09 avril 2011

Quelles idées de billets de blog jeter ?

Olympe raconte dans son blog comment elle a des idées de billets. Je pourrais prendre cela pour une chaine et répondre pour moi mais la question ne se pose pas, en fait. Pour moi, il faudrait plutôt raconter comment je jette des idées, tellement certains sujets me paraissent nécessiter un billet, sur un des deux blogs spécialisés ou sur un des deux blogs geeks !

Je jette quand je n'ai pas l'état d'esprit pour le faire. Par exemple, je viens de faire un billet politique que j'ai totalement imaginé hier (au cours d'un trajet en voiture : je n'avais que ça à faire). Arrivé devant un ordinateur, j'ai voulu commencer à taper le texte. Il ne pouvait pas sortir... Je suis parti au bistro et ce midi, après la sieste, il est venu tout seul.

Je jette quand je me rends compte de l'absence totale d'originalité. J'ai vu des copains blogueurs politiques qui ont fait des billets cette après-midi pour annoncer que le PC soutiendrait Jean-Luc Mélenchon. Evidement ! Quand j'ai eu la nouvelle, je me suis dit : hop, un billet ! Mais qu'aurait-il apporté ?

Je jette quand un nouveau billet ferait passer aux oubliettes un billet que j'aimerais qu'il reste en une.

Je jette quand j'ai trop bu pour rédiger. Ce qui n'arrive que rarement, hein ! (c'est très important, on se croit assez « net » pour rédiger, ce qui n'est d'ailleurs pas vrai, mais l'alcool s'assimile doucement, donc le taux d'alcoolémie continue à monter pendant une heure, environ, après le dernier verre, ce qui fait qu'au moment où vous seriez en mesure de publier une bafouille rédigée, vous auriez dépassé le stade de la cuite, celui qui vous fait perdre tout aptitude à vérifier que votre écrit est publiable).

Je jette quand raconter une anecdote nécessiterait de raconter un truc intime à propos de mes potes qui sont connus par quelques blogueurs qui viennent parfois à la Comète. Ca ne me dérange pas de parler intimement de vrais gens puisqu'il n'y a pas de passerelle entre la vraie vie et Internet saut de Tonnégrande, Djibril, les Vieux Joël et Jacques qui sont connus dans la vraie vie.

Je jette des trucs très drôles qui m'arrivent quand je ne veux pas que des proches le sachent. Pourtant ça mériterait d'être raconté. Ceux qui me suivent sous twitter ou dans buzz sont au courant de quelques anecdotes.

Vous voulez un exemple ?

Hé ben, c'est non.

Edit : et N.B. : Il faudrait jeter les idées de billets avec des fautes géantes dans le titre. Merci Shaya !

4 commentaires:

  1. Je ne jette pas quand je bloque dans l'écriture. Je me lance dans un sujet et arrivé au 3ème paragraphe, je cale sans savoir dans quelle direction ça peut partir. Du coup, j'enregistre en brouillon et j'y reviens plus tard, en général ça permet de décoincer.
    Sinon, j'ai un article "brouillon" sur lequel je collecte les sujets qui me passent par la tête et où je pioche quand je suis en écriture, en ce moment le samedi soir. Je résume le sujet ou bien je note les deux trois vannes qui s'y raccorchent et quand j'y viens pour développer, y'a plus qu'à tricoter là-dessus !
    En ce moment, je change de rythme de vie. J'écris donc le samedi soir mes deux articles de la semaine en espérant que bientôt je me serais habitué à ce nouveau rythme pour écrire en "live" ! :-))

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  2. je ne jette pas, j'ai juste pas le temps de tout écrire...

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  3. Bonjour les gens,

    Costa,

    Gardons-le !

    Gaël,

    Faignasse.

    Poireau,

    Faut changer de mode d'écriture...

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La modération des commentaires est activée. Je vous lis, voire vous publie, après la sieste.