Je frise le surmenage, dans ce blog (deux billets en deux
heures) ! Mes ouvriers étaient à peine partis que le « chef »
des jardiniers est passé et il m’a expliqué la stratégie, qui est celle que
nous subodorions : il fallait couper ras pour repérer les plantes
importantes qui vont repousser, pas d’inquiétude !, et imaginer la suite.
Il m’a dit de laisser faire jusqu’à septembre ou octobre
pour voir ce qui repousse. Il repassera alors pour organiser une tonte et voir
comment finaliser les travaux (enlever les souches…). Et pour contractualiser « l’entretien
régulier » pour la suite.
Si je le demande (ce qui sera le cas), une autre personne
passera pour étudier les aménagements que je souhaite faire dans le jardin (sans
doute une allée du côté de la véranda et surtout quelques arbres (sur la
pelouse devant, à la place des souches, et derrière sur la pelouse).
Il m’a dit qu’une dame était passée pendant les travaux (« votre
sœur, sans doute », « non, la femme de ménage plus probablement »).
Elle était effrayée par l’ampleur de la mission accomplie et a eu peur qu’ils
en aient fait trop…
La flèche !
A part ça, les gugusses qui ont vidé mon garage ont réussi à
remplir une benne complète (une grosse remorque spéciale) avec tout le bordel.
Je ne me rendais pas compte. Et il y a toujours du bordel vu que mes propres
affaires occupent le centre de la pièce (le vélo, la brouette, la tondeuse, le
tuyau d’arrosage, le câble électrique branché au taille haie et les appareils électriques
branchés à leurs chargeurs). C’est presque décourageant…
La photo vient malheureusement de Google et pas de mon jardin. C'est néanmoins à peu près ce que je voudrais faire, en évitant la multiplication des massifs, en revanche, pour ne pas laisser de terrain de jeu aux ronces.
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