresse est bien l'information grand public, ce qui est déterminant
pour le vote, pas ce qui tourne dans nos cercles d’initiés ou dans la presse
politisée. Osons quelques paris…
Pari 1 : les tablettes se généralisant, elles seront le
premier support d’information, avec la télé. C’est une évidence mais c’est
important : c’est là que va se jouer la bataille entre les industriels,
les éditeurs, les fournisseurs de contenu…
Pari 1 bis : les tablettes vont dépasser les PC, tout l’usage
des réseaux sociaux se feront à partir de tablettes (complétées par les
smartphones). Nous, on est des geeks, on le sait, mais les tablettes vont
arriver aux mains des utilisateurs lambda.
Pari 2 : les wallets (porte-monnaie électroniques)
vont se développer et il deviendra possible d’acheter facilement des articles
pour 20 centimes en deux clics…
Pari 3 : les modèles payants s’en sortiront s’ils ont
du « spécifique ». C’est le cas de la presse locale mais aussi de
journaux qui sont réputés pour quelque chose : leurs mots croisés, leurs
pages « courses de chevaux »,… Ce n’est pas à négliger : on ne connaît
pas le nombre de gens qui achètent le Parisien pour ses les courses et je fais
partie de ces gens qui achetaient (occasionnellement) France Soir parce qu’ils
avaient les « meilleurs » mot fléchés.
Pari 4 : on pourra écrire « définitivement »
à la main (avec un stylet ?), sur les pages des applications de presse
(comment voulez-vous faire des mots croisés ou rayer des chevaux tocards sans
écrire à la main ?).
Pari 5 : dans les réseaux sociaux, les gens vont se
détourner des « pages » ou « comptes » des sites d’information
des réseaux sociaux puisqu’ils auront des applications (qui, de surcroit, leur
enverront des « push »).
Pari 6 : les gros sites de presse vont mettre des bâtons
dans les roues des sites généralistes type Google News pour capter la clientèle
vers leurs propres applications.
Pari 7 : il restera des sites d’information traditions
et des sites plus spécialisés (dont des blogs).
Pari 8 : les géants mondiaux mettront en place des
sites d’information (type Google News) mêlant l’information en continu et une
pondération en fonction du nombre de likes des autres informations, y compris
les blogs d’actualité. Les outils d’analyse syntaxique permettront de regrouper
les billets ou dépêches par sujet (toujours comme Google News).
Pari 9 : les applications liées à ces sites d’information
seront de base dans l’OS des tablettes pour forcer les clients à les utiliser
(mais aussi pour développer d’autres fonctions).
Et vous, vous voyez
quoi ?
14 décembre 2012
13 décembre 2012
Google Maps sur iPhone et les transports en commun
C'est génial ! La nouvelle application Google Maps pour iPhone donne les itinéraires pour les trajets dans les grandes villes, avec le prix, les horaires, ...
Google et moi
Pour tester les communautés Google+ de Google, je me suis
abonné à la communauté « les usagers de Google en France ». Les membres étant invités à présenter
leurs rapports avec Google, j’allais le faire avant qu’on ne soit trop nombreux
(je suis abonné pour recevoir un mail à chaque publication dans cette
communauté par mail pour me forcer à suivre…) mais je vais tout regrouper dans
un billet, ça sera plus simple.
Tout d’abord, je suis taulier de six blogs Blogger, certains
ayant 7 ans. Ils ne sont pas dans mon profil Google+ (pour éviter que relations
professionnelles tombent dessus par hasard…), en voila donc la liste : http://jegoun.net, http://aubistro.com,
http://aubistrogeek.com, http://macomete.com, http://nicolasjegou.com et http://lefuroscope.com. Les trois premiers
ont une certaine notoriété à cause des classements de blogs (voir l’illustration,
je suis resté inscrit dans un classement très peu connu, par nostalgie, voir l'illustration…).
Je suis un très vieil utilisateur de Gmail, conquis très tôt
par l’interface par rapport à celle des concurrents que j’ai utilisés à l’époque.
J’étais un vieil utilisateur de Picasa (a priori avant qu’il n’appartienne à
Google mais il faudrait vérifier) notamment pour partager mes photos de
vacances (mais j’ai arrêté : tout le monde partage n’importe quoi,
maintenant, et ça m’énerve). Je suis aussi un vieil utilisateur de Google Maps.
Pour mes blogs, j’utilise Google Analytics et « feu
Feedburner ». Pour la veille d’information liée à mes blogs, j’utilise
beaucoup Google News et je cherche souvent les illustrations dans Google
Images. J’utilise évidemment beaucoup Google en tant que moteur de recherche. J’utilise
depuis peu beaucoup Google Translate (parce que je suis nul en anglais…). Je
fais partie de différents groupes de blogueurs (ou assimilés) politiques :
je suis un très gros utilisateur. J’utilise Google Reader pour suivre les blogs
depuis quatre ans.
J’utilise très peu Youtube (j’ai le réflexe de commencer par
le principal concurrent et je regarde très peu les vidéos) et quasiment pas
Google Drive alors qu’il y a cinq ou six ans, j’étais un grand fan de Google
Doc (mais mon employeur interdit l’accès au bureau). J’utiliserais bien Google Agenda
mais on n’arrive pas à le synchroniser avec l’agenda du bureau. Avant les
blogs, j’utilisais Google Site.
Je suis un « fan » de Google+ pour de mauvaises
raisons. D’une part, mon employeur a oublié de couper l’accès en « https »
alors que « http » est coupé, de même que tous les modes d’accès aux
autres réseaux sociaux. D’autre part, je suis fasciné par la galaxie Google et
leurs produits, donc je ne pouvais pas passer à côté. En outre, j’ai pu ne pas
refaire dans Google+ les erreurs que j’ai faites avec Twitter et Facebook.
Néanmoins, j’aime beaucoup Google+… Et c’est une mine d’information.
La galaxie Google ?
Je suis fasciné par manière avec laquelle Google « imbrique »
ses différentes applications tout en ne se coupant pas du reste du monde
(contrairement à Facebook). J’en parle souvent dans ce blog. Tous les nouveaux
produits m’intéressent.
La galaxie Google ?
J’ai beau être fan de Google, je suis très vigilant au sujet
de l’évolution de l’empire Google et de la possibilité qu’ont certaines
sociétés de tendre vers un monopole. Aussi, je réserve Google à usage
relativement précis (dans ma tête). Je n'utilise Chrome que dans certains cas.
J'ai un iPhone et un iPad. Je reste sur des OS et une suite bureautique Microsoft.
J'utilise Facebook et Twitter pour les usages personnels (ce qui ne m'empêche
pas d'utiliser Google+ pour ma "veille" et, via des pages,
pour la promotion de mes blogs).
Ainsi je m'assure de diversifier les multinationales. Par
exemple, quand Google Wallet va se répandre, il ne passera pas par moi : c'est
à ma banque de gérer mon pognon.
Pour résumer : j’étais bien content de télécharger
Google Maps sur mon iPhone, ce matin, mais je recommencerai à utiliser l’application
Plan d’iOS dès que les bugs auront été corrigés… même si Google Maps est génial !
Voilà voilà…
Google Maps pour iPhone est disponible !
C'est tout frais ! Elle ne l'était pas à 7 heures mais l'était à 7h30. Par contre l'application ne semble pas encore disponible sur iPad. Ma première recherche : La Comète. Direct, sans l'adresse ni la ville ! Paf ! J'y arrive.
Je n'avais pas encore été victime des bugs de l'application liée à iOS6 jusqu'à la semaine dernière où ce machin a été incapable de me dire comment aller du bureau à l'Assemblée Nationale. J'attendais donc avec "impatience" Google Maps.
Un petit coup de Google Street View.
Et les informations disponibles dans Google+ sur La Comète.
12 décembre 2012
TomTom vous en offre plus
"Déballez le monde et de gagner un des 6 voyages inoubliables en
voiture dans le monde, comprenant le tour des grands sommets alpins, la
route des jardins en Afrique du Sud ou la célèbre Pacific Coast Highway
en Californie. Outre ces 6 aventures, des milliers d'autres prix peuvent
être gagnés toutes les heures."
J'ai gagné un code pour faire participer mes aimables lecteurs à ce jeu. Je le donne en commentaires. Une vidéo vous présentera ça ici.
C'est par ici que ça se passe !
11 décembre 2012
Où sont les filtres du blogueur geek qui fait caca ?
Je rentre à la maison après une soirée avec de sympathiques blogueurs politiques ou pas si affinité et je décide, bravant toute idée démocratique, d'aller faire caca sans lancer le moindre referendum pour savoir si c'est utile. Je prends mon iPad au cas où la commission dure plus que prévu et cet ami de mes nuits blanches m'informe que la nouvelle version de Twitter est disponible. Je m'attends à recevoir celle avec les filtres destinés à concurrencer Instagram. Je prends le premier objet qui me tombe sous la main, en l'occurrence une bouteille d'eau de Javel achetée en bas de chez moi et je la poste à un mètre devant moi, sur le parque de mon couloir.
Je sais, il est un peu noirci. C'est parce que j'ai tendance à laver avec plein de flotte. On ne me corrigera pas, j'ai toujours été célibataire.
Il n'empêche que je prends la photo et je m'apprête à lui donner un superbe effet sépia mais je ne trouve pas l'option. Me voila obligé de diffuser la photo telle qu'elle me sort de l'objectif. Vous admettrez que c'est rageant.
Je reviens donc à mon poste de travail (la table de mon séjour) et remarque que mon iPhone que j'avais eu en main toute la soirée (soirée de blogueurs oblige) me dit à son tour que j'ai une nouvelle version du bazar à télécharger.
Je télécharge.
Et hop ! Je retrouve la nouvelle application sur mon iPhone. Je vais pour la tweeter au cas où mes nombreux fans aient loupé la photo de ma bouteille d'eau de Javel achetée au Leclerc en bas de chez moi, au Kremlin-Bicêtre, ne cherchez pas, ça existe !) et paf ! Le machin me propose d'appliquer des filtres, en l'occurrence un machin granuleux.
Même qu'on dirait que mon parquet est bien entretenu alors que je ne fais qu'y passer un coup de serpillière, une ou deux fois par semaine. Avec de l'eau de Javel. Je sais, ce n'est pas sur la notice.
Internet en France en 2012
Le CREDOC diffuse une étude (pdf)
sur Internet chez nous. Le pavé faisant 290 pages, je vais le résumer. Tout d’abord,
la fracture numérique tend à se résorber progressivement mais reste réelle :
voir l’illustration. Par contre, je n’y reviens pas beaucoup dans mon résumé :
il est évident qu’un type de 20 ans passe plus de temps à jouer sur Internet qu’un
type de 70, comme le Vieux. De même, un
cadre supérieur aura plus tendance à consulter l’actualité sur Internet.
Parmi les résultats, deux éléments me surprennent : les
Franciliens ont un usage différent d’Internet (utilisation de smartphones, de machins
comme Skype, …) et le taux d’utilisateurs de réseaux sociaux est supérieur à ce
que je pensais.
« En France, 81% de la
population disposent d’au moins un ordinateur à domicile (+ 3 points par
rapport à juin 2011) et 35% en ont même plusieurs (+ 4 points). Quasiment
toutes les personnes disposant d’un ordinateur ont également accès à Internet :
95% de ceux qui ont un ordinateur ont accès à Internet, ce qui porte la proportion
d’individus connectés à Internet à leur domicile à 78%3, soit 3 points de plus par
rapport à 2011. »
« 45% des personnes interrogées
se connectent en dehors de leur domicile, au travail, chez des amis, dans leur
famille, sur leur lieu d’étude ou dans les lieux publics. »
23 millions de personnes en France (42% de la population) utilisent
les réseaux sociaux. Le double d’il y a trois ans. Ils ont un tas de raison d’aller
sur les réseaux sociaux mais 54% y vont notamment pour s’informer au sujet de l’actualité.
Près d’une personne sur deux utilisent Internet pour suivre les informations. C’est
leur deuxième moyen préféré, après la télévision (et donc devant la presse
papier et la radio).
88% des plus de 12 ans ont un téléphone mobile (beaucoup
plus les jeunes que les vieux). Plus du quart de la population dispose
maintenant d’un smartphone (notamment chez les plus aisés et chez les jeunes…
et en région Parisienne).
Le volume des SMS échangés a augmenté de 40% en un an. Les
gens qui envoient des SMS couramment en envoient en moyenne 108 par semaine !
Ceux qui le font à partir d’un smartphone sont à 156…
29% des gens consultent Internet depuis un téléphone mobile.
« Les hommes sont davantage concernés que les
femmes (34% contre 25%, soit presque 10 points d’écart). Les moins de 40 ans
sont à la pointe en la matière (dans la tranche des 18-24 ans, 6 personnes sur 10
naviguent
sur internet à partir d’un téléphone
portable). »
Une personne de plus de 12 ans sur 5 télécharge des
applications dans son téléphone.
57% des gens équipés ont un ordinateur portable, équipement
surtout important chez les jeunes (ce n’est pas surprenant en soi mais ce qui
me surprend est que les personnes plus âgées soient réticentes alors que c’est
tellement plus simple).
8% des gens ont une tablette tactile, soit le double de l’an
dernier (je confirme que dans mon entourage, ça a bougé il y a un an…).
« On recense 20% de la
population qui se connecte dans un lieu public avec un ordinateur portable ou
une tablette tactile (+ 7 points en un an). Cela concerne la moitié des cadres (Tableau
36), 41% des 18-24 ans et 37% des plus diplômés. »
Un personne sur quatre téléphone avec son ordinateur avec un
machin comme Skype (ça me surprend…)… Et les habitants de Paris et de la région
Parisienne le font beaucoup plus que les autres.
Ecouter ou télécharger de la musique ou voir ou télécharger
des films reste relativement marginal et stagne depuis cinq ans. Par exemple,
il n’y a qu’un tiers des gens qui déclarent écouter de la musique en streaming.
Pourtant, même moi qui écoute peu de musique, je le fais à l’occasion (avec
Deezer, vu que j’ai un forfait inclus dans mon abonnement). De même, les
participants à des jeux en ligne évoluent peu.
Par contre, le nombre de gens qui regardent la télé sur un
ordinateur est en croissance continue (26% des internautes en 2012).
Une personne sur deux fait des achats sur Internet.
Un Français passe en moyenne 13 heures par semaine sur
Internet, soit les deux tiers des heures consacrées à la télévision.
Voila, vous savez tout ou presque...
Voila, vous savez tout ou presque...
10 décembre 2012
Et si je parlais de Google+ et de Gmail ?
J’ai beaucoup parlé de Google, ce week-end, à un point que
je suis arrivé en retard à l’apéro samedi et dimanche. Je vais continuer, qui à
être en retard ce soir aussi.
Tout d’abord, Gmail vient d’être victime d’une panne. C’est
rageant. C’est reparti à 18 heures tapantes !
Petit 1 : Gmail, tiens !
Petit 1 du petit 1 : la nouvelle application pour l’iPhone
est a priori géniale. Même si elle plante quand Gmail plante… Contrairement à l’application
mail de iOS…
Elle a un gros défaut : on ne peut pas commenter les
blogs Blogger sur iPhone avec elle vu qu’on ne peut pas se connecter à son
compte Blogger (ou Google+) dans le navigateur à partir du navigateur inclus.
On peut faire des dessins « à main levée », c’est rigolo.
Petit 2 du petit 1 : le fait de pouvoir répondre aux
publications Google+ directement dans Gmail (sur smartphone comme sur le Web)
est absolument génial.
Petit 3 du petit 1 : j’ai trouvé un bug. Voir la
première copie d’écran. Je fonctionne en « multicomptes ». Si je
clique sur une notification pour une « communauté » (au bout de la
flèche rouge), je n’arrive pas dans Google+ avec le compte liée au Gmail mais
avec le compte « par défaut » (en l’occurrence, celui que j’utilise
pour me connecter à Blogger). Ce n’est pas le cas quand j’ouvre G+ avec une
autre notification, comme sur l’exemple, le machin de Gildan.
Petit 2 : Google+ Communautés
Petit 1 du petit 2 : c’est dommage qu’il ne soit pas
possible de faire une publication en envoyant un mail, comme sur Google
Groupes. C’est d’autant plus dommage que j’ai répondu le contraire à Politeeks, hier.
Mais je me suis inscrit à deux ou trois communautés au
hasard (pour tester) et je me dis que c’est aussi bien vu que certains n’hésitent
pas à publier n’importe quoi…
Petit 2 du petit 2 :
dans les groupes, on peut mettre des catégories. Voir la deuxième illustration
(j’ai créé ça au hasard). C’est très bien et un gros plus par rapport aux
autres machins.
Petit 3 du petit 2 : j’ai aussi trouvé un bug. Voir la
dernière illustration. En mode normal, l’affichage s’adapte à la taille de l’écran.
Pas en « mode communauté ». Du coup, il y a des machins qui sortent
de l’écran, à droite et s’il y a bien une barre de scrolling verticale, il n’y
en a pas d’horizontale.
Voilà pour aujourd'hui.
Voilà pour aujourd'hui.
08 décembre 2012
Comprendre les évolutions récentes de Google
J'imagine que certains de mes lecteurs sont perdus devant
les évolutions de Google que je présente ici, surtout qu'en 18 heures, je n'ai
pas chômé. Tout d'abord, je présente mes plus plates excuses à ceux qui
auraient compris que les utilisateurs de Blogger allaient être amenés à payer.
C'est faux.
Google a fait trois annonces majeures en quelques jours :
1. Une nouvelle application Gmail pour smartphones et tablettes,
2. L'arrêt des services gratuits pour les PME,
3. La sorties des communautés Google+.
Google a fait trois annonces majeures en quelques jours :
1. Une nouvelle application Gmail pour smartphones et tablettes,
2. L'arrêt des services gratuits pour les PME,
3. La sorties des communautés Google+.
Ces annonces ne sont pas nécessairement liées mais devant le
rythme des évolutions de Google, on est perdus. C’est aussi une des stratégies
de cette honorable maison : être au centre de l’innovation. C’est ainsi
que beaucoup de blogs geeks ont annoncé la nouvelle application sans la connaître,
puisqu’il fallait être parmi les
premiers à en parler. Et c’est ainsi que j’ai fait hier soir un rapide billet à
propos de communautés, rapide billet qui a induit certains en erreur.
Un peu avant, dans la semaine, Google a sorti une évolution
majeure de son moteur de recherche. J’en ai fait un billet, évidemment, mais
uniquement parce que je pouvais parler de La Comète et que je trouve la
jonction entre Google, Google+ et Google Maps fascinante. Vous cherchez « La
Comète Le Kremlin Bicêtre ». Google voit automatiquement de quoi il s’agit.
Il ne considère plus une concaténation de mot mais voit bien un machin qui
existe à Bicêtre. Ils en déduisent une adresse avec une jonction avec Google
Maps et ils en déduisent aussi un établissement, la Comète, connu dans Google+
(par un processus qui m’échappe un peu). Ils font en outre la jonction avec un
de mes blogs. C’est très fort, techniquement (et économiquement puisqu’ils se
recentrent sur leurs propres produits sans se couper des autres). S’ils
continuent, ils vont faire la jonction avec les soirées de blogueurs que j’organise
dans ce bistro dans Google+ et proposer aux internautes de s’inscrire, directement
à partir de la page de résultats de recherche.
L’arrêt des Google
Apps
L’arrêt des services gratuits pour les PME (les Google Apps,
sujet de mon dernier billet) ne concerne pas vraiment mes lecteurs qui sont en
majorité des blogueurs. Il m’intéresse, moi, parce que l’économie du web m’intéresse :
Google a mis la fin à une époque où l’on pouvait penser fournir un service
gratuit aux entreprises et gagner de l’argent avec elles. J’ai signalé une
conséquence qui me parait grave : les gens qui n’ont pas les moyens de
payer, à savoir les associations et les écoles, mais qui utilisaient les
services gratuits pour les entreprises, risquaient d’en prendre plein la
gueule. J’espère que Google a pensé à eux et leur offrira un service à un prix
dérisoire.
Pour les blogueurs hébergés par Google, comme moi, il y aura
de vague conséquence à la marge : ceux qui utiliseront des noms de domaine
déclarés chez Google et qui, comme moi, multiplient les adresses mail avec ces
noms de domaine (par exemple pour ouvrir des comptes Twitter), pourraient ne
plus pouvoir le faire gratuitement (et 48 euros par an, c’est trop pour tenir
le compte fake @sardinemorano). Néanmoins, ceux qui ont déjà des adresses mails
à leur nom de domaine et sont donc déjà clients de Google Apps ne sont pas
concernés.
Les communautés
Google+ ?
On a tendance à confondre Google+ et Facebook d’une part et
les pages et les groupes ou communautés d’autre part. Les pages sont destinées
aux marques pour faire des publications plus ou moins officielles. Elles s’inscrivent
dans le « mur » des utilisateurs, comme toutes les autres
publications, dont celles des simples utilisateurs. En tant que blogueur, nous
les utilisons pour diffuser nos billets de blogs.
Les « groupes » (« communautés chez Google+ »)
n’ont strictement rien à voir. Ca avait été créé par Facebook pour différentes
raisons mais on a vite vu apparaître des groupes complètement louffoques (« Groupe
de ceux qui en ont marre d’avoir la même bière spéciale à la Comète, l’Amandine
et l’Aéro »). Du coup, on s’inscrivait à un tas de groupes et on n’y
comprenait plus rien.
Les publications ne sont pas dans le mur de l’utilisateur. Ce
dernier devra aller voir dans le groupe. Par exemple, le bistro que je
fréquente en Bretagne a une page et un groupe. Dans le groupe, les clients s’amusent,
dans la page, le patron fait des annonces officielles (prochains concerts,
dates des vacances, …).
Ses groupes étant devenus bordéliques et inutilisables pour
des opérations commerciales Facebook a imaginé autre choses : les pages. Google+,
né bien après, a lui aussi lancé les pages mais dans des conditions pas idéales
(ils ont été obligés de faire vite pour rattraper Facebook et nous étions là,
comme des ânes, à espérer voir Google faire comme Facebook).
Google lance maintenant ses groupes (ses communautés), a
priori pour des raisons non commerciales mais pour bien se retrouver autour de
certains thèmes. Je pourrais par exemple lancer un groupe avec les bistros à 100 mètres du métro de
Bicêtre : le Jean-Bar, le PMU, la Comète, l’Aéro et l’Amandine. Les gens
pourraient y donner des nouvelles. Exemple : « Tiens, des blogueurs
ont encore vomi devant la Comète, prenez le trottoir d’en face ».
Google+ est beaucoup plus sage que Facebook. Les utilisateurs
se sont lassés de la rigolade initiale de Facebook. Le terme « communauté »
fait d’ailleurs beaucoup plus sérieux que les groupes.
Les groupes de Google+ pourront aussi servir à un tas de
trucs, comme remplacer les forums.
Surtout, Google+ introduit les « communautés privées »
qui ne sont qu’un concurrent des Google Groups, tels que nous les utilisons
(dans mon groupe de blogueurs).
Ainsi, avec les communautés, Google+ va beaucoup plus concurrencer
ses propres produits que ceux des autres. Cela va entrainer progressivement le
basculement de ces autres outils (forums, groupes,…) vers Google+ et démultiplier
les utilisateurs actifs, mais pas ceux qui viennent déconner et déposer des
likes pour faire plaisir à des copains.
La nouvelle
application Gmail
Tout d’abord, je n’ai jamais aimé la précédente, l’application
de gestion des mails de iOS me parait préférable (les goûts et les couleurs,
hein !). Par contre, la nouvelle semble un bijou technologique (je ne l’ai
téléchargée que ce matin), avec, par exemple, le machin qui permet de faire des
dessins à la main dans les mails !
Le multicompte m’est utile car il me permet de séparer mon
activité de blogueur du reste. Par exemple, je profite de mes pauses pour
répondre aux commentaires de mon blog.
Mais, surtout, elle permettra de travailler directement pour
répondre à des notifications Google+ (et autres produits de la maison, j’espère
que les blogs y seront un jour…), comme on le fait déjà sur le web, directement
dans Gmail... Je ronchonnais ce matin du fait qu’on ne puisse pas avoir Google+
en mode web sur l’iPad : avec l’application Gmail toute nouvelle, je n’en
aurais plus besoin.
Avec ce machin, Google va encore capter plus d’utilisateurs…
Et ensuite ?
Je n’en sais rien.
C’est dommage pour Facebook : le mail n’est pas au
centre de leurs services alors que c’est le truc le plus utile, pour Google
Apps et pour Google+…
Je disais à l’instant que j’espérais pouvoir un jour
répondre aux commentaires des blogs Blogger dans Gmail. J’attends. J’attends
aussi une vague d’évolution pour intégrer Google Reader à Google+ : c’est
la base de nos outils, en tant que blogueur. Il y a une quinzaine de jours, je
faisais un billet à propos de la proximité des contacts Gmail, des membres des
cercles Google+… Peut-être un jour se rapprocheront-ils aussi des flux RSS qui
seront lisibles dans des cercles spécifiques puisqu’on ne peut pas obligé tous
les blogs à créer des pages ?
L’avenir nous le dira…
Google Apps devient payant : la fin d'un modèle ? Et Blogger ?
Google vient d'annoncer la fin de la version gratuite de
Google Apps pour les nouveaux utilisateurs. C’est la fin d’un modèle : le tout gratuit. L’échec annoncé d’un
modèle économique sans chiffre d’affaire… Amen. Mais quels seront les dommages ?
Les tauliers de blogs Blogger qui
prennent des noms de domaine (10 euros par an) avec Blogger
devront-ils devenir des clients de Google Apps pour 4 euros par mois ?
D’autres fonctions gratuites passeront-elles payantes ?
Qu'est-ce que ce
Google Apps ? C'est surtout un machin permettant aux entreprises de
mettre à la disposition des salariés une adresse mail avec le nom de domaine de
l'entreprise. Ils pourront alors l'utiliser avec une interface proche de celle
de Gmail. Parallèlement à cette messagerie, il y a un agenda que l'on peut
partager avec ses collègues. Il y a aussi un espace de partage de fichiers,
Google Drive, qui a remplacé et complété la suite bureautique Google Docs qui
permet de gérer les fichiers on line, de les partager... Il y a aussi quelques autres
trucs.
L'essentiel est bien la messagerie avec le nom de domaine.
À noter que Microsoft propose des services équivalents mais qui sont moins connus des geeks parce que les geeks n'aiment pas Microsoft et parce que Microsoft préfère vendre des licences d'Office. Contrairement à Google, Microsoft vend aussi les applications pour les serveurs que les entreprises pourront installer sur leurs propres serveurs (ce qui rassure beaucoup les patrons qui voient dans les serveurs Google une espèce de nébuleuse).
La version gratuite de Google Apps était limitée à une dizaine d'utilisateur (et avait d'autres restrictions). Elle ne sera plus proposée aux nouveaux utilisateurs mais les anciens pourront la conserver. Google Apps sera facturé pour les nouveaux clients 4 euros par mois ce qui est une bouchée de pain pour les entreprises.
Par contre, c'est probablement très gênant pour les associations, les écoles,... J'espère que Google a pensé à ça.
Toujours est-il que cette modification de la politique de Google montre que c'est la fin d'un modèle : le gratuit.
Et Blogger dans tout ça ?
Figurez-vous que j'ai appris cette nouvelle en recevant six mails de la part de Google pour m'annoncer ça. J'ai six blogs Blogger donc chez Google avec chacun un nom de domaine acheté chez Google. J'étais donc six fois client de Google Apps.
J'ai un compte d'administrateur sur chaque compte plus quelques autres, soit 11 utilisateurs. 528 euros par an plus les 60 euros de nom de domaine... si Google me fait payer.
C'est trop.
L'essentiel est bien la messagerie avec le nom de domaine.
À noter que Microsoft propose des services équivalents mais qui sont moins connus des geeks parce que les geeks n'aiment pas Microsoft et parce que Microsoft préfère vendre des licences d'Office. Contrairement à Google, Microsoft vend aussi les applications pour les serveurs que les entreprises pourront installer sur leurs propres serveurs (ce qui rassure beaucoup les patrons qui voient dans les serveurs Google une espèce de nébuleuse).
La version gratuite de Google Apps était limitée à une dizaine d'utilisateur (et avait d'autres restrictions). Elle ne sera plus proposée aux nouveaux utilisateurs mais les anciens pourront la conserver. Google Apps sera facturé pour les nouveaux clients 4 euros par mois ce qui est une bouchée de pain pour les entreprises.
Par contre, c'est probablement très gênant pour les associations, les écoles,... J'espère que Google a pensé à ça.
Toujours est-il que cette modification de la politique de Google montre que c'est la fin d'un modèle : le gratuit.
Et Blogger dans tout ça ?
Figurez-vous que j'ai appris cette nouvelle en recevant six mails de la part de Google pour m'annoncer ça. J'ai six blogs Blogger donc chez Google avec chacun un nom de domaine acheté chez Google. J'étais donc six fois client de Google Apps.
J'ai un compte d'administrateur sur chaque compte plus quelques autres, soit 11 utilisateurs. 528 euros par an plus les 60 euros de nom de domaine... si Google me fait payer.
C'est trop.
Et les copains qui vont déposer leurs noms de domaine,
dorénavant, devront-ils payer ?
Gmail multicomptes sur iOS : le faire fonctionner
Ce matin, j'ai voulu tester la nouvelle application Gmail sur mon iPad pour voir comment fonctionnait le multicomptes. J'ai donc téléchargé l'application (j'avais supprimé l'ancienne que je n'utilisais pas). Je n'ai pas trouvé comment déclarer plusieurs comptes. Honte sur moi ! Obligé de consulter l'aide. Je ne trouve pas. Direction Google. Je ne trouve pas.
À ce propos, j'ai pu constater que mes confrères blogueurs geeks sont pour la plupart des fumistes et recopient bêtement des informations sans rien tester (d'ailleurs les billets sont souvent avec la même illustration). Ils se battent juste pour être les premiers dans Google pour gagner du pognon avec de la publicité. J'invite sérieusement les braves gens de Google à chercher "Multicomptes gmail iOS" et à de régenter tous ces fumistes qui font perdre du temps aux braves internautes à la recherche d'information.
Bref...
Si toi aussi tu cherches à activer le multicomptes de l'application Gmail toute neuve sur ton iPad et probablement ton iPhone, sois rassuré par la suite de mon histoire.
J'allais faire un billet rageur contre tout ça quand j'ai vu qu'une nouvelle mise à jour était disponible au téléchargement. J'étais surpris" vu qu'il n'y en avait pas 30 minutes avant. Je vais voir : tiens ! Gmail. C'était la première fois que j'avais une mise à jour une demi heure après son téléchargement.
Je télécharge. Je lance. Miracle. Le multicomptes est opérationnel.
J'ignore ce qui s'est passé. Une mise à jour a-t-elle réellement été mise à disposition ce matin ?
Je me suis demandé si je n'avais pas télécharger par erreur une ancienne version mais non, j'avais testé d'autres fonctionnalités nouvelles comme le dessin à "main levée" dans les mais.
Étrange....
Edit : je n'ai pas eu de pb avec l'iPhone, environ 2 heures plus tard.
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