26 octobre 2006

Assemblée Nationale.



Cette illustration représente une entrée de mon sitemeter. Si vous êtes aveugle cliquez dessus pour l'agrandir.

C'est un gugusse qui est venu chez moi, à partir de l'Assemblée Nnationale.

Il venait de chez Eric de Crise dans les médias et est reparti chez Guy Birenbaum. Il doit faire la tournée des blogs influents...

Le tout sans payer la sienne, de tournée, ce qui ne se fait pas.

24 octobre 2006

Ma contribution à la présentation du web 2.0

Beaucoup de gens se demandent ce qu’est le web 2.0. Il est temps de faire un article sérieux le sujet. Je m’y atèle. Chacun son tour.

La moindre des choses est que je me fasse aider par wikipedia, vous savez l’espèce d’encyclopédie dont on est pas sûr de ce qui est écrit dedans mais qui existe pour notre plus grand bonheur à tous.

Web 2.0 est un terme souvent utilisé pour désigner ce qui est perçu comme une transition importante du World Wide Web, passant d'une collection de sites web à une plate-forme informatique à part entière, fournissant des applications web aux utilisateurs.

J’espère que vous avez compris !

Les défenseurs de ce point de vue soutiennent que les services du Web 2.0 remplaceront
progressivement les applications de bureau traditionnelles.

Je traduits : c’est un retour 20 ans en arrière. A l’époque, les terminaux étaient bêtes comme leur pieds et les logiciels étaient sur des ordinateurs centraux (rappelez vous l'ordinateur du guichetier de votre banque il y a vingt ans). Les terminaux n’avaient juste qu’un écran et un clavier (rappelez vous aussi les minitels).

Ensuite, on a eu le développement des PC avec des trucs de plus en plus puissants, et donc des applications qui se lançaient en local.

Nos braves PC permettaient de faire un tas de truc en local, notamment de la bureautique… et on redécouvre maintenant que l’informatique c’est aussi le partage d’informations (échange de fichiers, accès à des bases de données centralisées).

Voilà : le web 2.0 est un retour à ce qui se faisait au début de l’informatique.

Dans sa conception originale, le Web (nommé dans ce contexte le « Web 1.0 ») comprenait des pages web statiques qui étaient rarement mises à jour, voire jamais. Le succès de l'ère dot-com se basait sur un Web dynamique (parfois appelé « Web 1.5 »), où des systèmes de gestion de contenu servaient des pages web dynamiques, créées à la volée à partir d'une base de données en constant changement.

C’est clair ? Ca fait 20 ans que je bosse dans l’informatique. J’ai toujours l’impression que les informaticiens parlent pour eux-mêmes.

Je vais essayer de traduire. Au début les pages web ne changeaient quasiment jamais (un peu comme mon site http://www.jegoun.com/ avec les photos de vacances mises à jour… à chaques vacances). Après ils ont inventé un système qui facilitait un changement fréquent (un peu comme des « vieux » sites d’actualité : il ne faut pas refaire la mise en page pour réafficher les trucs, il suffit de rentrer le texte et les photos et la machine s’occupe de la mise en forme).

Le Web était considéré principalement comme un outil de diffusion et de visualisation de données, où des aspects comme le nombre de pages vues et l'esthétique revêtaient une très grande importance.

Oui… Mais le web 2.0 n’a pas enterré les anciennes utilisations du web !

Les partisans de l'approche Web 2.0 pensent que l'utilisation du Web s'oriente de plus en plus vers l'interaction entre les utilisateurs, et la création de réseaux sociaux rudimentaires, pouvant servir du contenu exploitant les effets de réseau, avec ou sans réel rendu visuel et interactif de pages Web.

Vous voulez encore que je traduise ? Le bastringue est de plus en plus puissant ce qui permet de créer de nouvelles applications qui pourront concerner un large public ou un groupe restreint d’utilisateurs.

En ce sens, les sites Web 2.0 agissent plus comme des points de présence, ou portails web centrés sur l'utilisateur plutôt que sur les sites web traditionnels.

Je ne traduis pas. Mais les gugusses de chez Wikipedia ils ont un peu de mal à expliquer des trucs qui n’existent pas…

Je résume le tout une première fois.

Internet s’est « autoalimenté » : il a permis les échanges entre les développeurs, ce qui a permis des progrès techniques et leur standardisation. La technologie permet d’avoir des serveurs plus puissants et l’accroissement du débit (vitesse de communication sur internet) permet d’échanger plus d’informations entre le PC et le serveur et de déporter des traitements sur un serveur central (et donc de ne pas avoir à installer de logiciel sur les PC).

Mais, « comme il n'existe pas d'accord unanime sur ce que le Web 2.0 signifie précisément, le terme peut désigner des choses radicalement différentes suivant les personnes. » je ne sais pas si ma contribution va changer ça. Il faudrait que j’emploie des termes compliqués comme RSS, ATOM, Javascript, XML, SOAP, REST, RDF, … pour avoir l’air intelligent. Mais comme, à mon avis, la notion de web 2.0 est avant tout une démarche marketing, ça serait du gaspillage.

Par exemple, beaucoup de personnes faisant la promotion du Web 2.0 parlent de HTML bien formé et valide. Cependant, peu de sites actuels adhèrent à ce standard. De même, alors que le Web devrait tendre vers plus d'accessibilité, l'utilisation d'AJAX peut rendre les sites complètement inutilisables aux personnes naviguant sans le support du JavaScript, ou avec un navigateur ancien.

L’utilisation d’AJAX pour récurer HTML avant de danser la java ? Ca devient compliqué… J’abandonne.

Et je résume encore : c’est une évolution technologique naturelle mais on lui a donné un joli nom pour pouvoir gagner plus de sous.

21 octobre 2006

Catalogue

J’ai failli oublier l’anniversaire de http://jegoun.blogspot.com, et de ses petits frères http://jegpol.blogspot.com et http://jegweb.blogspot.com !

Un an de billets d’une haute rigueur morale et intellectuelle, voire littéraire, même si l’orthographe est parfois victime de mes sautes d’humeur, ce qui est un excellent prétexte pour ne pas indiquer qu’on ne maîtrise pas l’orthographe, notamment la conjugaison. Un an à chercher des mots pour remplacer ceux qu’on ne sait pas comment ils s’écrivent.

Cette nuit, j’ai passé une partie de mon insomnie (de 6h à 7h30 !) à préparer un récapitulatif des meilleurs billets pour en faire une page web du site www.jegoun.com ! Il reste du travail pour en faire cette page, néanmoins, je célèbre cet événement sur le blog en diffusant cette liste !

Pourquoi cette liste ?

La première raison, c’est pour me faciliter la tâche quand j’écris certains billets : j’aime bien, parfois, pointer sur des trucs que j’ai déjà écrits, mais j’ai souvent la flemme de faire des recherches (des fois je me rappelle avoir écrit un truc, mais je ne sais plus quand et, parfois, même plus sur quel blog).

La deuxième, c’est parce que les blogs ont un côté éphémère. On écrit des trucs, et ils sont vite oubliés. C’est dommage. D’autant qu’il y a des trucs qui devraient passer à la postérité.

Comment cette liste ?

Oui, comment qualifier les « meilleurs articles » ?

D’abord, il faut éliminer les mauvais, ou plus précisément ceux qui ne méritent pas qu’on s’en rappelle :

Ceux qui sont écrits dans un moment de mauvaise humeur et qui ne ressemblent à rien.
Ceux qui sont écrits dans un moment de bonne humeur mais de manque d’inspiration (sur le contenu ou la manière d’écrire).
Ceux qui sont écrits juste pour le fait d’écrire quelque chose par principe (c’est souvent les mêmes).
Ceux qui ne sont pas classables (comme celui sur La Hulotte, l’autre jour).
Ceux qui n’ont pas de sujet (c’est-à-dire, ceux qui, après relecture, paraissent aussi plaisants, mais dont on ne sait pas de quoi ils parlent)
Ceux qui ont fâché quelqu’un (non pas sur le contenu, mais sur le fait de l’avoir fait).
Ceux qui sont purement informatifs (comme quand je reprends une dépêche AFP ou quand je signale une modification du site web ou quand je donne les paroles d’une chanson non paillarde de mon enfance. Je laisse les paillardes, ça attire les visiteurs).
Ceux, courts, qui sont faits par allusion aux blogs de Tonnegrande et de l’ancien Sarkoprout, juste pour rigoler ou par réponse à une bêtise publiée.

Que reste-t-il ?

23 billets sur Loudéac, le Kremlin-Bicêtre, les copains, …
2 revues de presse
4 annonces du Candidat Nicolas
3 recettes de cuisine
3 paroles de chanson
15 de politique « générale »
8 plus sur l’économie et la célèbre dette
5 de portraits de personnalités politiques
7 d’hommages aux vieux
14 billets sur les blogs, le référencement,...

Pourquoi sur une page web ?

C’est pas un peu fini, toutes ces questions ?
Petit 1 : pour y faire un renvoi à partir des blogs.
Petit 2 : pour pouvoir l’utiliser ailleurs qu’à la maison.

Tu n’es pas un peu gonflé de parler de billets plaisants ?

Tu m’agaces. Je parle de ceux qui ME plaisent.

En faisant ça tu ne chercherais pas à améliorer ton audience ?

Ca suffit ! Mais je dois avouer que ça ne pourra pas nuire au référencement de certains mots clés…

Alors, cette liste ?

Elle est .


Une modification de l'autre site !

Les photos de la fête pour le départ de Manu sont là : http://jegoun.ifrance.com/Manu/

20 octobre 2006

Le billet jamais écrit


J’ai commencé à préparer un billet qui sera publié ici même dans quelques temps sur mes « meilleurs billets » (pour être précis, ceux que JE trouve les meilleurs !).

Une idée m’est venue subitement : faire un billet sur les billets que je n’ai jamais écrits ou jamais publiés.

A quel blogueur ça n’est jamais venu d’avoir une superbe idée et de ne pas savoir passer à la pratique ou de rédiger un truc bien sans oser le publier parce qu’il ne vous plait pas où toutes sortes de raisons ?

La plus fréquente est le manque d’inspiration. Le trac de la page blanche. Voilà par exemple une liste de sujets (qui concernent les blogs) que j’ai pas pu traiter :

La genèse d’un billet. Comment a-t-on trouvé un sujet ? Comment fait-on pour trouver du contenu à y mettre et le trouver suffisamment bien pour le diffuser ?

Pourquoi : Justement… Jamais inspiré…

Le comportement aberrant de certains commentateurs dans les blogs.

Pourquoi : Obligation de prendre des exemples concrets sur des blogs, ce qui n’est pas gentil. Mais j’ai des fourmis dans les doigts…

En complément, la bêtise de ces commentaires qui veulent vous convaincre d’adopter leur point de vue politique et qui ne comprennent pas que vous osiez le contredire. Bref : tous des idiots ceux qui ne pensent pas comme moi.

Pourquoi : La difficulté de ne pas pouvoir prendre des exemples afin d’être compris… par les fautifs.

La néthique à ma sauce. L’art de présenter les blogs et les billets, la nécessité de respecter la typographie…

Pourquoi : Comment dire ce qu’il faut faire sans être présomptueux ?

Il y a ensuite les excellentes idées que vous avez eues sous la douche, dans le métro… Ou ailleurs et que vous oubliez. Le pire c’est en voiture. La dernière fois que je suis rentré en Bretagne (environ 4 heures), j’ai laissé mon esprit vagabonder sur un excellent sujet… que je me rappelle très bien, j’ai évidemment oublié tout ce que je voulais dire. Autre exemple, le matin vous lisez le Parisien. Une nouvelle vous titille. Dans le métro, vous la remuez pour un faire un billet. Vous arrivez au bureau, vous discuter avec vos collègues et au moment vous voulez vous envoyer un mail à la maison pour vous faire penser à traiter d’un sujet : oublié…

Il y a ensuite les sujets insultants ou polémiques. Par exemple : « la plupart des électeurs de droite sont des nouilles, ils se laissent manipuler par leurs chefs qui ne travaillent que pour le grand capital ». Objectivement, ils ont toutes les raisons de vous répondre « c’est pas nous c’est vous », ce en quoi ils n’ont probablement pas entièrement tort.

Il y a les sujets sur le boulot en tant que « la profession qu’on a ». Pour certains, ce n’est pas grave. Eric est journaliste, il peut parler de journalisme, c’est son métier. Moi, je travaille dans un domaine très spécifique. Si j’en parle, il est très probable que je sois repéré rapidement. Ce qui pourrait nuire…

Il y a aussi les sujets sur le boulot en tant que « la boite où on bosse ». Il y en a qui se sont fait licenciés pour moins que ça. Dire nominativement que son patron est un abruti n’est pas très sérieux. Le mien ne l’est pas, abruti. Je dis ça au cas où il passe par là par hasard.

Il y a un sujet que je ne peux pas aborder, c’est la bourse et les placements qu’on peut faire. D’une part, « Partageons mon avis » me semble engagé à gauche, je ne pas dire comment un licenciement massif me réjouit puisque je vais me faire des couilles en or. D’autre part, il y a des types qui sont largement plus compétent que moi pour en parler. J’ai essayé une fois de donner des conseils aux débutants pour leur éviter de faire les grosses bêtises que j’ai faites quand j’ai commencé et sur des règles de bases à ne pas oublier : si vous achetez des actions d’une boite, c’est qu’il y en a à vendre. Donc des mecs qui pensent que c’est judicieux de vendre. Mais en rédigeant ce truc, j’étais poussif.

A propos de gens plus compétents, il y a les sujets que vous avez envie d’aborder mais qui ont probablement déjà abordés par des dizaines de types plus compétents. Vous renoncez à les publiez (à moins de trouver un ton – moi j’essaie l’humour – qui permet de lui donner une « valeur ajoutée »).

C’est pas facile tous les jours ! Mais comment ai-je pu diffuser ceci ?

16 octobre 2006

Lettre ouverte ou Orange

Cher conseiller Orange,

J’ai déjà posé la question sur ce blog (ou ailleurs, je ne sais plus) mais c’était avant la sortie de votre nouvelle offre (Unik ?).

Votre nouveau produit m’intéresse beaucoup de même que souscrire un abonnement internet chez vous en remplacement de mon forfait actuel chez XXX.

Mais tout ça me paraît difficile à assimiler en un seul coup (et en un seul coût). Je veux bien cliquer un peu partout sur le web pour commander les trucs, mais je ne vois pas comment je pourrais éviter une grosse bêtise.

Nous avons à faire :

1. résiliation de mon contrat chez mon FAI actuel (tout en conservant mon adresse email pendant quelques mois, que je m’assure que tous mes contacts ont assimilé mon changement),

2. souscription d’un contrat chez vous avec location d’une livebox, ce qui me donnera la possibilité d’avoir cinq nouvelles adresses email et 100 Mo de stockage,


3. modification du « routage » de http://www.jegoun.com/ pour que le site puisse être hébergé dans cet espace (je n’y connais rien dans ces histoires de DNS),


4. résiliation de mon abonnement chez l’hébergeur actuel de mon site, sauf, éventuellement, pour ce qui concerne la gestion du nom « jegoun.com » pour le routage ci-dessus,


5. modification de l’abonnement pour téléphone portable (j’ai un vieil abonnement de type « compte mobile OLA »),

6. basculer le site web dans le nouvel hébergement (c’est une formalité),

7. remplacement de mon téléphone portable par un téléphone compatible UNIK, en tenant compte de mes droits acquis au titre du service « changer de mobile »,

8. acquérir le matériel nécessaire (notamment un truc Wifi pour mon PC).

Pouvez-vous me faire une proposition globale allant dans ce sens, en m’indiquant précisément toutes les actions que j’aurai à faire auprès de tiers ou acquisitions diverses ?

Pourrez-vous prendre en charge les relations avec mon FAI ? Comment faire pour que la migration (changement de FAI) ne me pénalise pas ? Surtout que si j’ai un problème technique lors de l’installation, je n’aurai plus de téléphone pour vous contacter. Le cas échéant, pouvez-vous me faire une proposition pour l’intervention d’un de vos techniciens à la maison ? J’ai horreur de passer mes samedis matins à bricoler dans l’informatique : c’est plus ou moins mon boulot pendant la semaine.

Quel sera mon futur numéro de téléphone ? 01 46 71 XX XX ou 06 88 78 XX XX ? Comment se fera le passage d’un service vers l’autre (comme la fonction répondeur) ? Est-ce possible de garder les deux numéros pendant une phase transitoire puis d’en supprimer un, par exemple le 01 46 71 XX XX ?

Je vous donne quelques précisions sur mon comportement habituel avec tous ces gadgets électroniques, afin que vous puissiez m’ajuster au mieux les différents forfaits.

Téléphone Maison (ET) : je ne l’utilise quasiment pas, mais le garde par affection pour l’opérateur historique (et surtout par ce que mon FAI propose le dégroupage depuis relativement peu).

Téléphone Mobile : je ne téléphone presque jamais avec (mon patron me fournit un téléphone pour que je puisse être joint en permanence par les clients et le forfait qui va avec me suffit largement pour passer mes appels persos et professionnels). Par contre, je reçois des appels (je coupe celui du boulot quand je n’ai pas envie de bosser) et j’envoie beaucoup de SMS (principalement pour donner rendez-vous dans des bistros, je ne sais pas si vous avez des accords avec les brasseurs pour bâtir une offre spécifique).

Télévision : je ne la regarde quasiment jamais (sauf quand je suis en déplacement pour le boulot, mais on s’en fout, puisque par définition je ne suis pas à la maison).

Internet : je souhaite un débit maximum à cause de tous ces nouveaux trucs qu’on trouve dans les blogs et auxquels je ne comprends pas grand-chose (poadcast,…) mais qui sont bien rigolos.

Hébergement site web : je n’ai pas besoin d’un truc spécialement performant (le site ne fait qu’héberger de la généalogie et des photos), mais j’utilise quelques fonctions de FrontPage et j’aime bien avoir des statistiques évoluées pour savoir ce qui attire les gens chez moi.

Email : j’ai déjà une adresse @orange, ça me va très bien, je ne l’utilise pas, mais pensez que le prenom.nom@orange.fr c’est moi (ce n’est pas la peine de créer un nouveau truc pour m’identifier).

Je compte sur vous pour m’adresser une proposition globale qui satisfera tous ces besoins.

Comptant à mon tour sur votre compréhension, dans la mesure où vous pouvez difficilement compter sur la mienne,

Grosses bises
Nicolas

08 octobre 2006

Soyons modernes sans toutefois voter UMP

Motivé par Eric et pour ne pas avoir l’air plus nul que Franssoit, je me lance dans l’aventure des outils modernes pour les blogs.

http://www.postitexpress.fr me permet de diffuser des sondages débiles sur mon blog.

http://www.netvibes.com – prononcer ouah ouah ouah point netvibes point comme – me permet d’afficher à l’écran l’ensemble des blogs ayant un quelconque intérêt de mon point de vue et d’être informé en temps réel de la publication acharnée des individus concernés.

Je vais en profiter pour en faire de la publicité gratuite :

http://crisedanslesmedias.hautetfort.com

http://tonnegrande973.blogspot.com

http://nouveaunouveau.blogspot.com

http://filaplomb.over-blog.org

http://sarkoprout.blogspot.com

http://doelan.blogspirit.com

Ceci est la liste exclusive des blogs qu'il faut consulter, à part les miens, les autres n'ont strictement aucun intérêt, sauf ceux qui ont un intérêt.

Encore que, là-dedans, il y a un gars de droite et un immigré clandestin, un qui a deux blogs, un alcoolique buvant de la Côte du Rhône, deux bretons, un sarthois, un toulousain et un gros.

Je crois que je commence à comprendre ce qu’est le web 2.0 : un truc qui permet de faire le con pendant les heures de bureau sans avoir à bouger les oreilles.

04 octobre 2006

Tirons le portrait


Tonnegrande ne supportant pas mon ancienne photo sur le blog. Mon visage angélique lui paraît peu crédible et l’insupporte comme il nous le dit dans un commentaire à un de ses propres blogs.

Par ailleurs, avec cette photo, les visiteurs pensaient que j'étais un jeune con, alors que je suis un con entre deux âges.

Contrairement au Vieux Jacques, qui est un vieux con.

Je la remplace donc par un instantané de Jules César que j’ai trouvé en cherchant autre chose pour remplacer la dite photo.





J’ai pris la photo là : http://www.atlantadentist.com/cure_for_gum_disease.html
Comme ça si quelqu’un a mal aux dents après avoir bu trop de Coca Cola, il pourra aussi s’adresser à moi.