« C'est
en tout cas le précédent créé par le réseau social, qui a répondu favorablement
à une demande d'Olga Lexell, une auteure américaine. Comme l'indique le site
spécialisé The Verge, elle a publié au début du mois le tweet suivant dont
l'humour se perdra peut-être dans la traduction: «Je viens de voir quelqu'un
déverser son jus purifiant hors de prix sur le trottoir et désormais je sais
que Dieu est de mon côté.» Las, elle a constaté que quelques autres
utilisateurs de Twitter avaient écrit exactement le même tweet. Elle a donc
rempli un formulaire auprès du réseau social pour demander la suppression des
tweets qui, selon elle, enfreignait le copyright de sa brève production
intellectuelle. »
« La
requête faite par l'utilisatrice s'appuie sur la loi américaine dite DMCA, qui
protège les hébergeurs de contenus comme Twitter, Facebook ou YouTube. Ces
plateformes ne sont pas reconnues responsables des infractions de copyright qui
y sont faites tant qu'elles ne sont pas signalées par une victime de ses
infractions. Si le signalement est jugé recevable, Twitter supprime alors les
contenus illicites. Pour la première fois, Twitter a accepté une requête
concernant la copie d'une blague. »
C’est dans le
Figaro qui le dit… Certes, c’est nul à chier de pomper les vannes des
autres. Il n’empêche que penser que sa proses mérite une attention au point de
faire des recherches pour vérifier qu’elle n’est pas copiée me parait être le
signe d’avoir une opinion très haute de sa propre personne.
La prochaine personne qui dit « Santé ! Mes pas
des pieds ! » à un comptoir recevra un courrier de mon avocat.
Je cherche chaque matin si quelqu'un n'a pas repris à son compte "Jacques Ambroise Glory" afin de lui faire un procès
RépondreSupprimerAmusante la chute !
RépondreSupprimerSuis d'accord les copier-coller ne sont pas très fins. Et le côté sacré que certains donnent à leurs 140 caractères est très con aussi.
Heureusement le ridicule ne tue pas (pour cet adage je dois 2 euros à qui ?)