30 octobre 2010

[coblo 4] Le contenu inutile

Toi qui débarque par hasard, sache que, dans cette série de billets, je revisite des anciens billets à moi, des « conseils de blogage » que j'avais rédigés à l'été 2007.

Le quatrième conseil de blogage portait sur le contenu des billets, sans faire ingérence à mon principe : chacun fait ce qu'il veut. Je reste donc à peu près d'accord avec ce que je disais à l'époque : il faut éviter de faire des billets inutiles qui pourraient lasser vos habitués et surtout faire zapper des passants.

Ah merde !

Il y a des jours où des sujets d'actualités intéressent beaucoup les blogueurs politiques. Par les temps qui courent, c'est le cas de Dahan viré de France Inter qui préoccupe les gauchistes. Je suis désolé mais j'ai zappé tous les billets de blogs sur le sujet : ce n'est pas la peine de faire 2000 signes pour dire qu'on est révolté (d'autant qu'au fond, on s'en fout).

Par contre, je vais me faire payer une bière : le billet de Yann est parfait. Non seulement il ne fait que dix lignes mais en plus il rappelle ce qu'a dit Dahan (contrairement aux dépêches d'information et billets de blogs).

[coblo 3] Les mots clés

Toi qui débarque par hasard, sache que, dans cette série de billets, je revisite des anciens billets à moi, des « conseils de blogage » que j'avais rédigés à l'été 2007.

Le troisième conseil de blogage portait sur les mots clés : je ne le renie pas. Sur des sujets généraux, il est complètement inutile de mettre des mots clés habilement dissimulés dans le texte ou sous forme de « tags » ou « libellés » pour faire de l'audience.

Google n'a pas besoin de nous pour n'en faire qu'à sa tête...

Il faut choisir ses mots clés quand on est à peu près sur d'être le seul à traiter d'un sujet, ce qui est notamment le cas quand on traite d'actualités locales.

Pour le reste, basta !

Mais ça n'empêche pas de rigoler, à l'occasion, ...

[coblo 2] Le compteur de visites

Toi qui débarque par hasard, sache que, dans cette série de billets, je revisite des anciens billets à moi, des « conseils de blogage » que j'avais rédigés à l'été 2007.

Le deuxième conseil de blogage portait sur le compteur de visite. Il ne sert à rien à part indiquer une tendance générale sur le long terme. Je n'ai pas changé d'avis.

Tous les blogueurs sont fascinés par les mots clés farfelus qui permettent aux googlaunautes de tomber chez eux. En fait, ces mots clés sont la preuve que la majorité des lecteurs ne viennent pas pour le contenu fourni mais pour ce qu'ils recherchent. Ca ne sert à rien de les compter : ils ne lisent pas.

Tous les indicateurs qu'on pourrait utiliser pour évaluer un blog sont biaisés : ce sont plus les évolutions technologiques et le hasard de chez Google qui font leurs évolutions. Par exemple, Twitter a provoqué une baisse du nombre de liens et de commentaires et Google change ses algorithme périodiquement...

[coblo 1] La forme avant le fond

Toi qui débarque par hasard, sache que, dans cette série de billets, je revisite des anciens billets à moi, des « conseils de blogage » que j'avais rédigés à l'été 2007.

Le premier conseil de blogage portait sur la présentation globale du blog. Je n'ai rien à y redire. Le fond du blog doit être blanc, la mise en page doit être simple, avec deux colonnes uniquement, sans multiplier les gadgets, rapide à afficher, … La police de caractère doit être bien choisie et les billets avoir une présentation adaptée au support de lecture.

En résumé, vous pouvez trouver votre blog très joli mais il existe 360000 blogs : la plupart des tauliers les jugent très joli. Pensez donc au type qui débarque par hasard parce qu'on lui a signalé votre blog.

Imaginez que ce type soit un gros frisé à lunettes avec une cravate a chier. J'arrive sur un blog dont le fond est noir et le texte écrit en rouge : je zappe. Le billet recommandé peut-être génial mais j'ai 230 billets géniaux dans mon google reader, je ne vais pas m'attarder à lire les recommandations des autres alors que je n'ai pas fini les miennes.

« Trop de blogueurs se prennent pour des écrivains ou des journalistes. Un bouquin ou un journal, ça se lit sur du papier. Un billet, ça se lit à l’écran, ce n’est pas pareil. La lecture est rendue pénible par la nécessité de faire défiler le texte à l’écran avec la molette d'une souris. Il faut des repères visuels. »

Bien dit, hein ! Ainsi, dans un long billet, un espace entre deux paragraphes, une ligne mise en gras, une illustration, un lien, … n'ont pas pour seul but que d'illustrer, d'égayer, de faire propre, … mais d'aider le lecteur à suivre le texte.

[coblo] Conseils de blogage le retour

En juillet 2007, j'étais tombé sur un blog tellement moche que je m'étais énervé, tout seul, et que j'avais décidé de faire quelques billets pour aider les blogueurs à ne pas commettre quelques bourdes. En y pensant, lors de mon long trajet en voiture, mercredi, j'ai décidé de revenir dessus, un par un, en une série de billets que je vais cracher en quelques jours, pour les remettre au goût du jour en fonction de l'évolution de ma pensée et surtout de la blogosphère.

Trois ans et demi se sont passés, à l'époque j'étais moi-même assez débutant, mais j'avais eu la chance de croiser Eric qui m'avait expliqué plein de trucs pour « populariser » mon blog.

Depuis, tout a bien bougé :
  • Technorati est « mort », remplacé par Wikio pour se mesurer qui a la plus grosse. A l'époque, Technorati donnait une note « d'autorité » en fonction du nombre de liens pointant vers un blog (y compris dans les blogrolls alors que Wikio ne s'attache qu'aux liens dans les billets),
  • la blogosphère « zinfluente » s'est démocratisée, du fait de l'arrivée de Wikio, de ses changements d'algorithmes. La présence de mon blog politique dans les sommets (il a occupé la première place du classement général pendant huit mois) illustre un phénomène nouveau : tout le monde peut y arriver,
  • paradoxalement peut-être, la blogosphère « zinfluente » s'est essoufflée, dans le sens où ceux qui ont créé ce nouveau média s'en sont un peu écartés, peut-être par lassitude. En fait, c'est un cycle, on parle fréquemment de la « mort des blogs » mais en fait, un tas de nouveaux blogs apparaissent régulièrement et ce sont eux qui feront la blogosphère « zinfluente » de demain,
  • Twitter et Facebook sont arrivés, fournissant une autre manière d'accéder aux blogs mais fournissant aussi un autre support pour permettre aux gens de s'exprimer sur le web,
  • avec l'avènement des lecteurs de flux, les processus utiliser pour consulter les blogs ont changé.

J'aime bien ce terme de « zinfluent » qui ne veut strictement rien dire. A l'époque, on parlait de « blogs influents » mais on s'est vite rendu compte, en politique, que les blogs n'avaient aucune influence réelle sur la vie du pays, offrant plus un espace pour les militants pour discuter entre eux qu'un véritable média d'information du grand public. A part quelques exceptions, les blogs citoyens (par opposition aux blogs tenus par des personnalités) ne sont pas visités par plus d'un millier de personnes par jour, la plupart se cantonnant à quelques centaines, mon blog politique ayant eu une moyenne de 700, environ, ce mois-ci.

Cela dit, en respectant « intuitivement » les conseils, j'ai réussi à faire connaître un peu mes blogs.

Il est grand temps de tirer le bilan de ces conseils. 40 mois plus tard.

Mais je n'ai jamais réussi à décrire les raisons de ces conseils. Peut-être simplement à éviter à des jeunes blogueurs de dépenser de l'énergie pour rien, alors que seul compte le « contenu ». J'en connais qui passent des heures à faire des bannières, à s'inscrire à des sites de référencement, … Pure perte de temps.

« Contenu » : odieux terme pour désigner ce qu'on met dans nos billets : vidéos, analyses, histoires, musiques, informations, …

Au boulot.

J'ai une trentaine de contenus à publier pour analyser ces foutus conseils.

Hé ! T'as vu ? En haut de la page, il y a un onglet "recettes". Ca fera un annuaire des conseils. Quand j'aurai fini. Si je finis.

29 octobre 2010

Retour vers le passé

Ce blog, le plus ancien des 4 (quelques heures d'avance, même, sur Partageons nos agapes, ce sont des faux jumeaux), fête ses cinq ans aujourd'hui.

Ca s'arrose, ce que je ne manquerai pas de faire, soyez rassurés.

Je ne vais pas revenir sur le passé (créé pour une raison précise bien loin des blogs, il est devenu ce qu'il est par hasard). Je me suis juste demandé, au cours de ces 48 heures de vacances, ce qu'il allait devenir.

Je n'en sais rien.

Mais jusqu'à la fin des vacances (en gros mardi matin puisque mardi après-midi, je rentre à Bicêtre), je compte bien revisiter les conseils de blogage, glorieuse série datant de l'été 2007. Pour mon plus grand plaisir. Pour le votre, vous jugerez.

27 octobre 2010

Over capacity

Les commentaires sont temporairement fermés : j'ai bien le droit de prendre des vacances, non ? Tous les détails ici.

26 octobre 2010

Réinitialiser le dictionnaire de l'iPhone

Quand on utilise le "clavier de l'iPhone", on est souvent "bluffé" par les capacités du dispositif d'aide à la saisie, de correction automatique, ... La machin apprend automatiquement les mots que vous tapez et vous les propose à l'occasion. C'est ainsi, par exemple, que le mien reconnait Tonnégrande ou les pseudos Twitter.

Par contre, il devient vite exaspérant en reprenant les fautes d'orthographes que vous faites volontairement. Par exemple, avec Twitter, il m'arrive de forcer de forcer des mots en majuscule pour "appuyer dessus". Par exemple, "J'ai TRES soif".

Ensuite, l'iPhone corrige automatiquement par le nouveau mot. Par exemple, je n'arrivais plus à écrire "très", le machin me mettait automatique "TRES".

Je viens d'y penser ! Il existe une manière d'initialiser le dictionnaire orthographie ! (menu "Réglage" "Général" puis "Réinitialiser", tout en bas).

Terrassé par Fubiz

Comme on approche de la fin de mois, j’ai fait le tour de Wikio pour étudier les chances de PMA pour le prochain classement et j’ai donc observé le blog qui lui dame le pion au général. Grace à Wikio Sources, on peut voir le nombre de twittos différents qui signalent ses billets.

C’est hallucinant ! Voir l’illustration : il oscille entre 5000 et 7000 (sur 46000 abonnés, de mémoire). PMA oscille entre 80 et 150 et l'épicerie de Guy entre 300 et 600 (il pourrait donc bien récupérer sa deuxième place, ce mois-ci).

Je vais immédiatement renoncer à récupérer cette première place que mon blog a occupé quelques mois et je vais continuer à faire le con avec un billet de Val Le Nain, ici, c’est plus dans mes cordes.

Vous imaginez ? 5 à 7000 twittos différents !

Base de données Google

Alors que je voulais rechercher le taux de chômage en Espagne pour un billet politique (pour répondre à ce gugusse), Google m'a donné un lien vers sa propre base de données et j'ai pu avoir ceci :



De fait, il y a plein de données disponibles ici.

Du nouveau chez Feedburner

C’est une très bonne nouvelle ! Grâce à Benoit, j’apprends que Feedburner évolue pour donner plus de statistiques. Il faut cliquer ici (c’est encore en version draft) puis cliquer sur son blog pour activer les machins (voir l’illustration à gauche, là ; z’avez vu ? je suis toujours aussi fort pour les flèches rouges).

Une fois que c’est fait, on a des jolies courbes, voir l’écran à droite, un peu en bas (ce billet est superbement illustré : vous pouvez même cliquer pour agrandir).

On y voit par exemple que 649 andouilles ont cliqué sur les flux de PMA et que 4 pages ont été vues.

Promis ! Dès que j’ai compris comment ça marche, je reviens vous en parler.

25 octobre 2010

Digital Curator : @vallenain

Val Le Nain a décidé de devenir un Digital Curator, c'est-à-dire qu’il trie pour nous l’information utile (en gros, les billets de mes blogs et de celui de Gaël) et les envoie dans Twitter sous la forme d’astucieux backtweets.

Maintenant qu’il a choisi sa voie, nous pouvons l’aider à gagner encore plus de followers pour faire profiter un maximum de personnes de sa prodigieuse science.

Followons @vallenain !

22 octobre 2010

7 conseils pour les backtweets des blogueurs

Allons bon ! Voilà Pierre Chappaz qui fait un billet pour expliquer comment tricher au Wikio et faire monter les billets en une. Du coup, nous aurions tort de nous priver de rappeler quelques bonnes pratiques.

Rappelons qu’il s’agit d’une part d’augmenter le nombre de lecteurs des blogs de copains et d’autre part de favoriser leurs blogs pour les classements et leurs billets pour la une du Wikio. Nous faisons ça bien évidemment par pur altruisme. Nous sommes tellement altruistes, d’ailleurs, que pour nous féliciter, ils font exactement pareil avec nos propres blogs.

La première chose est qu’il faut beaucoup de copains. Il faut donc travailler pour élargir le cercle de ces amis, si je puis me permettre. Chacun procèdera comme il voudra et il faut faire attention à ne pas y passer trop de temps.Faut faire attention à la perte de temps.

Par exemple, et je ne citerai pas de nom, j’ai remarqué que certains retwitaient déjà beaucoup leurs propres billets. C’est une perte de temps. On devient obsédés par la promotion de ses propres écrits ; pendant ce temps-là, on ne songe à en améliorer la qualité (ni d’ailleurs à la juger) et à élargir le cercle de ses amis. Je me demande même si l’effet n’est pas contreproductif mais je crois qu’à part les gens de chez Wikio, je suis le seul à réellement observer les techniques de retwitage des autres…

Je vais donner un exemple : moi. Quand un de mes billets est twité, comme je suis abonné à backtweets.com, je reçois un mail. Quand je vois que c’est Le Coucou a backtwité mon billet, vers 19 ou 20 heures, je sais qu’il fait sa tournée des blogs des copains et twite tout le monde. Je passe alors par derrière et je retwite tout ce qu’il a twité (si je connais le taulier du blog). Je suis persuadé que les gens qui sont dans twitter, à cette heure là connaissent mes habitudes et ne cliquent jamais sur le moindre lien (je n’ai jamais vérifié, j’ai mieux à faire pendant les heures de bistro : retwiter d’un œil, discuter avec les copains de l’autre et boire du dernier).

Pour ma part, mes billets sont twittés deux fois par moi, automatiquement : une fois par Feedburner, dès leur parution et une autre fois par Twitterfeed quelques heures après. Parfois, je retwite manuellement une nouvelle fois un billet ou je retwite les backtwits des copains.

Surtout, il peut m’arriver de backtwiter mes propres billets avec http://bit.ly ce qui me permet d’étudier l’efficacité d’un backtwit en mesurant le nombre de RT et le nombre de clics. Je vous conseille de faire pareil et de le faire systématiquement (sans passer par les boutons de partage mais en copiant le lien à la main) pour les billets des copains, vous pourrez ainsi étudier l’importance de la formulation du twit.

Par exemple, Olympe a fait un billet à propos de la décision du Parlement Européen de porter le congé maternité à 20 semaines. J’ai trouvé une plaisanterie à faire. J’ai donc libellé mon twit ainsi : « D'après @olympeblogueuse il faudrait uniformiser les congés paternité et maternité. »

Résultat : 3 RT ! C’est assez bien. A priori, Olympe aura été backtwité par quatre personnes (dont moi) qui ne la backtwitent pas souvent : bon pour le classement. Par ailleurs, 4 BT pour un billet, plus le lien que je lui fais ici et celui que je ferais dans le blog politique, ça va la faire monter à la une de Wikio.

Deuxième résultat : 4 clics. Oui ! Mon BT et les 3 RT ont généré 4 clics, autant dire rien (sauf que les petits ruisseaux font les grandes rivières). Les gens ont trouvé mon twit rigolo et ceux qui passaient par là l’ont RT par contre tout le monde s’est aperçu que c’était une vanne sans aucun rapport avec le billet (ce qui est d’ailleurs faux).

Par contre, hier, j’ai backtwité un billet du Coucou : « Très belle analyse de @lecoucou de l'impopularité présidentielle. » Il a généré 2 RT ce qui est moyen pour la une mais pas mal pour le classement, les twittos en question n’ayant a priori jamais twité Le Coucou et 9 clics ce qui est pas mal (la moyenne est autour de 7).

Quelques conseils supplémentaires :
-         on prendra soin de faire en sorte que les liens de complaisance soient ostentatoires pour ne pas perdre de crédibilité quand on backtwite un bon billet.
-         quand on fait un lien « de complaisance » dans le blog, il vaut mieux utiliser l’adresse d’un billet plutôt que l’adresse du blog. Pour se faire, on prendra un bon billet qui mérite la une mais qui n’est pas trop vieux (sinon, il n’a aucune chance de faire une une, qu’il soit mauvais ou vieux).
-         On évitera de backtwiter les mauvais billets ou les billets « utilitaires » (du type de ceux qu’on fait en début de mois pour remercier les copains d’avoir envoyer des visiteurs) sinon Wikio sera obligé de modifier l’algorithme…

Hop ! Je résume :

  1. On ne BT pas trop ses propres billets (mais on le fait quand même, hein).
  2. On fait ostensiblement les BT de complaisance.
  3. On ne fait pas la promotion des mauvais billets.
  4. On met un joli libellé pour attirer l’attention quand on BT un beau billet.
  5. On met des liens vers les billets, par vers les blogs, dans ses propres billets.
  6. On utilise bit.ly (ou équivalent) et on étudie les habitudes de ses followers.
  7. On oublie le rôle des backtweets.

Je vais d’ailleurs le rappeler : outre attirer du monde, il s’agit de faire connaître à ses abonnés des bons billets des copains (et pas les siens : vos abonnés sont aussi abonnés à vos flux) en espérant qu’ils le fassent connaître à leurs propres abonnés.

Faites en bon usage.

Modification de la une de Wikio

Au bout de la flèche rouge (brillamment ajoutée par mes soins), vous pourrez choisir à ne voir que les billets de blogs, que les articles ou tout, pour répondre à une demande des utilisateurs qui préféraient l'ancienne une :

Prévisualisation des pages dans Google

En faisant une recherche mystérieuse, dans Google, ce matin, je me suis rendu compte qu'en passant le curseur de la souris sur le titre d'un article, la page web correspondante s'affichait à droite de l'écran.

Je ne sais pas depuis combien de temps c'est opérationnel (j'utilise rarement google chez moi, plus au bureau) mais ça me parait très fort.

20 octobre 2010

Un doigt donneur !

Voila ce à quoi ressemble mon compteur de visites pour ce soir. Je n'avais jamais vu ça... J'espère que Dada en a profité et que je lui ai donné assez de visites. Tout ça pour mon billet d'avant hier à propos de l'application iPhone donnant les stations services ouvertes et la possibilité de faire le plein d'essence et de Gaz Oil.

Honte sur moi.

(compteur avec les 4 blogs cumulés).

Microsoft Office 365 pour concurrencer Google Doc

Récemment, j’avais fait un billet pour évoquer les évolutions de l’informatique. Je voyais bien les ordinateurs réduits à de simples terminaux utilisant des applications sur des serveurs Web. C’est ce que propose par exemple Google avec Google Doc.

Microsoft s’y lance maintenant avec sa suite Office disponible en « Cloud Computing ». C’est ici que ça se passe.

(via Fred)

Recommandations (réseaux sociaux) intégrées aux recherches Google

La semaine dernière, j’avais fait un billet à propos de l’intégration par Bing, le moteur de recherche de Microsoft, des recommandations par Facebook.

Visiblement (voir l’illustration), les labos de Google sont sur les rangs.

(via ici et surtout )

19 octobre 2010

Honte sur moi

En 24 heures, 3000 personnes sont venus voir ce billet (dont 2000 en provenance d’ici), j’y incitais les lecteurs à aller visiter Dadavidov en prétendant que son site permettait de télécharger une application pour iPhone et Androïd permettant de repérer les stations services ouvertes.

C’est mal.

Toutes mes excuses aux braves qui se sont déplacés pour rien. Toutes mes excuses, aussi, à Maxiscience à qui j'ai trompé les lecteurs.

Ceci est le record pour ce blog (et, trois blogs cumulés, aujourd’hui est la plus forte journée d’audience).

Utiliser Wikio pour suivre les blogs

Heureux lecteur, si tu cliques sur le bouton ci-dessous (ou ce lien), tu auras un onglet avec une sélection de mes blogs préférés dans la page Wikio.

add page

Tu pourras bien sûr ajouter tes blogs préférés et supprimer ceux que tu n’aimes pas. Il vaudrait mieux qu’auparavant tu crées un compte chez Wikio (bouton « inscription » en haut) pour sauvegarder ta liste quand tu changeras d’ordinateur ou de navigateur.

Quel intérêt, me demanderez-vous ?

Le troll débutant qui ne sait pas ce qu’est un agrégateur de flux en aura un tout propre à sa disposition sans même bouger les oreilles et sans avoir à utiliser ma blogroll ce qui serait, au fond, dommage mais comme je n’arrête pas de la casser et de me fâcher avec des andouilles, il gagnera un peu de stabilité.

Pour tout le monde, nous vivons dans un monde de sauvages où le but ultime est de faire monter les billets des copains en une de Wikio afin de leur assurer la gloire éternelle et des millions de lecteurs supplémentaires.

Il y a, à côté de chaque billet, un bouton de vote (pour les blogs inscrits chez Wikio, uniquement) sur lequel on prendra soin de cliquer si on juge qu’il est intéressant et pas trop fermé vers Tours et son obscure cathédrale.

Il y a aussi un bouton pour faire un backtweet avec l’adresse du billet.

Dans le temps, le slogan était « Des liens, bordel ! Des liens ! ». Il est maintenant un peu plus compliqué « Des liens, des backtweets et des votes, bordel ! ».

N.B. : vous pouvez aussi utiliser la liste de blogs proposée par Pierre. Mais il y en a moins.

18 octobre 2010

Profil des utilisateurs de Twitter : le sondage sur 140 personnes...

J’ai repéré par Wikio un billet où il est question de statistiques d’utilisation des réseaux sociaux (pdf). La deuxième partie est consacrée à Twitter.

La conclusion est la suivante : « Le portrait-robot de l’utilisateur de Twitter dressé laisse plutôt songeur : jeune étudiant parisien entre 18 et 24 ans votant … Front National. »

Le dernier billet que j’ai fait dans ce blog était une fausse information pour envoyer des visiteurs à un copain qui gémissait dans les coms chez Gaël. Il est donc juste que je fasse un billet pour rétablir une vérité : le sondage porte sur 7% des 2000 personnes interrogées, donc 140 gugusses. Il n’est donc pas significatif.

J’ai connu des gens qui prenaient plus de précautions avant de diffuser des informations.


Une application pour trouver une station service ouverte (iPhone et Android)

Elle est fabuleuse, elle recense toutes les stations service de France. Les utilisateurs la mettent à jour à partir de leur smartphone, type de carburant par type de carburant. La manipulation prend quelques secondes. Le service de géolocalisation détecte la proximité de la station, une fenêtre pop up s’ouvre et l’utilisateur n’a plus qu’à répondre à deux questions (« reste-t-il du gazole ? » et « reste-t-il de l’essence ? »).

Vous pouvez la télécharger ici.

Dans une version 2, l’application permettra aussi d’indiquer si la caissière a des gros nichons et je n'ai pas fini de donner des fausses informations dans mes blogs.

15 octobre 2010

Faire le ménage dans gmail

Thierry présente un nouveau machin qui semble de confiance, FindBigMail qui permet de détecter les gros mails, dans sa boite GMAIL pour les supprimer.

Concrètement, le machin scanne vos messages et attribue un libellé de type « My big mail » aux messages qu’il vous suggère de supprimer. Vous n’avez plus qu’à faire le tri !

« Pour utiliser ce service, il suffit d’entrer votre mail et de laisser faire la machine pour quelques minutes. Il faut faire confiance au service ! Mais d’après labnol.org c’est un site de confiance. En tout cas j’ai bien nettoyé ma boîte ! »

Pareil !

Avant opération, mes mails occupent 1249 Mo, je suis passé à 925. Par contre vérifiez bien chacun des mails supprimés !

Je ne sais pas si ça mérite l’apéro.

14 octobre 2010

Facebook, Bing et moi

« Microsoft et Facebook ont conclu un partenariat portant sur une meilleure intégration du réseau social dans les résultats de recherche de Bing, le moteur de Microsoft. Ce partenariat permettra aux membres de Facebook de personnaliser leurs résultats de recherches sur Bing en opérant certaines requêtes sur des contenus que leurs amis Facebook ont déclaré apprécier (en cliquant sur le bouton "j'aime", que Facebook met à disposition des éditeurs de sites Web pour accélérer la diffusion de leurs contenus). »

C’est la nouvelle du jour. La plupart de mes confrères, éminents aimables blogueurs geeks, en parlent et j’aurais tort de me priver.

« Bing permettra également une recherche plus efficace des profils Facebook. Pour accéder à ces fonctionnalités, l'internaute devra accepter de lier son compte Facebook à Bing. »

On en parlait hier, dans ce blog ! Je résume : c’est la fin des données privées.

Aucune personne sensée n’acceptera de cliquer sur la zone d’autorisation, dans Facebook, sauf les lascars comme moi qui mettent n’importe quoi dans Facebook : les résultats de recherche seront farfelus.

A ce stade de ma réflexion, je me dis « Ah ! Tiens ! Encore un géant informatique qui fait un développement qui ne sert à rien. Comme ils n’investissent pas pour rien, je suppose que c’est une histoire d’image de marque ou de communication. »

Pourtant, mes confrères semblent enthousiastes par ce nouveau machin. Il faut dire que l’occasion de taper sur Google est trop bonne et plairait à Monsieur Poireau.

Mes confrères ont trouvé deux cas où le machin pourrait être intéressant.

Petit 1 : la recherche de personnes (je crois que ça représente 4% des recherches google). Par exemple. Imaginez que je m’appelle Isidore Poireau. Ce n’est pas le cas. Si vous connaissez mon vrai nom, remplacez (sinon, cherchez un peu, je ne suis pas réellement anonyme). Je me cherche sur Google. La recherche google d’Isidore Poireau tombe directement sur la page Facebook d’Isidore Poireau (véridique). La recherche de mon propre blaze donne directement un gugusse qui n’est pas moi (c’est très bien d’avoir un nom très porté pour l’anonymat sur Internet !). La deuxième entrée de Google donne 123People. Et facebook est un peu plus bas.

Je me demande ce que changera le nouveau truc de Bing.

Petit 2 : les « lieux » (restos, …) recommandés par les potes. « Restaurants Libanais à Paris » dans bing vous donnera ceux recommandés par vos potes à Paris. D’une part, je préfère les recommandations de mes potes gastronomes à ceux de fous furieux qui ne pensent qu’à indiquer dans Facebook qu’ils ont bien mangé. D’autre part, on s’en fout totalement. Si les gens veulent les recommandations de leurs potes, ils peuvent leur téléphoner ou utiliser des applications dédiées comme Nomao dont je parlais récemment (ou éventuellement directement Facebook).

Personnellement, si je voulais chercher un bon restaurant libanais (ce qui risque assez peu d’arriver), à Paris, j’enverrais un mail à deux ou trois potes… ou j’utiliserais google ou bing pour chercher un site spécialisé dans la recommandation de restaurants…

Je ne suis pas près de passer à Bing, moi…

13 octobre 2010

Internet a-t-il tué le web ?

Les évolutions de l’informatique sont amusantes à observer. J’en avais un billet, l’an dernier. Il y a quarante ans, les « ordinateurs » de bureau étaient bêtes comme Geneviève (vous ne connaissez pas) et se connectaient à des gros ordinateurs qui préparaient les pages à afficher, dans des immondes interfaces « 3270 » qui subsistent encore de nos jours dans certaines entreprises (les interfaces web sont beaucoup plus couteuses à réaliser).

Vous avez oublié ? Rappelez-vous le Minitel, dans les années 80.

Toujours dans les années 80, avec l’arrivée de l’IBM PC, notamment, on a commencé à se retrouver avec des ordinateur avec de plus en plus d’intelligence (plus rapides, plus de mémoire,…) et les applications lourdes sont arrivées. Les traitements de texte ont remplacé les machines à écrire, quoi. Ces PC, connectés en réseau au sein d’une même entreprise, sont équipés de différentes applications (comptabilité, messagerie, …).

Avec Internet et la croissance des débits, la tendance s’inverse depuis quelques années. Les applications reviennent vers les serveurs (ce qui a beaucoup d’avantage, pour la maintenance du parc informatique des entreprises et des particuliers). Les applications telles que Google Doc se multiplient et on préfère tous utiliser gmail que Lotus Notes ou Outlook.

On commence de plus en plus à parler d’application sans OS ou, plus exactement, avec un OS réduit, permettant uniquement de se connecter à Internet et faire fonctionner des applications centralisées. Les PC n’auront peut-être plus de moyens de stockage ce qui permettra de réduire leurs coûts (à quoi sert un disque dur dans un PC si on met tout sur le web, si on stocke ses photos dans Flickr, … ?). Le « cloud computing » on n’appelle ça.

Internet lui-même évolue. Des applications « complexes » remplacent de plus en plus les sites traditionnels. Facebook vient d’ailleurs de dépasser Google.

Ce qu’il y a d’amusant, c’est l’évolution inverse que connaît « le web mobile » sur iPhone ou similaire, iPad, … De plus en plus d’applications, installées sur le terminal, sont développées. On les utilise pour tout, y compris facebook. Elles sont beaucoup plus faciles à utiliser que les sites web traditionnels mais aussi les sites développés expressément pour mobiles. Elles sont surtout plus rapides. On a des applications pour tout : j’utilise notamment Twitter, Nomao, News Republic (dont je parlais hier), 20minutes, les pages jaunes, le mail et Facebook, Wikipedia, Youtube (à l’occasion), BlogPress, RATP, Shazam, le machin pour regarder la télé, …

Ces évolutions de la téléphonie mobiles et « la guerre entre le Web et Internet » sont analysées par cet excellent article de Ina Global, « la revue des industries créatives et des médias », le nouveau site web de l'INA que nous présente Ju, dans son billet du jour. Abonnez-vous donc aux flux.

Quant à la photo d’illustration, elle vient d’ici.

Priver Facebook des données privées ?

Alors que Achille titre « Facebook est le pire des réseaux sociaux », Facebook récupérant vos données personnelles pour les revendre à des gens sauront adapter de la publicité à vos spécificités, je pense quant à moi qu’il s’agit d’un vulgaire foutage de gueule, les pros de la communication ayant, comme d’habitude, réussi à faire croire que l’avenir passera par Facebook.

Je pose donc juste une question : quelle est la proportion des utilisateurs de Facebook qui y mettent des données privées réellement exploitables par des publicitaires ?

J’y imagine le gros ordinateur étudiant le mien, même un très gros, hein !, capable de comprendre toutes les conneries que je dis dans les billets des quatre blogs, reprises dans ce machin… Il va en conclure qu’il m’arrive d’aller boire des bières au bistro.

Il va falloir que les publicitaires investissent beaucoup d’argent pour me persuader de changer de bistro… Parce que le problème est bien là : le retour sur investissement pour les entreprises qui vont utiliser ce machin. Ils vont y aller parce qu’ils n’ont pas le choix…

Par ailleurs, Facebook annonce 500 millions d’abonnés. Parmi combien compte-t-on de consommateurs, actifs, susceptibles d’être intéressé par un produit proposé spontanément ?

Ce week-end, j’ai visité les profils de mes potes pour les étudier. J’ai un profil particulier. On a tous un profil particulier. Dans Facebook, j’ai deux principales catégories de potes :
-         les jeunes, qui échangent des conneries entre eux, des photos, des jeux, … Ils sont jeunes et n’ont pas de pognon : ils ne sont pas consommateur (à part peut-être de conneries électroniques),
-         les militants politiques, qui utilisent Facebook pour diffuser de l’information et en récupérer. Aucune information personnelle.

Par ailleurs, on nous parle beaucoup des données privées. Alors j’ai été voir les données privées des gens avec qui je suis en contact : soit ce sont des proches et je sais déjà tout d’eux, soit je ne les connais et n’en ai donc rien à cirer.

Il n’y a donc quasiment aucune donnée qui mérite d’être privée sauf les données que vous ne voulez pas qu’une personne précise les connaisse.

La seule solution est de ne pas en parler sur le net.

Blogueur avec l'iPhone : le tutoriel en vidéo

C'est le Coucou qui le propose en se lançant dans le blogage geek.

12 octobre 2010

Les informations sur l'iPhone avec News Republic

« Une nouvelle façon d’être informé est née ! News Republic, une application gratuite pour iPhone et téléphone Android/Google, vous donne accès en temps réel aux news de médias majeurs et vous permet de créer des chaînes d’informations personnelles pour suivre l’actualité de vos centres d’intérêt. »

Hier, avec les copains, on se demandait comment faire notre « veille d’actualité ». Je viens de recevoir par mail un communiqué de presse annonçant la disponibilité de l’spplication News Republic. Je vous livre en fin de billet le communiqué de presse.

Globalement, elle agrège le contenu de différentes sources « l’AFP, Reuters, Le Parisien, Gizmodo, Le Journal du Geek, Actustar ou Citizenside… » et vous prépare des journaux par thème. Je vous laisse découvrir.

Une fonction intéressante permet de naviguer dans les articles sur des thèmes proches. Illustration ! Le hasard fait qu’en une, un sujet portait sur Zac Efron. Je clique. La dépêche s’ouvre (voir illustration à droite). Si je clique sur le zigouigoui en bas à droite, un nuage de mots s’affiche avec différents mot clés en relation avec le billet (voir l'illustration à gauche).

Je cherchais une nouvelle application pour suivre l’actualité sur l’iPhone : je crois que j’ai trouvé.

Communiqué de presse :

Bordeaux, le 12 octobre 2010 – News Republic démocratise l’accès à l’information en réunissant, pour la première fois sur un seul canal, toutes les news sur vos thèmes de prédilection. Téléchargez gratuitement l’application sur votre iPhone ou téléphone Android et, parmi son large fil d’information de plus de 1000 actualités fraiches par jour, sélectionnez les sujets que vous souhaitez suivre de près : vous recevrez tout ce qui paraît sur la question –articles, photos, vidéos– sur vos chaînes d’information dédiées. Pour chaque news, une sélection de thèmes complémentaires reliés au sens de l’article, parmi 30 000 tags disponibles, vous propose d’explorer l’actualité et de très nettement enrichir votre niveau d’information.

Ces news proviennent de spécialistes renommés des actualités générales, sportives et people tels que l’AFP, Reuters, Le Parisien, Gizmodo, Le Journal du Geek, Actustar ou Citizenside… beaucoup d’autres médias sont déjà partenaires ou en passe de l’être. Les informations tombent sur votre iPhone ou téléphone Android en temps réel au moment de leur publication. News Republic répond au besoin actuel de pouvoir accéder à toute l’information, tout le temps, de n’importe où et le plus instantanément possible.

Ce sont les news d’origine, dans leur intégralité, qui vous sont proposées tout en restant dans l’application (pas de va-et-vient fastidieux vers des sites externes) et sous un même format standardisé pour en faciliter la lecture ou le visionnage, L’interface de News Republic est simplissime et le passage d’une information à l’autre aussi fluide qu’un simple glissement de doigt sur l’écran. Bien évidemment, l’application a été conçue pour le mobile récepteur et lui est parfaitement adaptée. Ainsi, tout concourt à offrir une expérience utilisateur unique, jusque là encore jamais expérimentée en France.
Mais News Republic va encore plus loin grâce à TagNav©, une technologie innovante de recherche et de ciblage sémantique développée par Mobiles Republic, qui vous propose un ensemble de correspondances et de nouveaux thèmes liés à l’information que vous êtes en train de parcourir. Avec cette fonction intelligente, vous pouvez approfondir ou élargir votre sujet de départ en rebondissant de news en news ; définitivement une nouvelle façon de suivre l’actualité, parfaitement ludique, par thématiques, plus riche et plus complète.
Avec News Republic, vous prenez la main sur les news et devenez acteur de votre information. Plus rien ne vous échappe, votre niveau de connaissances s’accroit au fil de votre curiosité jusqu’à vous rendre incollable. Vous pouvez aussi partager vos découvertes avec votre réseau Twitter et Facebook.

11 octobre 2010

Dicter du texte avec l'iPhone

« Gros au bureau d'ascenseur est une quinzaine de répondre à entendre étage ce temps de l'ultime disponible pour tes ce message iPhone applications que j'ai téléchargé propose déjeuner je ne pouvais »

Je voulais dire : « En gros, au bureau, l’ascenseur met une quinzaine de secondes pour atteindre mon étage. C’est le temps qui m’est disponible pour dicter ce message à l’iPhone via une application que j’ai téléchargée pendant pas ma pause déjeuner. »

C’est bien : vous parlez dans le machin, l’application Dragon, téléchargeable gratuitement convertit vos propos en texte.

Je me demande si elle est bien au point mais ceux qui me connaissent savent que j’ai une voix un peu particulière et que je parle très vite.

Il faudra que je trouve autre chose pour rédiger mes billets de blog.

Changement d'adresse automatique ?

En prenant des noms de domaines personnalisés pour mes blogs, samedi, je n’ai absolument pas pensé aux dommages collatéraux éventuels : j’ai pris le risque.

Il est fort probable que je perde une partie de la gloire que m’assure Google, gloire qui se traduite par 2000 abrutis qui viennent chaque mois chercher des photos de Paris Hilton nue sur mon blog.

Néanmoins, en faisait mon tour des blogs ce matin, je suis tombé sur ce billet de Zette : voyant qu’elle avait mis un lien sous « binaire du 10/10/10 et notamment aux alentours de 10 h 10 précises environs », j’ai immédiatement deviné qu’il pointait vers mon billet d’hier, sur le blog bistro.

Du coup, j’ai fait un tour sur la Backlink Factory avec l’ancienne URL. Zette a utilisé la nouvelle URL et le billet est bien détecté par Wikio.

Comment font-ils alors qu'ils ne connaissent pas encore la nouvelle adresse ?

10 octobre 2010

Emettre un twit avec Feedburner quand un billet est publié

C'est enfantin et c'est encore plus facile en regardant le tutoriel de Soufiane. Onglet "Publicize", en haut. Menu "Socialize" à gauche. 30 secondes.

En plus, le twit est émis immédiatement (alors qu'avec Twitterfeed, il faut souvent une bonne demi-heure).

Mes blogs bougent

Ce week-end sera à marquer d’une croix dans les calendriers (ou d’une bite pour ceux qui n’aiment pas les croix) : sur un coup de colère, hier, j’ai pris un nom de domaine pour Partageons nos agapes. Depuis août, j’étais à la recherche d’un nom et d’une idée de nom de domaine. J’ai trouvé le nom : Partageons nos agapes. Ca claque bien.

Hier, en bricolant, j’ai découvert que http://aubistro.com était libre : hop ! Je prends, je dépose…  J’étais coincé : pour garantir la cohérence, il fallait que je prenne un nom de domaine pour les deux autres. http://jegoun.net traînait dans ma tête. C’est peut-être la première fois dans l’histoire de la blogosphère qu’un très vieux blog prend comme nom de domaine le pseudo Twitter du taulier. Pour le présent blog, j’ai cherché plus longtemps. Rien trouvé de valable autour de « addiction ». http://aubistrogeek.com est venu naturellement.

Mon seul critère était d’avoir un truc simple, qu’on puisse écrire sur un sous-bock. Avec le petit dernier, http://macomete.com, tout est en place !

Pourquoi ? Je ne sais pas.

Il me restait un détail à régler : la bannière du Comptoir était trop haute, trop verte, trop voyante, j’ai donc changé la présentation, malgré quelques compliments.

J’en ai profité pour changer celle des autres. Je ne voulais pas le faire, au départ, mais il y avait déjà une légère différence entre le présent blog et les deux autres (la taille des caractères), que je n’avais réussi à corriger et ça m’énervait. Mon côté maniaque.

La première fois depuis trois ans.

N’ai-je pas mérité l’apéro, moi ?

09 octobre 2010

Polémique Victor Ego

C’est amusant : tant que mon blog politique n’avait plus la première place du classement Wikio des blogs politiques, je passais au travers de toutes les polémiques. Badaboum ! Hier matin, il la récupère. Aujourd’hui : hop ! Polémique dans twitter. Petite, certes, mais nécessitant un billet d’autant que je glande un peu dans ce blog, ce mois-ci.

Cela dit, je ne me formalise pas : les deux petites phrases que j’ai relevées viennent d’un copain des leftblogs qui, a priori, aime bien mon blog.

Il y a par ailleurs Frédi, un commentateur de Didier Goux, qui est intervenu en commentaire à ce billet. J’aime bien les commentateurs de Didier Goux. Une bande de réactionnaires abominables. Il y a quelques temps, ils ont découvert les balises HTML pour mettre des parties de commentaires en italique. Ca les occupe et c’est très drôle. Ils s’imaginent dompter la machine.

Frédi dit que mon billet est n’importe quoi. Je lui demande pour qui il se prend. Il me répond de ne pas être susceptible. Je vais lui répondre : Frédi, je ne suis pas susceptible, j’ai juste horreur des trous du cul (sauf chez les jeunes filles, mais nous nous égarons). Ceci est typique : le type est désagréable avec moi, je l’envoie chier et je me fais engueuler parce que je ne suis pas aimable. Il y a de ces cons…

Il n’empêche que le billet où Frédi commentait portait sur le classement Wikio et il disait que c’est n’importe quoi. Il a peut-être raison, la question n’est pas là. Par exemple, je trouve que la littérature colombo-mongolienne est n’importe quoi. Alors, quand je trouve un billet de blog qui en parle, je me casse. Je ne lis pas. Je ne commente pas, sauf éventuellement pour vanner le taulier si c’est un copain.

Mon copain, dans Twitter, disait que le Wikio est une histoire d’égo. Il a parfaitement raison. Les critiques du Wikio sont une histoire d’égo. Par exemple, le Frédi en question se croit plus intelligent que tout le monde. C’est d’ailleurs assez caractéristique des commentateurs, chez Didier Goux, ils se croient à peu près tous plus intelligents que les autres. C’est le cas d’un certain Georges, d’ailleurs, mais je m’égare, qui confond la capacité à écrire correctement avec l’intelligence. Einstein n’était malheureusement pas spécialement connu pour ses bouquins et Georges est un con.

Heureusement, Didier Goux est un con normal, comme moi. Le seul problème qu’il puisse avoir avec son égo c’est d’imaginer qu’il puisse boire des bières au même rythme que moi alors que je suis plus gros et plus jeune et qu’il boit de la 1664, qui fait un degré de plus que la Kro ordinaire que je bois. A la dernière République des Blogs, j’ai pu constater la différence entre les deux. Un peu plus, il aurait fallu que Gularu me porte sur son dos pour me ramener à la maison. Ca aurait été mauvais pour mon égo.

Depuis que je m’autoplonge dans des polémiques autour du Wikio, on me parle d’égo. Je me suis toujours demandé si l’égo de l’auteur de la critique n’avait pas un problème, la moitié des critiques venant de lascars qui n’ont pas réussi à monter dans ce machin. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, je suppose, je connais assez l’auteur de la pique dans twitter, ce matin, pour supposer qu’il s’en fout.

Je vais répondre à Frédi, qui estime que c’est n’importe quoi. L’andouille voudrait probablement que le classement Wikio reflète la qualité des billets des blogs. Je suppose que selon ses critères, un bon classement des blogs mettrait en avant des blogs réactionnaires, qui sont, on ne le dira jamais assez, d’une qualité supérieure à tout ce qu’on pourrait imaginer. 1. Causeurs. 2. Rioufol. 3. Didier Goux. Hop ! Jean Véronis peut ranger ses algorithmes : ils ne servent à rien, il suffit de graver la note dans le marbre.

L’introduction de ce billet était trop longue. Je vais faire vite, promis, d’autant que j’ai rendez-vous au bistro dans 20 minutes. Je vais répondre quelques critiques précises par rapport aux propos de mon pote.

Certes, Wikio est une entreprise appartenant à un vil libéral, par ailleurs copropriétaire, avec TF1, affreuse société cotée en bourse, d’une plateforme de blogs. Notre morale gauchiste devrait nous conseiller de les éviter.

Ce que je vais faire mais pour ce soir uniquement. Je vais donc aller au bistro, boire de la bière produite par une société cotée en bourse, dans un bar dont le fond appartient probablement à un gros brasseur pété de tunes. Je tape ce billet dans Word, d’une société gigantesque cotée en bourse et appartenant pour partie au type le plus riche du monde. J’utilise un système d’exploitation de cette même société. Mon PC est un HP que j’ai acheté chez Carrefour, deux multinationales cotées en bourse. Mon blog est hébergé par une filiale de google, que j’utilise par ailleurs pour toutes recherches sur le web. Google est une société multinationale fondée sur un modèle libéral qui devrait nous faire vomir.

J’ai honte. Je vais me réfugier dans l’alcool.

Mais je ne vais pas taper sur Wikio qui est une PME française cherchant à créer de l’activité tout en utilisant sans vergogne des produits fournis par des sociétés bourrées de pognon et exploitant probablement des armées de smicards (si le SMIC existe dans les pays où elles emploient du monde) sans protection sociale et sans retraite.

En tant que gauchistes, nous pourrions envisager de nationaliser les PME mais je n’ai pas envie. Je préfère les encourager. Tant pis si leur patron gagne de l’oseille, il finira bien par passer à la Comète pour me payer une bière.


J'aime les chiffres ronds

J’ai enfin trouvé à quoi sert la fonction « retweet » de Twitter : à se rappeler pourquoi on a défollowé quelqu’un quand un de ses twits resurgit dans la TL parce qu’il a été RT par un gugusse à qui vous êtes abonné.

Méditez-ça.

Et n’oubliez pas de noter le nouveau nom de domaine de ce blog :

Qui vient en plus de http://www.jegoun.net et de http://www.aubistro.com créés ce matin.

Je retourne sous twitter. J’ai du ménage à faire.

07 octobre 2010

Blogosphère française : heu...

Hier soir, Volgelsong a twité ce lien. J'étais seul au comptoir. J'ai cliqué. Le patron m'a alors demandé pourquoi je souriais bêtement.

Peut-être parce que je suis d'accord (ce qui est d'autant plus idiot que je suis peut-être bien concerné...).

05 octobre 2010

L'efficacité d'un backtweet

Dedalus a fait un billet pour faire la promotion du blog littéraire de notre ami blogueur politique, Le Coucou. Quand j’ai vu ça, je l’ai évidemment twité, en utilisant bit.ly qui permet de suivre le nombre de clics. J’ai publié en mettant un libellé proche de celui du billet de Dedalus : « Connaissez-vous les Poussegrain ? »

Au bout d’une dizaine de minutes, j’ai été voir. Deux personnes avaient cliqué sur ce lien. Alors j’ai refait mon twit en mettant en libellé : « L'activité cachée d'un blogueur politique ». 25 personnes ont cliqué !

Un peu après, j’ai fait un billet pour faire moi-aussi la publicité pour le blog littéraire. J’ai twitté : « Quand @lecoucou devient personnage de PMA » 13 personnes ont cliqué.

Tirez-en les conclusions que vous voudrez : j’ai bistro.

04 octobre 2010

L'art du Backtweet

Très intéressant article de Greg qui s’interroge sur la valeur d’un Backtweet (lien vers un billet de blog ou plus généralement vers une page Web propulsé dans Twitter). Rappel idiot : à la base, le « BT » est là pour indiquer à vos abonnés (ceux qui passent par là à cette heure précise) qu’une page web est très intéressante.

Je l’ai déjà dit ici et Greg le rappelle : le titre d’un billet est très important pour « toucher des gens » hors de votre public habituel. Par exemple, Greg pourrait débarquer ici en voyant que j’ai mis un de ses billets en lien – je doute qu’il soit abonné à mon blog – et se dire : « Ah ! Mais ce billet est très bien et le taulier a l’air très sympathique, même pas trop gros, je vais en faire profiter mes abonnés » et cliquer sur un des trois boutons RT que j’ai en bas.

Pourquoi trois ? Je ne sais pas. Mais vous êtes vous demandé pourquoi on a deux couilles et une seule bite ?

Il faut donc que le Twit qu’il émet soit  parfait. Il doit donc contenir quelque chose qui identifie le blog cité (par exemple mon Twit automatique contient les initiales du blog entre crochets, la présence des crochets permettra aux passants de « comprendre » qu’il s’agit d’un blog) et le titre doit refléter précisément l’objet. Par exemple, le billet de midi, sur le blog bistro est exemplaire. Ou pas.

Dans son billet, Greg rappelle les raisons d’un BT ou d’un RT :

« Arrêtons nous donc 2 minutes et réfléchissons aux raisons pour lesquelles on peut retwitter un article :
1. Parce que l'article vous a plu […]
2. Parce que le titre est particulièrement accrocheur
3. Parce que vous faites une confiance aveugle à la personne qui tient le blog et donc vous RT quasi par automatisme.
4. Pour vous faire remarquer de la personne qui a rédigé le message
5. Pour montrer à vos followers que vous trouvez des contenus intéressants [et donc qu'ils ont raison de vous suivre] et donc pour vous mettre en avant. »

Il me plait, ce gars-là, il a écrit « retwitter » et pas « retweeter » (sauf que dans son blog, il a écrit « retwitté »).

Je vais rajouter deux raisons :
6. Pour assurer la promotion d’un copain chez Wikio (faire monter le billet d’un copain à la nouvelle une et donner des points pour le classement),
7. Lui faire profiter d’un effet d’aubaine (faire RT un de ses bons billets par un de mes abonnés qui découvre un nouveau blog) et d’une manière générale tenter la chance d’avoir des RT en cascade hors d’un cercle habituel de lecteurs.

Tiens ! A propos du classement Wikio, Melle Agnès m’a informé d’un retard dans la production du classement. Il sera disponible en fin de semaine et les exclus un peu avant.

Je vais revenir sur les sept raisons citées (je ne suis pas trop d’accord – pour mon cas personnel – avec les 2 et 4, je ne pratique pas), mais vais faire deux remarques avant :
-         Depuis quelques mois, les copains backtweetent beaucoup, l’impulsion ayant peut-être été donnée lors du changement d’algorithme Wikio en mai ou juin,
-         Les backtweets que je mets sont généralement très peu suivis, sauf ceux de mes propres blogs et quelles que soient la formulation du Twit ou l’heure d’émission.

Ce dernier point montre que mes abonnés sont intéressés par ce que je peux pondre mais pas du tout par ce que je peux recommander. Environ 4 visiteurs par RT (ce qui n’est pas rien, pour un petit blog, en pourcentage : les petits ruisseaux font les grandes rivières). Il n’empêche qu’imaginer Twitter en pourvoyeur d’information devient de plus en plus risible. On y voit trop de trucs pour avoir le temps de cliquer ; on est habitués à suivre « des liens de merde ».

Pour ma part, je twitte des billets des copains (ou pas) assez rarement, uniquement pour des raisons techniques, pas par mauvaise volonté. Je présente mes excuses notamment à ceux qui me RT fréquemment mais qui n’ont rien en retour.

« Ce dernier point montre que mes abonnés sont intéressés par ce que je peux pondre mais pas du tout par ce que je peux recommander. » Une des raisons principales est que mes abonnés savent très bien que je pratique du « BT de complaisance » pour faire plaisir aux tauliers des blogs. C’est d’autant plus vrai que je « BT » du comptoir ou du métro, à partir de l’iPhone, donc sans même lire les billets.

J’ai d’ailleurs parfois des sueurs froides quand je vois des billets comme ceux que j’ai fait le 1er avec les statistiques du blog qui étaient beaucoup « BT ». D’ici qu’ils se retrouvent en une de Wikio, on n’aurait pas eu l’air malin. D’une part, on détruit la crédibilité de l’application Wikio et d’autre part, on passe pour des guignols manipulateurs… Ce n’est pas le but.

En fait, pour revenir aux raisons 5 et 6, retwitter n’importe quoi est assez nocif… (par contre, remplacer les liens de complaisance vers l’URL d’un blog, dans un billet, par l’URL d’un billet, à condition d’en choisir un bon et récent, serait un plus pour faire monter les copains à la une. Enfin, ce que j’en dis, hein !).

Il ne faut backtweeter que les bons billets des copains sinon la machine va être cassée.

Ce qui nous amène au point 3. Par exemple, je peux RT sans réfléchir un billet du Coucou, il a rarement de loupés… Sauf son billet mensuel sur les statistiques de visites qui intéresse assez peu les gens normaux.

N’oubliez pas de backtweeter ce billet qui est vraiment exceptionnel puisque le taulier donne habilement quelques recommandations à ses potes en espérant que personne ne repère ces manœuvres indécentes.