Bon ! On progresse ! N’écoutant que mon courage
(et les conseils de Brigitte et Hélène), j’ai passé un peu de temps à couper
les mauvaises herbes dans le jardin (elles poussent quant même plus vite que
les rosiers) avec ma magnifique débroussailleuse (voir la photo). Ca va très vite, en fait.
Pour tout le devant de la maison, j’y ai passé moins d’un quart d’heure.
Et c’est seulement au moment d’arrêter pour me remettre
devant le tour de France que les lames en plastique se sont cassées.
Le but du jeu, pour moi, dans un premier temps, est de tuer
les embryons de ronces avant qu’ils ne se développent réellement (il parait que
c’est comme ça qu’on arrive à s’en débarrasser : en coupant au fur et à
mesure tout ce qui sort ! Ainsi, elles crèvent dans d’affreuses douleurs).
J’ai profité d’une accalmie pour acheter un sécateur
électrique (et du sel pour le lave-vaisselle mais ça n’a rien à voir, j’avais
oublié d’en prendre à Intermarché) avec un but bien précis : couper les
plantes (comme les roses) qui viennent vivre dans d’autres comme les affreux
églantiers qui traversaient mes rosiers… et évidemment les ronces. Je n’en ai
pas besoin maintenant vu qu’il ne reste plus grand-chose à tailler dans le
jardin mais il faut se préparer à l’avenir ! Par exemple, quand j’ai
acheté ma débroussailleuse (une petite, hein !), je n’en avais rien à
faire tant c’était le bordel dans ce jardin. J’avais eu le pressentiment que ça
me serait utile un jour et j’avais raison.
Ces petits outils électriques sont très bien à condition d’avoir
de la place « pratique » pour les entreposer. J’entends par pratique,
c’est-à-dire que je ne veux pas avoir à fouiller dans un tiroir pour trouver un
chargeur de batterie : il faut que je mette la batterie en charge dès que
l’engin n’est pas utilisé. C’est pour ça que j’ai prévu un long plan de travail
(deux ou trois mètres) dans mon garage : pour y foutre ce que tout type
sensé rangerait dans des étagères. Comme je suis une grosse fainéasse, il faut
que les machins utiles soient à portée de main (et de prise de courant, ce qui
est aussi prévu).
A part ça, puisqu’on parle de la maison, j’ai validé la
proposition d’une boite qui doit venir débarrasser mon garage d’un tas de saloperies
comme des produits chimiques (peintures et autres détergents totalement inutiles).
Les gars passeront lundi, en principe (les mêmes que ceux qui avaient vidé ma
cave ma bibliothèque) : ils sont peu chers contrairement à des boite de
recyclages qui prennent la peau du cul pour les débarrassages, abusant des gens
qui doivent vendre en urgence des maisons pour payer des frais de succession
(il faudra que je traite sans dans le blog politique : on ne pourrait pas
laisser deux ans aux braves héritiers avant de leur pomper leur pognon ?).
Et ils sont sympathiques et efficaces.
Il s’agit de virer des produits chimiques, comme je le
disais, tout en faisant le tri pour vérifier ce qui est utile (on est toujours
emmerdé quand on n’a pas d’acide chloridrique, d’acétone ou je ne sais quel
merdier, comme du white spirit), des bouteilles de gaz de camping, des bouts de
bois que ma mère gardait comme tuteur, des trucs pour la voiture (bombonne d’huile,
produits pour lave vitre…)… Il y a un tri important à faire (les outils de
jardinage potentiellement utiles sont rangés avec une partie du bordel).
Il faut aussi supprimer une armoire métallique et des trucs
qui trainent dehors comme des pots de fleurs bizarres et des bouts de grillage…
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