Je suis en week-end chez ma mère et, en 24 heures, je lui ai envoyé deux mails, l'un de ma tablette, l'autre de son propre PC, alors que nous étions tous les deux à lamaison. Elle était presque vexée et m'a fait une réflexion, du genre : tu veux économiser ta salive ou quoi ? Alors, je lui ai expliqué pourquoi...
Si tu vis à plusieurs dans une maison, ça t'est certainement déjà arrivé de parler par mail avec les autres... Dans l'année, j'ai fait plusieurs billets sur le "burn out", le ressenti qu'on avait parfois de crouler sous les mails, au travail, et ce qu'il fallait faire pour l'éviter.
Alors, je vais profiter de cette période de fêtes pour défendre la position inverse : il n'y a rien de plus chiant qu'un type qui veut vous causer pendant les heures de travail et vous oblige à le faire quand vous êtes en occupé à autre chose.
Cela a été identifié comme le principal facteur de stress dans bon nombre d'entreprise parce que quand quelqu'un vous demande un truc, vous n'osez pas refuser, au nom des bons rapports dans la boite ou de la peur de hiérarchie.
Dans mon bureau, nous sommes quatre : pour les questions relatives au travail, je n'hésite pas à poser les questions par mail ou à envoyer des mails du genre : "quand tu auras le temps, tu pourras me faire penser à te parler de ... ?". Cela fonctionne très bien...
Mais il faut le faire savoir, sinon, vous passez pour un type froid qui veut garder des traces...
et le temps que ça parte de ta tablette ou de ton téléphone, que ça passe chez ton opérateur qui est saturé, que ça revienne sur l'adresse de Marguerite qui est en communication à ce moment là, et ben ils s'est passé une bonne journée
RépondreSupprimerMais non, c'est immédiat.
SupprimerCa me sidère toujours. Par exemple, il m'arrive de m'envoyer un mail de mon iPhone à mon iPad pour récupérer des billets de blogs que j'ai tapés. Ca passe par l'opérateur, les serveurs d'Apple, les serveurs Google (qui gèrent ma messagerie),... Tout ça pour deux machins à côté.