28 octobre 2012

iOS6 : Migration des comptes @me.com vers @icloud.com

Hier, pour réparer une connerie que j'avais faite, j'ai cliqué sur "Réinitialiser tous les réglages" sur mon iPhone. Juste après, le machin m'a demandé si je voulais utiliser mon compte pseudo@icloud.com comme compte par défaut pour iMessage. J'ai dit oui sans faire gaffe.

Ce matin, je me rappelle de cette anecdote sans intérêt et je me rappelle surtout que je n'ai pas de compte chez @icloud.com ! Pour en avoir le coeur net, je me suis connecté sur www.icloud.com avec mon compte pseudo@me.com dans Firefox et avec mon pseudo@icloud.com dans Chrome.

Et ben c'est pareil ! Pour être totalement sûr, j'ai envoyé un mail de pseudo@gmail.com vers pseudo@icloud.com puis vers pseudo@me.com : j'ai reçu les messages dans les deux environnements. Il y a bien une seule boite à lettre avec deux identifiants.

La migration "tant attendue" suite à la sortie de iOS6 a bien eu lieu.

A part ça, ne faite pas de réinitialisation de tous les réglages : vous perdez tous les codes de Wifi enregistrés...

27 octobre 2012

Photos de l'iPhone pour le blog

J'aime bien faire des photos avec l'iPhone pour illustrer les billets de blog. Quand on y met un peu d'attention, elles sont relativement nettes. Par contre, mettre de l'attention n'est pas toujours facile puisqu'on est obligés de faire rapidement.

Toujours est-il que les sources de lumière viennent gâcher le résultat, en intérieur comme en extérieur !

Quelqu'un a-t-il une solution ?

Sachant que je publie la photo juste après et ne souhaite pas utiliser un logiciel de retouche sur PC...

26 octobre 2012

Typographie

Thierry présente un livre avec des règles de typographie, dans son blog. Je vous le conseille, même s’il contient quelques belles bourdes qui m’amusent ! Comme : « L’alphabet français comprend aujourd’hui 42 lettres (et non 26) : a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z à â é è ê ë î ï ô ù û ü ÿ ç æ oe »… Il n’empêche que peu de blogueurs appliquent les « normes » en matière de typographie.

J’ai néanmoins quelques remarques, n’étant pas d’accord avec tout. Mais j’ai appris beaucoup de chose, notamment à propos de l’usage des majuscules dont j’abuse souvent.

Majuscules accentuées

En principe, les majuscules peuvent prendre des accents. Si j’écris « A la limite », le « A » devrait être accentué. Mais, les claviers de PC sont basés sur les claviers des machines à écrire de nos grands-mères et n’ont pas la possibilité de le faire. Du coup, on peut facilement tolérer les erreurs… A la limite, c’est l’usage de nos grands-mères en question qui a fait varier la langue…

Mots étrangers en italique

Le document indique que les mots étrangers doivent être écrits en italique. C’est vrai, sauf s’ils sont passés dans l’usage courant (ce qui est très fréquent dans les milieux professionnels). Il faut éviter l’italique si un texte emploie beaucoup de mots étrangers, ça le rend illisible.

Petites capitales

L’usage des petites capitales me parait obsolète, dans la mesure où on ne devrait rien écrire en capitales…

Gras

« On n’utilise le gras que pour les titres de chapitre, section, etc. et, dans les manuels de référence ou les catalogues, pour marquer les points d’entrée. » Je ne suis pas d’accord sauf pour les documents destinés à être imprimés (et il y en a de moins en moins). Pour les mails, les blogs, … l’usage du gras est nécessaire pour mettre en avant des points pour des lecteurs qui pourraient zapper.

En outre, pour les blogs, l’usage du gras permet de donner des repères visuels pendant le « scrolling » de l’écran.

Souligné

Les caractères soulignés sont obsolètes… Amen. Surtout à l’écran.

Expressions latines

Je crois qu’on doit écrire « a priori » sans accent, sans italique et sans guillemets comme toutes les expressions latines passées dans le langage commun. Mettre un accent à « a » n’a aucun sens, ce n’est pas un « à », comment dans « dis bonjour à la dame » ou « je vais à l’estaminet ».


Le vrai danger du géant ?

Moi, vous me connaissez ! J'ai toujours été un grand fan des applications de ce géant mondial qui propose un tas de services aux internautes (messagerie, vidéos, blogs, photo, ...).

Un nouveau machin sera en vogue, très prochainement : son Wallet. C'est un système de paiement sans contact avec les téléphones mobiles. 

Il faut fuir. Et fuir son système d'exploitation pour smartphone et ta tablettes voire son système d'exploitation. Les gens débattent souvent de la protection de la vie privée mais il y a bien plus grave. D'ailleurs, je me fous de ma vie privée : je raconte tout dans mes blogs. 

Le paiement par téléphone mobile sans contact va se développer. C'est une évolution normale de la société. Le progrès technologique. Le mobile va remplacer toutes les cartes que nous avons dans nos porte-feuilles et c'est très bien ainsi. Une application par carte et le tout est joué. Les smartphones sont en pleine explosion... Youplaboum. 

Le Wallet va se développer à une vitesse faramineuse. La boite mettra gratuitement des terminaux à disposition des commerçants (un lecteur NFC ne coûte presque rien) voire les rémunérera pour qu'ils s'équipent, ça ne coûtera rien aux clients,...

Premier bilan : les banques françaises seront obligées de s'aligner et perdront une source considérables de revenus : plus de commission payées par les commerçants. On pourrait s'en réjouir mais les conséquences seront terribles (facturation d'autres services, manque de pognon pour prêter aux entreprises et aux particuliers,...). 

Le machin sera également disponible sur Internet et remplacera les autres trucs comme Paypal. Ainsi, tous les paiements se feront via les applications de ce géant Américain qui capteront ainsi tous les flux financiers qui échapperont aux banques

Tous dans la poche d'une multinationale américaine qui sera en situation de monopole !

Il faut lutter... sinon les banques couleront et entraîneront dans leur sillage toute l'économie. 

Et penser aux autres conséquences. Non seulement ce géant sait à peu près tout de notre vie privée mais, en plus, saura ce que nous faisons de notre pognon, ce que nous achetons,... Ils auront ainsi un très net avantage pour la publicité puis pour la distribution.

Et nous serons totalement sous la coupe d’un géant Américain.

Lutter comment ? Je ne sais pas. Je ne suis pas dans mon blog politique. Mais si nos dirigeants Européens avaient la bonne idée de légiférer pour empêcher les banques américaines d’intervenir sur le territoire (c’est possible, les banques européennes sont bien obligées de fuir les Etats-Unis) et pour obliger les flux financiers électroniques à transiter par des établissements de crédit officiels.

Par exemple.

Dans l'attente, continuons à vénérer tous les autres produits fantastiques de cette boite !

24 octobre 2012

Réseaux sociaux : trop d'amis tue l'amitié ?

Pour faire des billets, il m'arrive de me documenter. C'est ce que je fais hier mais je suis une espèce de fainéasse : je me suis contenté de la page Wikipedia pour « Réseau Social » et je suis tombé sur ce passage : « La « règle de 150 », aussi appelée « nombre de Dunbar », soutient que la taille d'un réseau social originel est limité à environ 150 membres. […]. Il est théorisé en psychologie évolutionniste que ce nombre peut être dû à une certaine limite humaine à reconnaître les membres et à capter les faits émotionnels concernant tous les membres d'un groupe. » « Le nombre de Dunbar est le nombre maximum d'amis avec lesquels une personne peut entretenir une relation stable à un moment donné de sa vie. Cette limite est inhérente à la taille de notre néocortex. Elle […] a une valeur admise en pratique de 150 personnes. »

Vous pouvez relire trois fois si vous avez des difficultés de comprenette. En français, ça veut dire qu'il n'y a que 150 personnes que vous pouvez plus ou moins comprendre… Je vais poser directement la conclusion de mon billet : c'est totalement grotesque d'être abonné à plus de 150 comptes individuels Twitter ou d'avoir plus de 150 amis dans Facebook.

C'est dans Google+ que je suis abonné au plus faible nombre de personnes, ça sera donc plus facile de compter. J'ai 257 personnes dans mes cercles. Je peux à peu près toutes les identifier (sauf une, je ne sais pas ce qu'elle fout là, elle giclera au prochain ménage…). Pour la moitié, il s'agit de personnes un peu connues dans notre monde de blogueurs. Pour l'autre moitié (exactement 130, j'ai compté à la main), il s'agit de personnes que je connais (j'ai déjà eu plusieurs échanges avec eux), dont 80 relativement bien (copains dans la vraie vie, commentateur de blog depuis longtemps, …).
Parmi mes 680 abonnés Twitter, il y en a environ 550 que je peux identifier (à vu de nez, il y en a 130 dont je n'ai jamais entendu parler) dont plus de 400 « réellement » (je me rappelle de la première rencontre, de nos échanges, de nos bières bues ensemble...) mais avec quelques personnalités politiques, des comptes « annexes » de copains, mes propres comptes, des comptes institutionnels (médias, ...), … Je vous le fais à 300.
J'ai la flemme de trier mes copains Facebook (les très proches, ceux que je connais réellement, ceux que je ne connais que virtuellement, ceux dont je me souviens avoir vu des publications, … et ceux que je ne sais pas ce qu'ils foutent là). J'avais compté, dans mon Google Reader, le nombre de blogs dont je connais le taulier, c'est-à-dire que je peux l'identifier immédiatement quand il commente chez moi. J'en étais arrivé à 80.

J'ai trouvé ici une définition assez simple : « Un réseau social désigne un ensemble de personnes réunies par un lien social. À la fin des années 1990, des réseaux sociaux sont apparus sur Internet, réunissant des personnes via des services d'échanges personnalisés, chacun pouvant décider de lire les messages de tel ou tel autre utilisateur. »
Ainsi, mon réseau social « Internet », découvert via les blogs, est bâti sur différents outils : les blogs, Facebook, Twitter et Google+, essentiellement. J'y connais entre 3 et 400 personnes alors que la limite « désignée » par la science est 150.
Je me demande ce qu'il faut penser de tout ça mais ne peut-on pas penser les réseaux sociaux Internet ne sont pas qu'une manière de diluer les relations ou les sentiments ?

Je vais quand même en tirer une conclusion : il est urgent de limiter ses « relations ». Or « amis institutionnels » (sites d'information, pages Google+ liées aux blogs, …), on ne devrait pas dépasser 150 abonnés. Ainsi, pour bien faire, il faudrait que je dégage plus de 450 abonnements Twitter, 130 personnes de mes cercles Google+ et probablement plus de 500 « amis » Facebook !
C'est délirant.

23 octobre 2012

Les blogs face aux réseaux sociaux

« Dis, tu pourras faire un billet global sur les réseaux sociaux et les blogs ? » tel est le commentaire de mon camarade Romain Blachier en réponse à ce billet. Je ne sais pas ce qu'il veut que je fasse, précisément mais je n'ai peur de rien…
Wikipedia : « Un réseau social est un ensemble d'identités sociales, telles que des individus ou encore des organisations, reliées entre elles par des liens créés lors d'interactions sociales. » Popopop… C'est à n'y rien comprendre. Je résumé : c'est l'ensemble des lascars et des machins que l'on connaît. Hier, j'étais à l'Amandine et à la Comète avec FalconHill, le vieux Joël, Corinne, sa mère, Michel, Odette, son « amant », Guillaume et Michel. 11 « identités sociales », membres de mon réseau social : deux bistros, un copain de blog, cinq copains de bistro, un serveur et un patron.

On confond souvent « réseau social » et « média social », tel que Facebook, Twitter, Google+, Linkedin, … et les blogs, ou, plus précisément, leurs tauliers, les commentateurs, … Pour moi, la blogosphère (celle de chacun) constitue un réseau social. Chaque blog à un « taulier », relativement identifiable… mais on revient à un récent billet que j'ai fait. Laissons tomber. Certains blogs peuvent avoir plusieurs tauliers…

Cela étant, ce n'est probablement pas ça que Romain voulait que j'aborde. Je vais donc raconter d'autres conneries. Et je vais m'auto-citer :

« Les réseaux sociaux traditionnels (Twitter, Facebook et Google+) apportent relativement peu de visites aux blogs. Ils sont néanmoins incontournables pour différentes raisons, ne serait-ce que parce que des utilisateurs ne font que ça.
L'utilisateur prendra soin d'automatiser toute la diffusion de ses billets par des outils ad hoc (http://dlvr.it fait très bien l'affaire). Pour Facebook et Google+, il pourra choisir d'avoir des pages pour ses blogs et de ne pas diffuser ses billets ailleurs que dans ces pages, de manière à ne pas remplir la TL de ses copains qui ne seraient pas intéressés par les blogs.
De même, il ne devra pas polluer Twitter en y collant en permanence ses billets : ça fait fuir plus d'abonnés que ça n'apporte de visiteurs. Un billet, un tweet. C'est tout. »

Prenez des notes si vous voulez mais il y a une phrase qui n'est pas claire (encore moins que d'habitude : « Ils sont néanmoins incontournables pour différentes raisons, ne serait-ce que parce que des utilisateurs ne font que ça. » Des utilisateurs ne font que ça. Lire : des utilisateurs utilisent Twitter pour lire les blogs et s'abonnent à des comptes uniquement pour ça.

Par ailleurs, Twitter est le meilleur endroit pour générer du buzz.

Cela étant, chaque utilisateur des réseaux sociaux a son propre profil. J'ai constaté que mes amis Facebook ne cliquent pas sur les liens sauf (en proportion) pour mon blog bistro où les histoires sont plus personnelles.


Le blogueur devra donc s'attacher à utiliser des outils qui fournissent des statistiques. Par exemple, j'utilise http://dlvr.it pour balancer mes blogs sur ma page Facebook associée à mes blogs. Ce gentil machin m'indique que chaque lien reçoit en moyenne 1,3 clics… En illustration de ce billet, juste au dessus, vous trouverez une copie de l'écran avec l'application Pages de Facebook…On voit que mon billet de ce matin est passé par le mur de seulement 10 types (et en cliquant, on voit que personne ne s'est dérangé), pour une page qui a 46 abonnés (je l'ai créée le mois dernier).

Voila deux illustrations supplémentaires. La première est la liste de mes derniers billets du blog politique.

 

On y voit clairement que mes deux derniers billets d'hier ont peu marché (la moyenne est d'environ 500 avec un plancher à 370) et celui de ce matin a fait un gros bide ; il faudrait que j'en prenne de la graine (faire des billets pour le principe ne sert pas à grand-chose). Par contre, j'ai fait un billet, rapide, il y a une heure, il a bien buzzé (530 visites).

Un coup d'œil sur Google Analytics (pour ce matin) :


On pourrait en conclure que les visiteurs sont essentiellement venus par Twitter mais une analyse par dlvr.it montre que ce n'est pas à partir de mon propre backtweet.

Tout cela n'est que supposition mais j'aurais tendance à penser que le blogueur ne doit pas dépenser trop d'énergie à assurer la promotion de ses propres billets dans les réseaux sociaux, ça ne sert à rien.
Dans les réseaux sociaux ? Je dis des conneries. Une dernière illustration.

 

Dans cette période (le mois), mon blog a eu 80000 pages vues, dont 3300 par Twitter mais aussi environ 3000 de la part de trois blogs. Ce sont bien les blogs des copains, en tant que « médias sociaux » qui envoient des visiteurs.

Dans le blog, la blogroll est le centre du média social. Beaucoup de blogueurs l'oublient.

22 octobre 2012

Touche pas à ma blogo !

Ce blog est naturellement associé à la démarche entreprise avec les copains blogueurs. Voir par exemple la tribune chez Dedalus.

20 octobre 2012

Refonte des conseils de blogage

Il faut savoir tourner la page. Ayant quitté les classements, j’étais dans l’obligation de revoir les conseils de blogage que je donnais dans l’onglet « les recettes » de ce blog. J’ai repris mon texte sous Word. Il faisait 17 pages. Il n’en fait plus que 10, non pas parce que je parlais tant que ça des classements mais suite à mes « études récentes » : les réseaux sociaux n’apportent pas beaucoup de visites… Il y a d'autres modifications.

19 octobre 2012

Un blogueur doit-il avoir un compte Twitter ?

La question peut paraître saugrenue dans un blog techno mais elle se pose néanmoins : un tas de blogueurs n’ont pas de compte Twitter et vivent très bien sans. Moi, j’en ai six ou sept et je vis très bien en en utilisant qu’un seul…

La question peut paraître saugrenue mais elle est pourtant plus ou moins posée en commentaire de mon dernier billet. Je vais donc répondre : le blogueur peut ne pas avoir de compte Twitter. Twitter rapporte moins de 5% du trafic de mon blog politique. Quand je poste un billet d’un de mes blogs sur le compte @jegoun, il génère en moyenne 14,8 clics. C’est dérisoire, surtout si on compte le fait que mon blog a plus de 4000 followers dont quelques « influenceurs ».

Imaginons un jeune blogueur que nous appellerons Suzanne. Elle va créer le compte @MerleMoqueur. En débarquant dans Twitter, elle va chercher à suivre des comptes importants comme @ModesEtTravaux et les comptes des blogueurs qu’elle connaît, qui se limitent, en gros, à @AmiralWoland, @Sarkofrance et @Jegoun.

Ensuite, elle se fera progressivement un vague réseau en découvrant de proche en proche. Elle ira voir @Elc95 et quelques autres. Elle découvrira @leftblogs, @kremlindesblogs et @jegounblogs, puis, par hasard @NicolasJegou et se dira qu’ils ressembleraient bien à des trucs de @jegoun mais déchantera vite en constatant que le dernier est inactif et que les autres sont des bêtes robots. Elle découvrira ensuite que @Jegoun n’est actif que le soir et elle a autre chose à faire à cette heure là. Donc elle se contentera de papoter avec @AmiralWoland mais je me demande si un dialogue en 140 caractères entre une réac de gauche et un réac de droite pourrait durer bien longtemps.

Elle aura perdu trois ou quatre heures à essayer de comprendre et une demi-heure par jour à s’obstiner à tenter de vouloir tirer quelques bénéfices du truc… Dans l’histoire, elle n’aura que @AmiralWoland et @Jegoun pour lui faire un peu de publicité et elle aura gagné trois ou quatre abonnés par semaine par ce biais. Ces 3 ou 4 abonnés seront abonnés à 2 ou 300 compte et ne verront pas les tweets avec les billets de Suzanne. Elle s’étonnera que @Jegoun, si aimable dans ses blogs quand il ne traite pas des libéraux de connards, ne lui adresse quasiment jamais la parole sans penser trois secondes qu’avec mes 750 abonnement, @Jegoun ne peut pas tomber sans un coup de main du hasard sur les tweets de @MerleMoqueur ni que pour @Jegoun, Suzanne est une amie de blogs mais ne peut pas savoir que @MerleMoqueur est l’amie en question parce qu’il a trop de noms en tête.

Bref, ce n’est pas utile.

On pourrait néanmoins se demander si ce n’est pas utile d’avoir un compte pour remercier ceux qui vous backtweetent mais on ne va pas passer sa vie, non plus, à remercier tous les backtweets.

Le blogueur devra ensuite s’interroger sur les billets qu’il produit. S’il ne traite pas de l’actualité chaude ou geek, il a très peu de chance d’être beaucoup RT parce que personne ne clic sur des liens pour lire les billets qui ne sont pas en rapport avec l’actualité.

Il n’empêche qu’un blogueur qui traite des sujets de société se devra de connaître Twitter car Twitter devient au centre de nos moyens de communication. Même si on n’est pas obligé d’avoir un compte Twitter pour connaître le fonctionnement de Twitter, c’est quand même plus pratique pour s’abonner à des gens et comprendre comment ça marche.

Bonne réflexion, @MerleMoqueur !

N.B. : C'est rigolo, en cherchant "twitter blogueur" dans Google, on tombe très rapidement sur cinq de mes billets (sur la photo, il manque la première ligne mais sur les 20 premières images pour cette recherche, on tombe sur des illustrations de mes billets de blogs à 5 reprise) .

18 octobre 2012

Des bons blogs et des bons billets ?

Depuis que j'ai rompu avec une entreprise qui croyait vouloir le bien des blogs, je suis obnubilé par ce qui pourrait permettre de mettre en avant les « bons blogs » et inciter les utilisateurs à aller voir les « bons billets ». Cette rupture fait suite aux polémiques dans lesquelles j'ai pu être embarqué en tant que taulier du number one des blogs politiques, voire number one du général avant que Melclalex me paye des bières pour que je lui cède la place.
La notion de « qualité d'un billet ou d'un blog » est un sujet éternel qui a généré des polémiques sans fin avec des lascars dégoutés parce que leur propre blog ou le billet de leur copain est meilleur que tout nananère.
Pourtant, il serait intéressant d'avoir quelque chose qui met en avant les bons blogs et les bons billets de blog, deux notions bien différentes. Reste à savoir ce que c'est.

Pourquoi mettre en avant les bons blogs ?
En fait, on s'en fout un peu à un détail près. Ce qu'il y avait de bien, dans les classements, c'est qu'ils servaient d'annuaires (au pluriel, il y avait plusieurs catégories). Or, il y a au moins 300 000 blogs en France. Faire un catalogue, si quelqu'un entreprend une telle démarche avec 300 000 entrées n'aurait pas de sens et serait un travail considérable, puisqu'il faudrait, en plus, entreprendre de les trier par catégorie.
Je suppose qu'il serait pertinent, de mettre en avant un certain nombre de blogs (dans un billet précédent, je parlais de 100 ou 1000, mais environ 300 serait raisonnable : 100 ne serait pas assez et 300 permettrait à un « gestionnaire » de les trier par catégories sans y passer sa vie) pour permettre au lecteur de piocher dedans.
Or, quitte à présenter une sélection de blogs, autant présenter les meilleurs, ce qui varierait de semaine en semaine ou de mois en mois.

Pourquoi mettre en avant les bons billets ?
En fait, on s'en fout un peu, aussi… Mais à titre personnel, j'aime bien découvrir des nouveaux trucs, un peu au hasard. Alors autant me permettre de le faire…

Qu'est-ce qu'un bon blog ?
Définir un bon blog ou un bon billet n'est pas facile parce que chacun aura ses propres critères. Un blogueur littéraire de gauche trouvera toujours mieux un blog de gauche bien écrit. Un geek, par contre, préfèrera un blog qui présente toutes les nouveautés même s'il est écrit avec les pieds. Et un brave citoyen de gauche préféra un blog politique au ton bistro qu'un machin tenu par un vieux con aigri qui croit faire de la littérature en défendant des causes indéfendables dont tout le monde se fout. 
Maintenant que je ne suis plus classé, je peux me faire des ennemis. 

Pour rédiger ce billet, je me suis posé la question : et vous, cher Nicolas, quels blogs préférez-vous ? Je me vouvoie, maintenant. Sortir d'un classement n'incite plus à la camaraderie. Je me rends compte que tous les critères que je peux prendre en compte sont totalement délirants. Par exemple, j'aime bien le blog de Gildan alors que c'est un "blog musical" et que je n'écoute jamais les morceaux qu'il y met. Ce n'est pas paradoxal : il y règne une ambiance bon enfant entre copains, exactement ce que je recherche dans la blogosphère. C'est un critère qui m'est purement personnel mais que je partage volontiers ! 
Essayez vous-même de vous poser la question : quels blogs préférez-vous ? Vous allez penser à un tas de trucs parce que vous tentez d'être objectif mais vous allez vite abdiquer, vous rendre compte que vous trainez, par exemple, sur mes blogs plus souvent que vos blogs soi-disant préférés... Toujours est-il que vous préférez mes blogs (c'est un exemple, bordel !) non pas pour la qualité rédactionnelle (et pourtant !) ou la pertinence de mes analyses sur tous les sujets (c'est dommage !), ni même pour un humour à deux balles, mais pour un tas de raison inexplicables. 
Jusque là, j'ai cité deux blogs, ceux de Gildan et Melclalex. Je dirais que ce sont de bons blogs. Le dis-je parce que ce sont des copains ou parce que ce sont réellement de bons blogs ? Pour moi, ce sont des bons blogs parce que j'y suis bien, un peu comme dans des bonnes vieilles charentaises (ou dans la nouvelle soubrette du PMU).
Dans mon blog politique, je faisais ce matin de la pub pour le bouquin d'une copine blogueuse. Elle habite dans le nord des Côtes d'Armor alors j'en profite pour citer un tas de copains blogueurs du coin, pour les saluer. Je conclus en rigolant avec : « C'est dommage que mon blog ne soit plus référencé par le machin, j'ai l'impression de gaspiller des liens. » Suzanne, du Merle Moqueur, en vente dans toutes les bonnes bloguerolles, me laisse en commentaire : « Non, justement, ce sont des VRAIS liens ». Elle a parfaitement raison même si elle a un peu tendance à crier mais, avec l'âge, on devient un peu sourd. Ce sont des vrais liens vers des gens que j'aime bien après les avoir découverts par l'intermédiaire de leurs blogs respectifs.
Les bons blogs sont ceux qu'on a envie de mettre en lien, et si on a envie de les mettre en lien c'est pour un tas de raisons, parmi lesquelles la sympathie du taulier et je ne vois pas pourquoi on mettre en avant un blog dont le taulier n'est pas sympathique.
S'il fallait faire une liste de bons blogs, le seul critère à prendre en compte serait le nombre de blogs avec des billets avec des liens vers eux, d'autant que seuls les blogueurs peuvent savoir ce qu'est un bon blog. Il n'y a pas d'autre solution.

Et Twitter me direz-vous ?
Twitter ne met pas en avant des blogs mais des billets de blogs ou des articles d'information. Il y a une vague différence. Vous me direz que si plusieurs billets d'un blog marchent bien, ça en fait un bon blog.
Il y a un mois ou deux, le blog de François Fillon m'était arrivé devant dans le classement machin. Pourtant, François Fillon n'est pas un blogueur. C'est un ancien Premier Ministre candidat à la Présidence d'un parti politique et probablement le futur « chef » de l'opposition. Son blog n'est pas réellement un blog mais une tribune. Ses fans avaient beaucoup RT un ou deux de ses billets, il s'était retrouvé propulsé au sommet de « cette blogosphère ».


Ce qui nous amène à une question essentielle : c'est quoi un vrai blog ?
Nous sommes au cœur de la polémique en cours à propos du machin. Des blogueurs, dont moi, se rebiffent parce qu'ils considèrent que des blogs classés ne sont pas des blogs. François Fillon ne sait peut-être même pas qu'il a un blog ! Ce n'est vraisemblablement pas lui qui écrit ses billets (je n'en sais rien, en fait) contrairement à Jean-Luc Mélenchon pour son propre blog. On pourra donc dire que le blog de François Fillon n'en est pas un contrairement à celui de Jean-Luc Mélenchon mais, pour tous les deux, on peut aussi dire qu'il s'agit de sites de communication politique et pas de blogs. C'est un coup à se manger la queue, si j'étais assez souple.

Je vais prendre un exemple : les blogs geeks. Nul n'oserait ôter le qualificatif de blogueurs à mes éminents confrères geek. Pourtant, j'utilise des gros blogs comme Presse Citron ou Korben comme des sites d'information plus que comme des blogs alors que j'ai une relation plus personnelle avec d'autres confrères, notamment Thierry qui commente parfois chez moi.
On pourrait pousser le bouchon plus loin. Dans Presse Citron, il me semble qu'une majorité des billets n'est plus écrite par Eric mais par des rédacteurs. J'ignore comment ils fonctionnent mais il est probable que les autres sont rémunérés. Presse Citron est le plus éminent des blogs mais il a toutes les caractéristiques d'un site d'information.

Ca me rappelle une vieille histoire. A l'été 2009, Poppy Rose, une mamie qui racontait les tricots qu'elle faisait pour ses petits-enfants avait piqué la première place du classement général des blogs à Presse Citron. Poppy Rose avait été la risée de la blogosphère parce que ce qu'elle faisait n'intéressait absolument pas les vils machos que sont les blogueurs politiques et les blogueurs geeks. Pourtant, elle avait réussi à avoir un très gros réseau de potes, à force d'humanité et de gentillesse : elle méritait amplement sa place en tête du machin. Elle avait un vrai blog : elle avait su créer, autour, une sorte de réseau social avec plein de gens dedans. Un vrai blog mais aucun billet susceptible d'intéresser le grand public.
Cela avait créé un choc dans la blogotruc parce que ça avait montré que les blogs n'étaient pas que des gros machins politiques et des gros machins geeks ou des gros machins de buzz. Pourtant, la diversité de la blogosphère est très importante à mes yeux.

Je viens de parler de gros machins de buzz. A l'époque où je m'amusais avec le classement général, j'étais confronté à Fubiz et à Topito. J'ignore si ce sont des pros mais ils font un boulot formidable dans leurs catégories spécifiques. Je continue néanmoins à me demander si ce sont vraiment des blogs. Tout comme Poppy Rose et contrairement à Presse Citron, ils ne m'intéressent absolument pas. Pourtant, je n'ai jamais osé penser que Poppy Rose et Presse Citron pouvaient ne pas être des blogs. Fubiz et Topito, si. Cela nous ramène à la polémique actuelle qui oppose des blogueurs politiques à des sites comme FdS qui ne sont (pour nous) pas des blogs…
Pas facile de définir ce qu'est un blog !

Ce qui nous ramène au sujet de ce billets : c'est quoi un bon blog ?
Dans mon esprit, Perdre la raison, le petit monde de Gildan, le Merle moqueur, Korben, Presse Citron et Poppy Rose sont assurément des bons blogs (de même que les miens mais je ne garantis pas une totale objectivité). Contrairement à Fubiz, Topito, le blog de François Fillon et FdS que je ne peux pas considérer comme des bons blogs car je ne peux me résoudre à les considérer comme des blogs.
Ce qui caractérise Perdre la raison, le petit monde de Gildan, le Merle moqueur, Presse Citron et Poppy Rose (on pourrait y ajouter mes blogs), c'est qu'ils sont appréciés d'autres blogueurs et reçoivent un tas de lien
Ce qui confirme ce que je disais plus haut… J'imagine déjà les critiques d'andouilles aigries. Oui, le copinage est possible. Mais les blogs sont aussi des éléments d'un gigantesque réseau social ou plus précisément chaque blog est le centre d'un réseau social de son taulier. Et les copains font partie des réseaux sociaux.

Qu'est-ce qu'un bon billet ?
Tout d'abord, comme pour les blogs, il sera difficile de définir ce qu'est un bon billet car chacun aura son propre centre d'intérêt. Un type qui aime les gif animés n'est pas obligé d'apprécier un site qui défend la France Forte. En plus, mon billet commence à dépasser la taille limite.
Pour évaluer les billets pour en détecter les bons, il faudrait un système de vote universel mais ça n'existe pas. Différentes boîtes ont tenté de créer des trucs mais ça limite à une communauté d'utilisateurs. On pourrait utiliser un tas de critères mais ils ne correspondent pas réellement à la « qualité » d'un billet.
En fait, seuls trois "machins" sont universels : Twitter, Facebook et Google+. Ainsi, le seul moyen de savoir si un billet plait est de voir s'il est beaucoup cité dans les réseaux sociaux. Google+ est encore marginal. Facebook est fermé vers une communauté et ses utilisateurs ont un comportement compulsif et cliquent sur j'aime n'importe comment. Seuls les partages seraient à comptabiliser mais ils sont tellement marginaux qu'avec trois faux compte, un blogueur arriverait à tricher.
La seule solution pour détecter automatiquement les bons billets est de se concentrer sur Twitter. La difficulté est que certaines catégories de billets sont beaucoup plus tweetés que d'autres et qu'il y a un phénomène de fans pour certains blogs (je plaide coupable, mon blog politique est backtweeté automatiquement par quelques copains). Donc le nombre brut de tweets (plus précisément de Twittos qui backtweetent un billet) ne peut pas suffire à déterminer les bons billets.
Quelle est la solution ? On pourrait simplement diviser le nombre de backtweets obtenus par un billet par la moyenne de backtweets pour le blog. Ce qui nécessiterait quelques ajustements… (par exemple, si la moyenne est 0, on aura du mal à diviser…). Quelques clowns arriveraient en tête par hasard ou en trichant. La belle affaire… On devrait pouvoir corriger le tir en supprimant du décompte les backtweets de trop petits comptes, ceux qui ont trop peu d'abonnés.

Les modalités techniques seront étudiées ultérieurement, il faut que j'aille au bistro. J'ai rendez-vous avec Catherine qui tient un excellent blog dans une catégorie un peu particulière.

17 octobre 2012

Dépasser les classements de blog !

Hier, j’ai fait un billet pour imaginer un outil qui pourrait permettre aux blogueurs de détecter où ils sont cités. Aujourd’hui, mon confrère Sarkofrance fait un billet à propos des classements de blogs.

Il y écrit : « 2. Disposer d’un classement, c’est utile. Cela peut permettre de faire découvrir des blogs, notamment pour des non-initiés. »

Je ne suis pas nécessairement d’accord avec lui : ce n’est pas le classement qui est utile, mais l’annuaire.

Je ne vais pas refaire un cahier des charges, comme hier.

Hier, mon système avait permis d'établir progressivement un recensement des blogs et d'extraire les liens faits entre eux. Aujourd'hui, je propose d'en extraire la liste des 100 (ou 1000, on s’en fout !) les plus "significatif" (ceux qui ont reçu le plus de liens dans les deux derniers mois, par exemple). On pourrait, d’une part, en faire un annuaire dynamique et, d’autre part, faire une liste de leurs billets les plus cités.

Un annuaire dynamique ?

A partir de cette liste de blogs significatifs, on pourrait afficher les derniers billets, un peu à la manière des blogrolls dynamiques des blogs Blogger (voir à ma colonne de gauche, par exemple).

Une liste des billets les plus cités ?

Il s’agirait d’afficher les billets qui « buzzent » (notamment dans Twitter, les liens entre blogs et ceux dans Facebook sont plus statiques), de cette liste dynamique de blogs, sur une période assez courte, peut-être une heure ou deux.

Vous en pensez quoi ?

Pour ma part, je vois :
1. Il n'y aurait plus de classement et plus ces incessantes polémiques,
2. Les "non initiés" comme les autres auraient une espèce de catalogue qui bougerait en permanence, non pas de blogs mais de billet.
3. Les blogueurs pourraient voir ce qui marche à un instant T chez leurs confrères (mais pas sur une longue période, ça reviendrait à faire un classement).
4. Les branchés sur l'actualité pourraient en un clin d'oeil voir ce qui génère du buzz.

En aspects négatifs, je vois :
1. Il y aurait une prime à la productivité par rapport à la qualité.
2. Dans la liste des billets les plus cités, les blogs des catégories les plus citées (notamment les blogs geeks) seraient privilégiés (mais ce ne serait pas dramatique, vu qu'on part d'une liste de blogs réduite, élaborée à partir du nombre de liens que reçoivent chaque blog),
3. Au vu de la connaissance actuelle que j'ai de la blogosphère, certaines catégories de blogs ne seraient pas représentées (ce qui n'est pas gênant, pour moi, à titre personnel).

16 octobre 2012

Repérer les liens vers son blog : comment faire ? Ou comment faire un joli cahier des charges ?

Quitter le classement machin a des conséquences. Je ne peux plus aller voir les liens qui sont faits vers mes blogs. Chose que j'avais d'ailleurs arrêté de faire sur les conseils de ma psychothérapeute à Boulogne-Billancourt depuis six ou huit mois, à part occasionnellement.
Hé ho ! M'engueulez pas… Tous blogs cumulés, j'avais une quinzaine de liens par jour (peut-être un peu moins), hors week-ends, toujours plus calmes.
Je pose donc la question ici : connaissez-vous une solution ?

Comme je faisais une série de billets à propos des cahiers des charges, je vais me permettre d'en faire un autre avec le cahier des charges.
Prenez des notes.

Principes généraux du back office :
Il faudrait tout d'abord :
-         une base de données des blogs dont au sujet desquels on voudrait savoir qu'ils sont en lien. Appelons-la Roger,
-         une base de données de sites susceptibles de faire des liens avec l'adresse de leurs flux RSS. Appelons-la Marcel,
-         une base de données avec les résultats, à savoir le lien de Roger et l'adresse du billet du flux de Marcel. Appelons-la Josiane.

Tous les jours, il faudrait étudier chacun des liens qui circulent dans les flux RSS de Marcel. Nous allons appeler Lucienne le programme qui explore les flux RSS de Marcel.
Si Lucienne trouve un lien vers un blog de Roger, elle stockerait ce lien dans Josiane.
Si le lien n'est pas dans Roger, Lucienne pourrait le stocker dans une base de données complémentaire qui pourrait être étudiée à la main par des opératrices de saisie avec des jolis nichons. Appelons cette base Monique. Illustration. Pas de Monique, des opératrices de saisie avec des jolis nichons. Nous allons les appeler de manière générique Paulette.

 

Paulette étudierait les liens mémorisés dans Monique tous les soirs plutôt que d'aller au bistro. Elle cliquerait dessus et étudierait à quoi elle correspond. S'il s'agit visiblement d'un blog ou d'un site qui dispose d'un flux RSS, elle pourrait le rajouter dans Marcel. S'il s'agit d'un lien vers un truc qui n'a pas de flux RSS ou n'a rien à voir avec la choucroute (par exemple Wikipedia ou 3.bp.blogspot.com qui est l'adresse du serveur d'images de Blogger), elle pourrait le stocker dans Isidore. Isidore pourrait être utilisé par Lucienne pour mettre des liens à la poubelle lors de son exploration des flux RSS de Marcel de manière à ce qu'elle n'importune plus Paulette.

Je résume :
-         Roger est la liste des blogs pour lesquels on voudrait avoir la liste « des liens entrants »,
-         Marcel est la liste des blogs ou de sites (et des flux RSS) susceptibles de faire des liens vers une liste de blogs (Roger)
-         Isidore est une « liste noire » de liens qu'il ne faut pas traiter lors de l'étude des flux RSS d'une liste de blogs par l'application concernée (Lucienne),
-         Lucienne est une application explorant tous les flux RSS qui nous intéressent (gérés dans Marcel) pour repérer les liens à l'intérieur et les classant en trois catégories, ceux qui sont dans la base des liens qu'on veut étudier, ceux qui sont en liste noire et ceux dont elle ne sait que faire et qu'il conviendrait d'étudier à la main,
-         Josiane est la liste des liens vers les blogs qu'on veut étudier (Roger) repérés par une application (Lucienne) dans une liste de flux à étudier (Marcel),
-         Monique est la liste des liens repérés par une application (Lucienne) dont elle ne sait pas quoi en faire.
-         Paulette est une opératrice à gros nichon dont le travail serait d'étudier une liste de liens pour savoir s'il s'agit d'un blog qui pourrait être intéressant de surveiller au cas où ils contiendraient des liens ou s'il s'agit d'une « liste noire » de sites dont on a que faire. Le cas échéant, elle stockerait les informations nécessaires dans des bases de données respectivement appelées Marcel est Roger. Elle pourrait aussi les foutre à la poubelle si elle n'a pas le temps de gérer.
Un acteur intermédiaire pourrait intervenir : Nicolas qui aurait la possibilité de foutre des machins réactionnaires de Marcel vers Isidore.

Spécifications techniques complémentaires :
  1. Marcel et Roger vont vivre en cohabitation dans la même base de données puisque les liens dans Roger sont aussi susceptibles de faire des liens vers Marcel.
  2. Le couple « Marcel Roger » aurait une date de dernier billet (pour virer les machins qui n'ont rien glandé depuis six mois pour éviter l'engorgement des bases).
  3. Josiane aurait aussi « une date de lien » (de manière à ne conserver que les six derniers mois).

Initialisation
Au départ, Roger et Marcel contiendraient l'ensemble des flux RSS de mon Google Reader (ne faites pas la gueule, il y en a déjà près de 400). Cela devrait permettre de favoriser une certaine diversité mais il est sûr que le machin prendra plusieurs mois avant d'avoir un semblant de représentativité.

Front office grand public
Il s'agirait d'un site web où le grand public pourrait saisir l'adresse d'un blog ou d'un site et d'obtenir la liste des liens qui sont faits vers ce blog ou site ou la liste des liens qui sont faits de ce blog ou site.
Une adresse de contact serait placée sur ce site (voire un formulaire de contact) pour permettre aux braves utilisateurs de signaler les erreurs, notamment si leurs blogs ne sont pas dans Roger ou Marcel.
Paulette aurait en charge de traiter ces mails.

Middle office
Middle office est l'application qui permettra à Paulette de faire son job.

Conclusion
Ce n'est pas un joli cahier des charges, ça ?
Le résultat ne vous rappelle rien ?

Continuer autrement ?

Il n'y a plus qu'avec ce blog que je m'amusais avec le classement machin des blogs geek tout simplement parce qu'il n'avait strictement rien à y faire. Les autres sont des mastodontes à plusieurs centaines de milliers de visiteurs par mois contre environ 6 à 8000 ici. En quittant le classement, j'ai tourné une page.

Le blog bénéficiait du gros réseau que j'avais autour de http://jegoun.net et http://aubistro.com, des dizaines de copains qui faisaient régulièrement des liens vers ici en signe d'amitié.

Retirer les autres blogs et laisser celui-ci n'aurait eu aucun sens.

 

Je vais néanmoins continuer, toujours pareil, sans la moindre ligne éditoriale, mais tournant autour de mes thèmes favoris :

-         les blogs, les conseils, Blogger,

-         Google et Google+,

-         Les réseaux sociaux,

-         L'iPhone et l'iPad.

 

Sans compter un tas de petits sujets quand je tombais sur une information par hasard (ou par sollicitation par mail dans ma boite mail…).

Au boulot !

12 octobre 2012

7 étapes pour monter au classement des blogs politiques

C’est Pierre Chappaz qui nous montre la voie, sur son blog ! Néanmoins, ayant une certaine expérience, je vais me permettre de formaliser tout ça. Tu vas voir, ce n’est pas compliqué.

Petit 1 : tu réuniras plusieurs potes pour t’aider parce qu’il te faudra publier en permanence mais il faut bien dormir de temps en temps.

Petit 2 : tu définiras un certains nombre d’alerte Google News avec une série de mots clés : « Sécurité », « Islam », « Musulman », « Immigration », « Quartier », …

Petit 3 : tu ouvriras un blog. Oui, c’est une étape majeure : on ne peut pas monter dans les classements de blogs sans avoir un blog. Tu ne sais pas ce que c’est un blog, ce n’est pas grave. C’est un truc où l’on peut recopier les informations prises ailleurs et les diffuser sur Internet. Il faut également que les éventuels lecteurs puissent laisser des commentaires.

Petit 4 : tu te créeras plusieurs identités numériques ce qui te permettra de faire vivre les commentaires en questions.

Petit 5 : tu en profiteras pour créer les comptes Twitter et Facebook associés pour pouvoir backtweeter tes billets.

Petit 6 : dès que tu recevras une information de Google News, tu iras sur le site web concerné, tu la recopieras sur ton blog dans un nouveau billet. Il en faut au minimum 30 par jour, sinon ce n’est pas du jeu.

Petit 7 : tu iras larmoyer un peu partout pour dire que tu es mal aimé.

N'oublions pas ! Tu prendras soin à ne jamais rédiger toi-même un billet de blog sauf dans le cadre de ce petit 7.

11 octobre 2012

Remarques en bref (Google+ et Blogger)


  • Une nouvelle version de l'application Google+ pour iPhone est disponible. Elle permet de se connecter "en tant que page" : lors du premier lancement après le téléchargement, on peut choisir le compte ou la page (voir l'illustration). Par contre, je n'ai pas trouvé comment changer de compte ou de page sans me déconnecter. Ils ont peut-être oublié, c'est ballot.
  • Depuis hier, j'utilise une nouvelle méthode pour publier mes billets (voir un de mes billets) : je tape le texte sous Word, je le colle dans Gmail et je l'envoie à une adresse qui permet de le publier sur le blog. Les billets de mon blog politique sont repris par l'application News Republic sur smartphone. Ils sont bien plus "beaux" ainsi. Je suppose que le passage par Gmail provoque un nettoyage des conneries HTML insérées par Word.
  • Ceci est encore un billet de test (je rédige le billet directement dans gmail).

Ma newsletter déménage du flux

Voila le mail que j'ai reçu cette nuit à propos de ma newsletter et de feedburner.

Je dois reconnaitre que je n'y comprends rien (voir mon récent billet à ce sujet, c'est l'abonnement que j'ai souscrit après le 25 septembre et qui fonctionnait correctement jusqu'alors). Comment voulez-vous qu'un lecteur qui  s'abonne par mail y comprenne quelque chose ?

Les réseaux sociaux apportent-il beaucoup de visites aux blogs ?


Je vais donc lui donner des chiffres mais pas sur cinq, comme il le fait (les réseaux sociaux étaient inconnus au départ), mais depuis début 2011.

En résumé, à part Blogger, les réseaux sociaux apportent peu de visites… Les bons chiffres de Blogger viennent des blogrolls des copains (notamment Didier, Seb et Juan). Seul Twitter, pour le blog politique, se distingue.

C'était le sujet d'un de mes récents billets, donc je ne vais pas insister sur le sujet, mais la conclusion est formelle : ce n'est pas la peine de se fatiguer avec les réseaux sociaux pour promouvoir ses blogs. Par contre, j'aurais tendance à penser que ce sont des visiteurs intéressants, du moins, beaucoup plus que l'immense majorité des gens qui viennent avec une recherche par Google et qui n'ont pas trouvé leur bonheur.

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Twitter
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