Déjà, si vous n'avez pas de potes hors du boulot, posez-vous des questions ! Pas métaphysiques, je parle des potes de FB.
En liant FB au boulot, vous liez automatiquement votre vie privée et votre vie professionnelle. Même si vos collègues, clients, fournisseurs ou partenaires sont de vrais amis, dans les réseaux sociaux, il faut les fuire parce qu'il ne faut pas tout mélanger.
Je fais moi-même une exception : Bertrand. Nous nous sommes connus dans une autre vie. On était copains FB avant de se retrouver dans la vie professionnelle. D'autres exceptions : ceux avec qui je n'ai plus de rapport professionnel, Katel, Véronique, Vincent,...
J'ai été effaré aujourd'hui en apprenant qu'un collègue était pote avec un client (c'est compliqué, il me prétendait le connaître réellement alors que je lui démontrais que c'était impossible ou presque pour des raisons géographiques. Il a fini par reconnaître que c'était uniquement par FB, confondant la vraie vie et les réseaux sociaux).
Il arrive souvent que Facebook nous propose d'être pote avec des collègues. Ses algorithmes sont faits ainsi. Amen. De temps en temps, je clique sur leurs profils, non pas par une curiosité malsaine, mes collègues font bien ce qu'ils veulent, mais pour étudier comment (et anonyment) leurs utilisations des réseaux sociaux. Voir qu'ils ne tournent qu'entre eux, parfois, me sidère.
Et m'inquiète.
Ce billet va être repris par mon compte ou ma page Facebook et mon compte Twitter (et ceux des leftblogs). Ils ne regardent pas mes collègues. Et pourtant, je sais que certains me suivent. Encore faut-il qu'ils fassent la différence. S'ils ont des questions sur les réseaux sociaux, je peux répondre. Le fait que j'ai un blog politique (qui défend Hollande, ce qui relève de l'exploit) ne les regarde pas.
Amen.
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