Pauvre Facebook. Après leur dégringolade boursière, voila l’histoire
du bug qui n’en est pas un mais finalement on ne sait pas trop. Peu importe. Le
mal est fait. La confiance a disparu. Je lisais le quotidien gratuit Métro, ce
matin, dans un transport en commun du même nom. Ils y consacraient le sujet
principal : la une et les pages 2 et 3. C’est affreux.
Toute la population va perdre confiance. Tant pis pour
Facebook, c’est aussi bien : les gens vont enfin s’apercevoir qu’Internet
n’offre aucune confidentialité et que ces réseaux sociaux ne sont que des
paniers percés.
J’espère que la leçon sera tirée.
Et après ?
Je ne suis pas inquiet pour Facebook qui pourra se recentrer
sur son activité première de réseau social. Après tout, je n’ai que ce machin
pour me rappeler (« m’informer de » serait plus juste) l’anniversaire
de mes potes et raconter des conneries avec Styven,
Jean Jacques et FalconHill. Et on pourra se moquer
éperdument des andouilles qui ont acheté des actions à prix d’or et ne
tarderont pas à constater qu’ils ont perdu les deux tiers de leur mise. Ca leur
apprendra à spéculer mais je ne suis pas dans mon
blog gauchiste.
Et les autres ?
En regardant mon mur Google+ (comment on appelle ça, d’ailleurs ?),
je suis tombé sur une remarque d’un copain, Maxime, qui disait : « Google + et Twitter, le ticket gagnant ? Je ne supporte
vraiment plus Facebook. »
Je suis d’accord avec lui. Avec en plus le fait que je n’ai
jamais vraiment supporté Facebook. Je l’utilisais un peu par « obligation »
(le seul lieu où je rencontre certaines personnes).
Twitter ? J’ai vu un article récemment (désolé,
je n’ai pas gardé le lien) qui disait, d’une part, que le nombre d’abonnés
commençait à devenir impressionnant (environ 500 millions de comptes) et, d’autre
part, qu’un modèle économique viable, sur la base de publicités géomachins, est
en train de pointer son nez. Contant pour eux ! Mais si la montée de Twitter se poursuit, le coup porté à Facebook sera terrible.
Google+ ? Je suis de plus en plus fan. Il n’y a
pas ces éternels babillages et je ne suis que ceux que j’ai envie, aucun
inconnu, que des copains et des gens qui diffusent de l’information qui m’intéresse.
Par contre, la condition de la réussite de l’utilisation
personnelle de ce réseau (je n’ai rien à cirer de l’entreprise qui est
derrière) est que nous ne reproduisions pas les erreurs faites avec les autres
machins.
J’en ai déjà parlé récemment mais avec cette histoire de bug
Facebook, j’ai remonté ma « timeline » sur des années. Comme j’y mets
mes billets de blog, on ne voit que ça. C’est abominable. Avec les six blogs,
ça fait quelque chose comme 1000 ou 1500 billets par an. Je plains mes abonnés…
Amis blogueurs, ne faites pas les mêmes conneries qu’avant :
ne diffusez pas vos billets de blogs dans votre page personnelle de Google+.
Créez une page spécifique, comme moi ! Mettez là en lien sur votre blog et
qu’on en parle plus. Les gens qui voudront vous suivre par ce biais pourront le
faire. C’est d’autant plus con de diffuser vos billets sur votre page personnelle
si vous n’allez jamais dans ce réseau social : vous polluez vos potes.
Et ils vous virent de leurs cercles.
Que faire de Facebook ?
Continuez ! Parlez-en à vos proches. Qu'ils retiennent la leçon. Continuez à y mettre des photos si elles n'ont rien de compromettant. Continuez à papoter, ...
Mais les échanges qui ne regardent que vous et un autre, ce n'est via les fonctions de Facebook mais uniquement par mail.
Je pose une question dans le titre : "Doit-on préparer l'après Facebook ?" Je n'ai pas la réponse. Je ne suis pas Madame Irma. Toujours est-il qu'on peut déjà faire comme s'il n'existait pas pour la vie privée.
Que faire de Facebook ?
Continuez ! Parlez-en à vos proches. Qu'ils retiennent la leçon. Continuez à y mettre des photos si elles n'ont rien de compromettant. Continuez à papoter, ...
Mais les échanges qui ne regardent que vous et un autre, ce n'est via les fonctions de Facebook mais uniquement par mail.
Je pose une question dans le titre : "Doit-on préparer l'après Facebook ?" Je n'ai pas la réponse. Je ne suis pas Madame Irma. Toujours est-il qu'on peut déjà faire comme s'il n'existait pas pour la vie privée.
Ça vaut ce que ça vaut, mais lors d'un "sondage" sur le site de M6 relayé lors du JT de 12h45, à la question "faites vous confiance à Facebook pour ce qui concerne votre vie privée", donne 96% de NON. Ce qui est clair c'est que cette boite a une image désastreuse en la matière.
RépondreSupprimerOuais... Cela étant, je ne suis pas sûr qu'ils perdent gros. Les gens vont sur FB pour faire les cons et se foutent du reste.
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